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TAFFANEL DE LA JONQUIÈRE, JACQUES-PIERRE DE, marquis de LA JONQUIÈRE, officier de marine et gouverneur général du Canada, né le 18 avril 1685 au château de Lasgraïsses près d’Albi, France, fils de Jean de Taffanel de La Jonquière et de Catherine de Bonnes ; il épousa en 1721 Marie-Angélique de La Valette ; décédé à Québec le 17 mars 1752.
Entré aux gardes de la Marine à Toulon, en France, le 1er septembre 1697, La Jonquière fit ses premières campagnes l’année suivante à Constantinople, puis en 1699 au Levant et en 1701 à Cadix. Embarqué en 1702 sur le brûlot l’Éclair, il s’y distingua sous les ordres de Claude de Forbin lors des opérations en Adriatique où il commanda successivement une chaloupe puis une felouque avec lesquelles il fit de nombreuses captures et participa à la prise de la ville d’Aquilée (Italie).
Promu enseigne de vaisseau le 1er janvier 1703, il continua de naviguer en Méditerranée. Second sur la Galatée en 1705, il livra à deux corsaires flessinguois un combat de cinq heures au cours duquel son commandant fut tué et l’un des bâtiments ennemis capturé. L’année suivante, La Jonquière participa pendant quelque temps aux opérations menées par les troupes de la Marine contre les rebelles protestants dans les Cévennes, puis s’embarqua sur le Fendant à bord duquel il assista au siège de Barcelone qui venait de rallier le parti de l’archiduc Charles (futur empereur Charles VI) contre Philippe V, roi d’Espagne. Chargé du commandement d’une petite galère, le Thon, il fut attaqué lors d’une patrouille au large d’Alicante (Espagne) par un vaisseau anglais de 60 canons, dut se rendre et fut conduit prisonnier en Angleterre. Rapidement échangé, il prit en 1707 le commandement de la Galatée, sur laquelle il s’était déjà distingué, et livra deux vifs combats à des corsaires de Flessingue (Pays-Bas).
En 1708 et 1709, il navigua en Méditerranée, et en 1710, il fit une croisière au Spitzberg (Svalbard). Nommé en 1711 premier lieutenant sur l’Achille, il participa à la mémorable campagne de René Duguay-Trouin qui aboutit à la prise et au pillage de Rio de Janeiro. Promu capitaine de brûlot le 25 novembre 1712, La Jonquière commanda l’année suivante le vaisseau le Baron de la Fauche avec lequel il passa en Louisiane et prit part à la défense de Pensacola (Floride). De 1715 à 1719, il fit une longue campagne sur la côte ouest de l’Amérique espagnole et fut nommé lieutenant de vaisseau à son retour en France le 20 février 1720.
Après six ans de service à terre à Brest, La Jonquière reçut en 1727 le commandement de la frégate Thétis qui, avec la Vénus commandée par Le Prévost Duquesnel, futur gouverneur de l’île Royale (île du Cap-Breton), fut envoyée aux Antilles. Pendant 18 mois, ils menèrent la vie dure aux nombreux forbans et interlopes qui se livraient au commerce clandestin sur les côtes de la Martinique et de la Guadeloupe. Nommé capitaine de vaisseau le 1er octobre 1731, La Jonquière reçut en 1733 le commandement du Rubis pour escorter des navires au Canada. L’année suivante, il était second sur l’Éole dans l’escadre du lieutenant général Court de La Bruyère qui alla croiser sur les côtes d’Afrique du Nord. En 1735, commandant le Ferme, il alla en station à Cadix et en 1738 commanda une seconde fois le Rubis pour une « rotation » sur Québec.
La guerre ayant éclaté en 1739 entre l’Angleterre et l’Espagne à la suite de multiples incidents survenus sur les côtes de l’Amérique espagnole, une escadre de 12 vaisseaux fut armée à Brest et envoyée en septembre 1740 aux Antilles sous les ordres du marquis d’Antin, lieutenant général, qui prit La Jonquière comme capitaine de pavillon sur son vaisseau amiral, le Dauphin royal. À son retour en France, La Jonquière fut nommé, le 1er mai 1741, inspecteur des troupes de la Marine du département de Rochefort. La tension avec l’Angleterre s’étant encore aggravée, une escadre de 17 vaisseaux et 4 frégates fut armée à Toulon en 1744 sous les ordres de Court de La Bruyère qui prit lui aussi La Jonquière comme capitaine de pavillon sur son vaisseau amiral le Terrible. Jointe à une force espagnole de 16 vaisseaux, commandée par don Juan de Navarro, la flotte livra le 24 février 1744, au large du cap Sicié, près de Toulon, contre l’escadre anglaise de l’amiral Thomas Mathews une bataille indécise, puis elle alla croiser sur les côtes de Catalogne et, finalement, regagna Toulon. La Jonquière assura ensuite le commandement d’une division avec laquelle il escorta des convois entre Toulon et l’île de Malte.
Promu chef d’escadre le 1er mars 1746, et nommé gouverneur général de la Nouvelle-France le 19 du même mois, La Jonquière, en se rendant au Canada, participa à la malheureuse campagne du duc d’Anville [La Rochefoucauld] sur les côtes acadiennes en qualité de commandant du vaisseau amiral le Northumberland, et, le 30 septembre 1746, après la tentative de suicide du commandeur Constantin-Louis d’Estourmel, rallia les restes de l’escadre et les ramena en France. Ce n’est donc que l’année suivante qu’il put envisager de gagner Québec pour y exercer ses nouvelles fonctions. On lui confia pour ce voyage une division de trois frégates et de deux vaisseaux, le Sérieux, de 64 canons, sur lequel il hissa son pavillon, et le Diamant de 50 canons. La Jonquière partit de l’île d’Aix le 10 mai 1747, et quatre jours plus tard, à 25 lieues environ à l’ouest du cap Ortegal (Espagne), le convoi qui, avec les navires marchands et les bâtiments de la Compagnie des Indes, comprenait en tout 39 bâtiments, fut rejoint par une escadre anglaise de 14 vaisseaux et de 2 frégates sous les ordres du vice-amiral George Anson et du contre-amiral Peter Warren. La partie n’était pas égale puisque les Français ne pouvaient opposer que 312 canons aux 978 pièces anglaises. En dépit de son écrasante supériorité, le vice-amiral Anson attaqua avec une certaine indécision, ce qui donna aux navires marchands le temps de s’échapper et de gagner leur destination sans être autrement inquiétés. Les bâtiments de guerre firent front. Le combat, qui fut aussi sanglant qu’opiniâtre, dura environ cinq heures et se termina par la capture de tous les navires de guerre français, qui n’amenèrent leur pavillon qu’après avoir épuisé toutes les possibilités de résistance. Le Sérieux eut à soutenir l’assaut de cinq vaisseaux ennemis qui lui tuèrent ou blessèrent 140 hommes et lui causèrent des avaries telles qu’il menaçait de chavirer, la cale s’étant remplie de trois mètres d’eau. Le Diamant se rendit le dernier, rasé comme un ponton. La Jonquière, blessé, fut fait prisonnier et arriva à Portsmouth le 28 mai. La cour de France nomma alors Barrin de La Galissonière pour occuper par intérim le poste de gouverneur général de la Nouvelle-France.
Libéré au traité de paix d’Aix-la-Chapelle en 1748, La Jonquière put enfin gagner son poste et débarqua à Québec le 14 août 1749, pour y relever La Galissonière rappelé en France. Les idées du nouveau gouverneur sur la colonie étaient sûrement vagues car il n’y avait jamais séjourné auparavant. Il eut en arrivant à Québec des conférences avec La Galissonière et il pensait certainement beaucoup de bien de la politique suivie par son prédécesseur puisqu’il tenta de la continuer dans tous les domaines, surtout celui des relations avec les Indiens. Pendant les deux ans et demi que dura son gouvernement, La Jonquière eut à faire face à de nombreux problèmes, dont le plus aigu fut évidemment la défense de la colonie contre les empiétements des Anglais du côté de l’Acadie et des régions de l’intérieur. En fait, la paix signée à Aix-La-Chapelle (1748) n’avait réglé aucun des problèmes pendants en Amérique du Nord quant aux frontières entre possessions anglaises et françaises.
Pendant les années 1750 et 1751, des commissaires des deux nations [V. Barrin de La Galissonière ; William Shirley] se réunirent à Paris pour discuter de ces problèmes sans grand résultat, alors que sur place les incidents se multipliaient tant sur terre que sur mer. Les Acadiens d’origine française se refusaient à reconnaître la souveraineté anglaise, et La Jonquière, continuant la politique suivie par son prédécesseur, tint ferme sur ses positions, renforça les fortifications – il fit rétablir en 1750 par Deschamps* de Boishébert et de Raffetot le fort de la rivière Saint-Jean – et, en octobre 1751, envoya en France l’ingénieur Gaspard-Joseph Chaussegros de Léry pour rendre compte au ministre de la situation dans cette région. À l’instigation des Français, les Indiens harcelaient sans cesse les Anglais, et La Jonquière put écrire le 1er mai 1751 : « il est certain que ce que ces Sauvages ont fait contre les Anglais compense au moins ce qu’ils ont fait contre nous ». Il donnait instruction le même jour « de faire courir continuellement les Sauvages à la Baye Verte pour nous en conserver le passage, de faire piller par les Sauvages tous les bâtimens anglois qui pourront s’échouer sur nos terres, de faire chasser par les Sauvages les Anglois qui seront obligés de venir sur nos terres pour tirer à la cordelle leurs bâtimens qui vont à Beaubassin ». Parallèlement à ces actions de harcèlement, La Jonquière qui désirait que les Acadiens viennent s’établir sur les territoires français ordonna aux bandes indiennes de s’adjoindre « quelques acadiens habillés et matachés comme les sauvages » afin de compromettre davantage la population blanche et de provoquer contre elle de violentes répressions anglaises, ce qui devait contribuer, dans l’idée du gouverneur, à forcer les familles acadiennes à s’établir en territoire français. De plus, afin d’ébranler la neutralité des Acadiens, La Jonquière n’hésita pas à rendre, le 12 avril 1751, une ordonnance enjoignant à ceux-ci de prêter en dedans de huit jours après leur arrivée en territoire français, serment de fidélité au roi de France et de s’engager dans les milices sous peine d’être considérés comme rebelles.
La Jonquière avait reçu mission, dans ses instructions datées du 1er avril 1746, de surveiller les intrigues anglaises chez les Indiens de Sault-Saint-Louis (Caughnawaga, Québec) et de s’efforcer de détruire le poste anglais d’Oswego (fort Chouaguen), sur la rive sud du lac Ontario, qui constituait une base très active de contrebande. Le gouverneur général mena une politique hésitante envers les tribus indiennes et ne réussit pas à faire des Indiens un instrument de la lutte contre les Anglais. Tout au plus, le fort Rouillé (Toronto) fut construit en 1750 pour concurrencer celui de Chouaguen ; le poste de Détroit fut renforcé, en raison de son importance économique et militaire, et une ordonnance du 2 janvier 1750 accorda de nombreux avantages aux familles qui se disposeraient à s’y installer. Mais dans la région de l’Ohio ce fut un lamentable échec. Si d’autres postes furent améliorés, au bas du portage de Niagara et à Sault-Sainte-Marie sur le lac Supérieur, la visite que le gouverneur fit en 1751 aux Iroquois de Sault-Saint-Louis et du lac des Deux-Montagnes, qui le reçurent fort bien et lui rendirent les honneurs militaires, n’avait que peu d’importance dans la lutte contre l’expansion anglaise. Par contre, en juin 1751, Philippe-Thomas Chabert de Joncaire fut envoyé chez les Six-Nations pour y renouveler les traités de paix conclus au temps de leurs ancêtres avec le gouverneur Callière* tandis que François Lefebvre Duplessis Faber négociait avec les Outaouais et s’efforçait de les empêcher de commercer avec les Anglais. De plus, par une ordonnance du 27 février 1751, La Jonquière avait autorisé Pierre-Marie Raimbeau de Simblin, enseigne des troupes, à établir un fort au lac de la Carpe pour contrer l’influence anglaise dans la région au sud de la baie d’Hudson. D’autre part, la mission que le gouverneur confia à Paul Marin de La Malgue chez les Sioux visait à rétablir la paix entre ceux-ci et les Missouris.
Le gouverneur général qui semble, dans la plupart des cas, avoir été bien secondé par ses officiers, eut cependant de grosses difficultés avec Pierre-Joseph Céloron de Blainville qui mit, selon le gouverneur, une évidente mauvaise volonté à exécuter les ordres concernant la campagne contre les Indiens de la rivière à la Roche (rivière Great Miami, Ohio). Mais La Jonquière ne lui avait accordé que très peu de troupes du Canada et le commandant Céloron ne put recruter d’Indiens « à cause du petit nombre de français [...] arrivés de Montréal pour cette Expédition ». La Jonquière dut envoyer sur place François-Marie Picoté* de Belestre qui passa en France à la fin de 1751 pour rendre compte au ministre. Le gouverneur eut aussi un assez vif conflit avec les jésuites au sujet de la mission de Sault-Saint-Louis et du missionnaire Jean-Baptiste Tournois. Trois personnes de Montréal, Marie-Madeleine, Marie-Anne et Marguerite Desauniers, s’étaient établies à la mission vers 1726 et s’y livraient avec activité au commerce, quelquefois clandestin. La Jonquière les expulsa de la colonie ainsi que le père Tournois, soupçonné de complicité.
Le commerce des pays d’en haut, au sujet duquel deux ordonnances furent publiées le 29 mai 1750, suscita des plaintes de la part de certains négociants qui prétendaient que la traite était monopolisée par « une société particulière formée d’un petit nombre de personnes parmy lesquelles il y avait des officiers des postes ». La Jonquière, qui semble par instants avoir fait preuve d’une certaine naïveté, prit mollement la défense des intéressés en ajoutant prudemment : « il n’est personne dans ce pays qui n’ait des vues secrettes d’interest ». Le gouverneur général lui-même n’en fut pas exempt et se laissa entraîner par l’intendant Bigot* dans des spéculations commerciales que ses fonctions auraient dû lui interdire. Malgré le refus de la cour, il s’associa avec Bigot, Jacques Legardeur de Saint-Pierre et Paul Marin de La Malgue pour l’exploitation des postes de l’Ouest et de Baie-des-Puants (Green Bay, Wisc.) et laissa son secrétaire, André Grasset de Saint-Sauveur, donner libre cours à ses malversations. Les remous provoqués par l’affaire Tournois-Desauniers, les dénonciations et les plaintes envoyées à Versailles étaient d’ailleurs sur le point d’entraîner le rappel de La Jonquière au moment où il mourut. Quel rôle joua-t-il exactement dans la Grande Société de Bigot ? Il est difficile de le préciser. Il semble surtout qu’il ait laissé faire et qu’il ait perçu des bénéfices, sans jouer un rôle personnel dans les opérations commerciales.
Pour faire face aux menaces anglaises, le gouverneur général se préoccupa d’accroître les forces militaires de la colonie. Il sollicita et obtint l’envoi de recrues qu’il amalgama avec les anciens soldats pour porter les effectifs des compagnies à 50 hommes, créa une compagnie de canonniers-bombardiers qui fut mise sur pied en 1750 et fit procéder la même année à un recensement général des milices, dont les effectifs atteignaient environ 12 000 hommes. La Jonquière aurait voulu voir rétablir le poste de commandant général des troupes et milices et comptait surtout, pour la défense, sur les Canadiens car les soldats venant de France « n’étant point formés dès leur jeune âge aux voyages des pays d’en-haut, moins encore à la guerre des Sauvages ne sont propres qu’à tenir garnison dans une place ». De nouvelles casernes furent construites à Montréal et à Québec ; on travailla aussi à fortifier cette dernière ville malgré l’opposition de Versailles qui craignait d’attirer ainsi une attaque anglaise. Une assemblée des habitants, réunie par Beauharnois et Hocquart* à la suite de la prise de Louisbourg en 1745, avait conclu à la nécessité de fortifier la place, et La Jonquière ne put s’opposer à la réalisation de ce désir.
Le peuplement de la colonie lui donnait du souci et il aurait voulu, comme son prédécesseur, attirer de nouveaux habitants. « Les hommes sont extrêmement rares, écrit-il au ministre le 6 octobre 1749, et la guerre en a enlevé beaucoup. La plus grande partie ont passé en France ou aux Isles [de l’Amérique] où ils sont resté et il n’y a que les troupes qui puissent les remplacer en leur donnant leur congé pour se marier. »
En bon marin, La Jonquière s’occupa d’améliorer le pilotage sur le Saint-Laurent et voulut aussi favoriser les constructions navales à Québec. Malheureusement le vaisseau l’Orignal, par suite, semble-t-il, d’une erreur du constructeur René-Nicolas Levasseur*, se brisa le jour de son lancement, le 2 septembre 1750, et ne put être réparé. Cet accident n’empêcha pas toutefois la mise en chantier de l’Algonkin.
Parmi les projets que le gouverneur général n’eut pas le temps de faire aboutir figure l’établissement dans la colonie d’une imprimerie, qu’il proposa en octobre 1751, et la réforme de l’administration de l’Hôpital Général de Montréal, qu’une ordonnance du 15 octobre 1750 réunit à celui de Québec pour recevoir tous les vieillards et invalides du Canada et de l’île Royale. Une telle décision, prise par ordre du ministre, ne pouvait, par son caractère irréaliste, que provoquer de vives protestations et elle ne put être exécutée [V. Marie-Marguerite Dufrost* de Lajemmerais].
La Jonquière se révéla au Canada un bon administrateur mais hésitant dans une période de difficultés politiques et économiques. Il était certes un homme d’un grand courage et sa carrière maritime de 29 campagnes, dont 9 combats, en est la preuve. Cependant, il est certain qu’il aimait l’argent et se révéla d’une regrettable cupidité. Il sut bien voir certains problèmes qui se posaient à la colonie et réussit à suivre en partie la politique de ses prédécesseurs mais il manqua de fermeté dans ses rapports avec les Anglais et les Indiens de l’Ouest, et fit preuve, surtout dans ses relations avec Bigot, d’une faiblesse coupable. Peu après sa mort, survenue le 17 mars 1752, à la suite de quelques mois de maladie, le gouverneur par intérim, Charles Le Moyne de Longueuil, et l’intendant Bigot pouvaient écrire : « Nous l’avons extrêmement regretté. » Il semble que ces regrets furent partagés par la population.
AN, Col., B, 89–95 : Col., C11A, 95–97 ; Col., F3, 69, ff.218ss ; Marine, B1, 63–64 ; Marine, B2, 269, f.33 ; 324, ff.466, 519 ; Marine, B3, 289, ff.256–257 ; 312, ff.34–41 ; 315, f.322 ; 426, ff.449–530 ; 446, passim ; Marine, B4, 61, ff.101–175 ; Marine, B8, 28, ff.693, 822, 851 ; Marine, C1, 165 ; 166, p. 21.— Étienne Taillemite, Dictionnaire de la marine (Paris, 1962), 162.— Frégault, François Bigot, passim ; Le grand marquis, passim ; La guerre de la conquête, passim.— Lacour-Gayet, La marine militaire sous Louis XV (1910), passim.— Troude, Batailles navales de la France, I : 311–315.
Étienne Taillemite, « TAFFANEL DE LA JONQUIÈRE, JACQUES-PIERRE DE, marquis de LA JONQUIÈRE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/taffanel_de_la_jonquiere_jacques_pierre_de_3F.html.
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Auteur de l'article: | Étienne Taillemite |
Titre de l'article: | TAFFANEL DE LA JONQUIÈRE, JACQUES-PIERRE DE, marquis de LA JONQUIÈRE |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1974 |
Année de la révision: | 1974 |
Date de consultation: | 28 novembre 2024 |