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GAULIN, RÉMI (à titre d’évêque, il signait Remigius), prêtre catholique et évêque, né le 30 juin 1787 à Québec, fils de François Gaulin, tonnelier, et de Françoise Amiot ; décédé le 8 mai 1857 à Sainte-Philomène (Mercier, Québec).
Après des études classiques et théologiques au séminaire de Québec et des études théologiques au séminaire de Nicolet (1807–1810), Rémi Gaulin accompagna, à titre de secrétaire, l’évêque Joseph-Octave Plessis* au cours d’une visite pastorale aux îles de la Madeleine et au Nouveau-Brunswick en juin et juillet 1811. Ordonné par Plessis à Québec le 13 octobre suivant, il fut aussitôt nommé vicaire de l’abbé Alexander McDonell* dans le comté de Glengarry, au Haut-Canada, où le jeune prêtre se plut beaucoup. Qualifié par ses supérieurs d’homme sensé et aimable, Gaulin desservit les catholiques de Kingston pendant les premiers mois de 1812 et y prépara la construction d’une église. En juin 1812, il fut chargé des paroisses de St Raphael (St Raphael West) et de St Andrews jusqu’au printemps de 1815. Durant la guerre de 1812, il servit comme aumônier militaire. Après avoir œuvré près de quatre ans avec McDonell, et en dépit du désir des catholiques de Kingston de le voir s’installer dans leur paroisse, il retourna à Québec en mai 1815 afin d’accompagner Mgr Plessis dans sa visite pastorale aux missions du golfe du Saint-Laurent.
Le 3 juillet, l’évêque arrivait à Arichat, dans l’île du Cap-Breton, où se trouvaient rassemblés pour cette occasion plusieurs prêtres de la région, notamment François Lejamtel*, Antoine Manseau*, Alexander Macdonell* et Angus Bernard MacEachern*. Le lendemain, Plessis nomma Gaulin premier prêtre résidant de la paroisse St Ninian, à Antigonish, en Nouvelle-Écosse, et lui confia aussi la charge de desservir Margaree et Chéticamp, dans l’île du Cap-Breton. Sans attendre, n’apportant que « [sa] soutane et [son] bréviaire », Gaulin partit pour Antigonish, localité que son arrière-grand-oncle, Antoine Gaulin*, avait desservie quelque 100 ans auparavant. En prévision de l’établissement du vicariat apostolique de la Nouvelle-Écosse [V. Edmund Burke*], Gaulin décida de s’installer à Chéticamp et, en octobre 1816, il œuvrait auprès des Acadiens de cet endroit et de Margaree, ainsi qu’auprès des Écossais établis dans la région du lac Bras d’Or. En juillet 1819, il devint responsable de la mission d’Arichat qui, selon le rapport qu’il soumit à Mgr Plessis à la fin de 1821, comptait 2 704 catholiques.,
Gaulin ne semble pas avoir été très heureux dans les Maritimes. Il fut constamment aux prises avec des difficultés financières ne parvenant pas, entre autres, à régler ses dettes envers un confrère. « À l’ignorance consommée », sur le plan religieux, des Écossais qu’il desservait et à sa frustration de ne pouvoir leur enseigner, puisqu’ils ne parlaient que le gaélique, vint s’ajouter une longue maladie qui le frappa en février 1816 et qui dura plusieurs mois. Ces facteurs expliquent peut-être que Gaulin demanda la permission de retourner à Québec. En octobre 1817, Plessis lui annonça qu’il pourrait partir l’été suivant et qu’il serait probablement envoyé dans le Haut-Canada où Alexander McDonell attendait impatiemment son retour. Même si Plessis renouvela sa permission en avril 1818, ce n’est toutefois qu’en septembre 1822, à la suite de l’arrivée de son successeur, Hyacinthe Hudon*, que Gaulin revint à Québec, emmenant probablement avec lui William Dollard, qui était malade.
Sans doute en reconnaissance de ses longues années passées dans des missions éloignées ou tout simplement à cause de sa maîtrise de l’anglais, Gaulin se vit affecter à diverses paroisses autour de Montréal. En novembre 1822, on lui confia la cure de Saint-Luc, sur la rivière Richelieu, et, le mois suivant, la desserte de Saint-Athanase (à Iberville). En janvier 1825, il fut envoyé à L’Assomption où il eut aussi à s’occuper de quatre missions des environs. Il retourna dans la région du Richelieu en octobre 1828 pour remplacer Augustin-Magloire Blanchet* à Dorchester (Saint-Jean-sur-Richelieu). Deux ans plus tard, il prit aussi en charge la nouvelle paroisse Saint-Valentin, non loin de là. On le nomma à Sainte-Scholastique (Mirabel) en octobre 1831. L’année suivante, il alla s’établir à Sault-au-Récollet (Montréal-Nord). Gaulin s’adonna à un grand nombre d’activités durant ces années (il enseigna, entre autres, la théologie à Étienne Chartier). Il fit bonne impression sur ses supérieurs et jouissait d’une grande popularité auprès de ses paroissiens. L’évêque Bernard-Claude Panet* estimait que Gaulin prêchait avec grâce et dignité. Il écrivit plus tard qu’il avait refusé d’accéder à la demande des paroissiens de Saint-Jean qui réclamaient le retour de leur curé. Il s’agissait à n’en pas douter d’un homme qui promettait.
Entre-temps, en 1826, Alexander McDonell, qui avait été le premier supérieur de Gaulin, était devenu évêque de Kingston. À la tête d’un immense diocèse comprenant tout le Haut-Canada, il se chercha longtemps un coadjuteur pour le seconder dans sa tâche, mais son rêve n’allait se réaliser que plusieurs années plus tard, après bien des échecs, dont la démission de Thomas Weld en 1830 et le refus de Thomas Maguire, de John Larkin et de Joseph-Vincent Quiblier d’accepter le poste. En 1832, dans une nouvelle tentative, McDonell invoqua ses infirmités et son âge avancé pour demander un évêque coadjuteur, et il invita ses collègues de l’épiscopat à lui trouver un digne candidat. Désireux de réduire les tensions dans son diocèse, l’évêque souhaitait la nomination d’un Canadien français plutôt que d’un Écossais ou d’un Irlandais. Mgr Jean-Jacques Lartigue* recommanda Antoine Manseau et Gaulin, tout en donnant la préférence à ce dernier en raison de sa maîtrise de l’anglais et, ironiquement (l’avenir allait bientôt le prouver), de sa santé florissante. McDonell accueillit avec enthousiasme la candidature de Gaulin, car celui-ci connaissait bien le Haut-Canada pour y avoir œuvré pendant près de quatre ans. De plus, Gaulin avait acquis une certaine connaissance de la langue gaélique pendant son séjour dans les Maritimes. Le 20 octobre 1833, il fut sacré évêque de Thabraca, en Numidie, et nommé coadjuteur de McDonell avec droit de succession. La cérémonie eut lieu à Montréal sous la présidence de Lartigue assisté par Louis-Marie Cadieux* et Jacques-Guillaume Roque*.
Pendant les quelques années qui suivirent, Gaulin s’attaqua aux nombreux problèmes inhérents à un jeune et vaste diocèse en voie de peuplement. Au cours d’une de ses longues tournées pastorales, il s’arrêta à Penetanguishene. Entrevoyant la tâche qu’un pieux et zélé missionnaire pourrait y accomplir, il nomma l’abbé Jean-Baptiste Proulx* en 1835 pour travailler dans cette région. À la fin de 1835, McDonell confia à Gaulin l’entière administration de son diocèse, qui comptait, selon les estimations, 32 missions, 22 pasteurs et quelque 60 000 catholiques. La pénurie de bons prêtres, le laxisme tant des prêtres que des laïques face à la doctrine de l’Église et l’insubordination de certains membres du clergé, en particulier William John O’Grady*, figuraient au nombre des difficultés les plus contrariantes auxquelles Gaulin eut à faire face.
Gaulin devint évêque en titre à la mort de McDonell en 1840. L’année suivante, sa santé physique et mentale commença toutefois à se détériorer. Même si elle ne l’empêcha point totalement de fonctionner, du moins au début, sa maladie allait être son lot jusqu’à la fin de sa vie. Les premières années de son épiscopat furent marquées par un certain nombre de réalisations : l’établissement à Kingston en 1841 des sœurs de la Congrégation de Notre-Dame [V. Marie-Françoise Huot*, dite sœur Sainte-Gertrude] ; la création du diocèse de Toronto la même année ; la consécration du premier évêque, Michael Power*, le 8 mai 1842 ; les démarches préliminaires au cours de l’été en vue de l’inauguration des travaux à la cathédrale de Kingston, et l’ouverture des classes au Regiopolis College, toujours en 1842. Gaulin continua aussi de faire de longues tournées pastorales à travers son diocèse.
Malgré ces succès initiaux, l’état de santé de Gaulin rendit bientôt sa situation intenable. Mgr Ignace Bourget* essaya de lui venir en aide en lui permettant de se reposer à Montréal durant l’été de 1841. Mais rien n’y fit, puisqu’en septembre suivant le vicaire général de Kingston, William Peter MacDonald*, écrivait directement à Rome pour demander de remplacer l’évêque malade physiquement et mentalement. En août de l’année suivante, l’abbé Jean-Charles Prince déclarait que Gaulin ne pouvait « plus s’occuper d’aucune affaire », opinion dont Mgr Power se fit l’écho deux mois plus tard. Dans des lettres écrites au cours de l’été de 1843, un autre prêtre donnait une description détaillée de la conduite de Gaulin : « il faut continuellement avoir l’œil au guet car il sort de sa chambre sans vêtement, appelle des gens dont on a jamais entendu parler, refuse de manger, ferme ses portes [...] Juger s’il est pénible et disgracieux d’avoir une personne de son rang au milieu de la ville. » Dans une autre lettre, il ajoutait : « On ne peut parvenir à lui que quand il lui plaît, il reste des journées entières sans prendre de nourriture, il sort tout à coup de sa chambre et se présente à la cuisine sans être décemment couvert [...] Et puis s’il devenait furieux. » On devait même de temps à autre utiliser une camisole de force. Une décision s’imposait, à n’en pas douter. Malgré le désir de Gaulin de diviser à nouveau son diocèse plutôt que d’avoir un assistant, l’épiscopat canadien fit de fortes pressions pour la nomination d’un coadjuteur ; au printemps de 1843, Bourget avait informé Gaulin que Patrick Phelan avait été choisi pour occuper ce poste.
En attendant l’arrivée des bulles pontificales, Mgr Power décida de prendre charge du diocèse de Kingston. En juin 1843, profitant d’un moment de calme de Gaulin, Power lui fit signer une lettre dans laquelle il transmettait tous ses pouvoirs à l’évêque de Toronto. Selon Power, Gaulin ne sympathisait pas avec Phelan et était « entièrement aliéné se croyant en Orient et voulant que sa pauvre ménagère lui expliquât la manière et la voie par lesquelles elle se transportait de Kingston à la terre sainte pour lui apporter les bouillons ». Quelques semaines plus tard, Bourget se rendit à Kingston où il réussit à persuader Gaulin de retourner avec lui à Montréal. Phelan reçut ses bulles en juillet et fut sacré en août. Gaulin, tout en restant dans le Bas-Canada, demeura évêque de Kingston et ne céda que graduellement l’administration de son diocèse à Phelan. Bourget favorisa la transition en nommant Gaulin vicaire général du diocèse de Montréal, président de la corporation du collège de L’Assomption (octobre 1844) et, finalement, pour la deuxième fois de sa carrière, curé de L’Assomption (septembre 1845).
Pendant plusieurs années, Gaulin fut en mesure de rendre de précieux services à Mgr Bourget dans le diocèse de Montréal. Il s’intéressa de près au collège, bâtit un couvent à L’Assomption, conféra les ordres majeurs et mineurs à bon nombre d’aspirants, dont François-Maximilien Bibaud*, Joseph-Julien Perrault*, John Farrell* et Albert Lacombe*. Il participa également au sacre des évêques Augustin-Magloire Blanchet et Joseph-Bruno Guigues*. Mais à aucun moment il ne perdit de vue son propre diocèse et, de 1849 à 1852, il tenta d’en reprendre la direction. Il s’ensuivit des remous qui amenèrent à plusieurs reprises l’intervention de la hiérarchie tant dans le Bas et le Haut-Canada qu’à Rome.
Rémi Gaulin retourna à Kingston à la fin de 1849 et, au grand désarroi du clergé du diocèse, il nomma, en février 1850, Patrick Dollard* et d’autres prêtres membres de son propre conseil épiscopal avant de commencer à mettre en marche divers projets. Les évêques canadiens ne tardèrent pas à réagir en lui rappelant que Phelan était doté de tous les pouvoirs épiscopaux, que Rome ne lui avait laissé son titre d’évêque que pour lui permettre de prendre une retraite honorable, et ils lui enjoignirent de renoncer à administrer le diocèse. En avril 1850, Gaulin accepta de se soumettre à ses collègues de l’épiscopat, mais il revint sur sa décision en juin. Malgré que Rome ait renouvelé les pouvoirs de Phelan sans faire allusion à Gaulin, ce dernier convoqua et présida une réunion du conseil épiscopal qu’il avait nommé. Le conseil adopta des résolutions attestant que Gaulin était apte à reprendre en main l’administration du diocèse, ce qu’il fit d’ailleurs. En décembre 1850, les évêques de la province ecclésiastique de Québec firent une nouvelle déclaration sur l’affaire Gaulin, mais celui-ci demeura intransigeant : « tant que je ne serai pas canoniquement destitué de mon siège, écrivit-il, j’agirai comme Évêque de Kingston ». En avril 1851, Gaulin reçut une lettre du cardinal Giacomo Filippo Fransoni, préfet de la Propagande à Rome, lui soulignant que seul Phelan gouvernait le diocèse de Kingston. Visiblement touché mais convaincu que la majorité du clergé le préférait à Phelan, il déclara qu’il allait continuer d’intervenir au besoin dans les affaires du diocèse. Un prêtre émit l’opinion que le clergé opterait pour Phelan, non par affection mais pour éviter un plus grand mal. Les troubles continuèrent. Lors du premier conseil provincial de Québec, les évêques présents amenèrent Gaulin à se soumettre à la volonté du pape, ce qu’il fit dans une lettre datée du 26 août 1851. Deux jours plus tard, Mgr Pierre-Flavien Turgeon* envoya une lettre circulaire au clergé du diocèse de Kingston, lui rappelant que Phelan était le seul responsable de l’administration du diocèse. L’affaire parut réglée, mais pas pour longtemps. Gaulin récidiva et, en décembre 1851, le pape Pie IX lui-même dut l’avertir de ne plus se mêler à l’avenir de la gouverne du diocèse. Brisé par la maladie, Gaulin se retira à Sainte-Philomène, dans le Bas-Canada. Le calme se rétablit graduellement dans les mois qui suivirent, mais Gaulin allait donner du fil à retordre à Phelan jusqu’à sa mort survenue le 8 mai 1857. Sa dépouille fut transférée à Kingston et inhumée le 1,3 mai dans la cathédrale St Mary. Plus tard, on y plana une sculpture représentant sa tête coiffée de la mitre.
Le compte rendu que fit Rémi Gaulin, le 25 septembre 1838, de sa tournée pastorale dans l’ouest du Haut-Canada a été publié dans les Annales de la Propagation de la foi (Lyon, France, et Paris), 12 (1840) : 425–432, sous le titre de « Lettre de Mgr. Gaulein, coadjuteur de Kingston, à son évêque », et dans Assoc. de la Propagation de la foi, Rapport (Montréal), n° 3 (1841) : 53–58, sous le titre de « Mission chez les sauvages du Haut-Canada ». La version parue dans les Annales est suivie, à la page 432, de « Extrait d’une lettre du même au Conseil central de Paris », lettre datée du 14 avril 1840, dans laquelle Gaulin demandait qu’on lui envoie deux missionnaires pour desservir la région du lac Supérieur. Les autres lettres de Gaulin à l’Association sont conservées aux Arch. de la Propagation de la foi (Paris), F 178 ; le Centre de recherche en hist. religieuse du Canada, Saint Paul Univ., Ottawa, possède des copies microfilmées de ces lettres.
On trouve aussi aux AAT des documents touchant l’épiscopat de Gaulin. Les AO ont aussi une copie microfilmée de ces documents ainsi que l’inventaire qui en a été fait, intitulé « Documents and letters relating to the history of the Catholic Church in the western part of the Diocese of Upper Canada prior to the establishment of the Diocèse of Toronto, December 17th, 1841 », G. A. Bean, compil. (Toronto, 1970).
Deux portraits de Gaulin méritent d’être signalés : il y a d’abord la sculpture le représentant coiffé de la mitre et, à l’évêché de Kingston, une peinture qui a été reproduite dans L. J. Flynn, Built on a rock ; the story of the Roman Catholic Church in Kingston, 1826–1976 (Kingston, Ontario, 1976).
AAQ, 301 CN, I : 36–61.— ACAM, 255.102, 832–3, -4, 833-7–8, 834-2, -7, 835-1, 837-7, 838-1, 839-5, 840-4, 842-8–11, 843-6–7, 849-1, 850-11–12, 851-2, -8, -19 ; 255.104, 842-3–4, 843-7, -9 ; 295.101, 850-48.— ANQ-Q, CE1-1, 30 juin 1787.— APC, RG 5, A1 : 73255–73257.— Arch. of the Archdiocese of Kingston, AI (Alexander MacDonell papers, corr.), 1C13-5, -7 ; 1C15-1 ; 2C1-19–20, -23 ; 2C7-16 ; 3C3-9–13 ; 5ED1-1 ; 5ER1-16 ; B (Remigius Gaulin papers), especially I (corr.), 1C8-1 ; CI (Patrick Phelan papers, corr.), 1C10-3 ; 2C3-2 ; 2C6-14 ; 3C14-12, -14 ; 4CL1-1 ; 4ED1-4 ; 4ER1-5 ; 4ER2-1, -9, -11.— ASQ, Fonds Viger-Verreau, Sér. O, 0139–0152.— Daily British Whig, 12–15 mai 1857.— Toronto Mirror, 13 oct. 1848, 15, 22 mai, 12 juin 1857.— Allaire, Dictionnaire, 6 : 297.— F.-M. Bibaud, le Panthéon canadien (A. et V. Bibaud ; 1891).— Caron, « Inv. de la corr. de Mgr Panet », ANQ Rapport, 1933–1934 ; 1934–1935 ; 1935–1936 ; « Inv. de la corr. de Mgr Plessis », 1927–1928 ; 1928–1929 ; 1932–1933 ; « Inv. de la corr. de Mgr Signay », 1936–1937 ; 1937–1938.— L.-A. Desrosiers, « Correspondance de Mgr Ignace Bourget [...] », ANQ Rapport, 1945–1946 ; 1946–1947 ; 1948–1949 ; « Inv. de la corr. de Mgr Lartigue », 1941–1942 ; 1942–1943 ; 1943–1944 ; 1944–1945 ; 1945–1946.— Le Jeune, Dictionnaire.— Léon Pouliot et François Beaudin, « Correspondance de Mgr Ignace Bourget », ANQ Rapport, 1955–1957 ; 1961–1964 ; 1965 ; 1966 ; 1967 ; 1969.— Tanguay, Dictionnaire, 4 : 201.— Douville, Hist. du collège-séminaire de Nicolet, 2 : 3–5.— A. A. Johnston, Hist. of Catholic Church in eastern N.S.— Lemieux, l’Établissement de la première prov. eccl.— C. Roy, Hist. de L’Assomption, 221–222.
J. E. Robert Choquette, « GAULIN, RÉMI (Remigius) », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 8, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/gaulin_remi_8F.html.
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Auteur de l'article: | J. E. Robert Choquette |
Titre de l'article: | GAULIN, RÉMI (Remigius) |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 8 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1985 |
Année de la révision: | 1985 |
Date de consultation: | 28 novembre 2024 |