AINSLIE, THOMAS, homme d’affaires, fonctionnaire et officier de milice, né le 8 février 1729 dans la paroisse de Jedburgh, Écosse, fils de Gilbert Ainslie et de Christian Rutherford ; le 26 mars 1762, il épousa à Jedburgh Mary Potts, et ils eurent deux fils et deux filles, puis le 2 avril 1772, à Hampton, New Hampshire, Elizabeth Martin, et de ce mariage naquirent cinq fils et trois filles, et finalement, à Édimbourg, Elizabeth Williamson, et le couple n’eut pas d’enfants ; décédé le 7 avril 1806 à sa ferme de Wells (Over Wells), près de Jedburgh, et inhumé dans l’abbaye de Jedburgh.
Après la mort prématurée de leur père, Thomas Ainslie et ses deux frères furent élevés par leur mère et par un oncle, John Ainslie. En 1748, Thomas vint en Amérique du Nord, et il semble qu’il se soit lancé dans le commerce, peut-être à Boston. En 1757, il s’était établi à Halifax, où il acquit une certaine notoriété. En 1759, il obtint une partie du commerce de ravitaillement à Louisbourg, île du Cap-Breton. Après la prise de Québec, il se rendit dans cette ville, escomptant pouvoir tirer profit de la promotion de son ami, le colonel Murray*. De juin 1760 à septembre 1762, Ainslie, nommé par Murray, administra les postes du roi, comptoirs de traite des fourrures placés sous la tutelle du gouvernement et situés dans le bas Saint-Laurent, où il détint pour un temps le monopole de ce commerce. Au printemps de 1762, à Londres, il fit au nom de Murray un rapport à lord Egremont, secrétaire d’État au Département du Sud, sur la situation générale du Canada. Pendant son séjour en Angleterre, Ainslie retourna à Jedburgh où il épousa la fille de James Potts, qui devint plus tard juge à la Cour de l’Amirauté. La même année, il devint propriétaire d’un domaine situé à Sillery, qui appartenait au séminaire de Québec et sur lequel se trouvait Samos, l’ancienne résidence de Mgr Pierre-Herman Dosquet*, laquelle avait été partiellement détruite pendant la guerre. Ainslie la reconstruisit, la rebaptisa Woodfield et y habita jusqu’en 1767, puis alla s’installer à Québec. En 1764, il avait été nommé juge de paix.
Québec possédait des services de douane depuis 1760, mais en avril 1762 la Trésorerie y établit officiellement un bureau des douanes de même qu’elle créa une succursale dans le port de Montréal. Murray recommanda la nomination de Thomas Knox au poste de receveur et d’Ainslie à celui de contrôleur des comptes du receveur. En quelques mois, Ainslie devint receveur des douanes pour la province de Québec sous la direction de Charles Stewart, inspecteur général du district douanier qui englobait aussi les colonies de New York et de la Pennsylvanie. Pour ce poste relevant directement de la métropole, Ainslie recevait un salaire de £300. Murray lui prescrivit en outre de prélever des honoraires sur la perception des droits dus au gouvernement provincial, lesquels dataient du Régime français. Le refus des marchands locaux de continuer à verser des droits provinciaux mit fin en 1768 au double aspect du poste d’Ainslie, partagé entre le gouvernement de la province et celui de la métropole.
Comme receveur, Ainslie joua un rôle de premier plan dans l’administration des douanes et dans la réglementation du commerce de la province. Ayant affaire à des fonctionnaires mal rémunérés et souvent négligents dans l’inspection et le travail de bureau, il avait la responsabilité de l’enregistrement des vaisseaux, de l’inspection des acquits-à-caution des marchands, de la recherche des marchandises taxables dans les cargaisons importées, de la perception des droits de douane, du dédouanement des cargaisons exportées et de l’application des lois commerciales de l’Empire. La médiocrité des installations douanières à Québec fut la source d’un de ses pires ennuis administratifs. Il réclama sans succès des installations appropriées pour l’entrée au bassin, l’inspection et l’entreposage des objets taxables. À partir de 1763, ses tentatives afin d’obtenir le quai du Roi dans la basse ville de Québec pour ses besoins personnels et ceux de la douane soulevèrent l’opposition des marchands et d’un jury d’accusation en 1764. Un autre problème se posa également à Ainslie. En effet, les immenses frontières du Québec facilitaient l’introduction en contrebande de marchandises venant de France, fréquemment par les îles françaises de Saint-Pierre et Miquelon et par la baie des Chaleurs. À ces deux endroits, on chargeait la contrebande sur un autre bateau et on lui faisait audacieusement remonter le Saint-Laurent. En 1763 et 1764, Ainslie parvint à mieux maîtriser ce trafic, car Murray avait procédé à l’affectation de patrouilles maritimes supplémentaires et établi une cour de vice-amirauté, nécessaire pour la répression du commerce illicite.
Après l’arrivée du lieutenant-gouverneur Guy Carleton en 1766, Ainslie s’engagea de plus en plus dans des débats complexes sur les honoraires et dans les conflits de juridiction entre le gouvernement de la métropole et celui de chaque colonie, qui entravèrent les opérations douanières partout en Amérique du Nord. En 1767, on plaça le Bureau des douanes de Québec sous l’autorité de l’American Board of Customs, formé la même année à Boston. Comme fonctionnaire relevant de la métropole, Ainslie réclama des autorités de la province de Québec qu’on l’exemptât de toute vérification. Cette requête ainsi que la perception d’honoraires autorisée par le gouvernement de Londres depuis 1765, honoraires qu’Ainslie allait établir quatre ans plus tard sur les tarifs relativement plus élevés en vigueur à Halifax, furent contestées en 1769 et 1770 par Carleton qui tentait de restreindre les dépenses publiques et de refréner la perception excessive d’émoluments par des « hommes de basse extraction et sans éducation ». Au cours de la violente querelle qui s’ensuivit, Carleton mit en doute l’intégrité d’Ainslie et réprouva les déplorables pratiques locales d’un système douanier incroyablement lourd qui donnait lieu à de graves abus de privilèges en matière d’honoraires. Malgré qu’il eût l’appui de la loi et de l’American Board of Customs de Boston, Ainslie, après avoir été menacé de suspension par Carleton, décida de mauvaise grâce, mais avec prudence, de ne pas continuer à prélever des honoraires jusqu’à ce que cette question fût réglée. En 1774, la Cour des plaids communs à Québec, auprès de laquelle Ainslie en avait appelé, rétablit son droit d’utiliser les tarifs de Halifax.
L’institution de nouveaux droits douaniers aux termes de la loi de la province de Québec sur le revenu, en vigueur à partir d’avril 1775, fit peser sur Ainslie d’autres lourdes responsabilités. La loi imposait un tarif discriminatoire dans le but de favoriser un commerce triangulaire entre la Grande-Bretagne, les Antilles et la province de Québec. Cependant, les droits élevés pour le rhum importé stimulèrent la contrebande des colonies américaines par le lac Champlain, ce qui augmenta considérablement la tâche du nouveau bureau des douanes qu’Ainslie avait établi à Saint-Jean (Saint-Jean-sur-Richelieu, Québec). Sur les quais de Québec, qui étaient sous la juridiction personnelle d’Ainslie, des saisies, des évasions violentes et des poursuites pouvaient aussi avoir quelque rapport avec le nouveau tarif. La loi permettait également à Ainslie de retenir les frais de perception des droits. N’ayant pas d’indications précises à sa disposition, il déduisit presque 9 p. cent des recettes. Les profits nets étaient versés au receveur général de la province tous les trois mois, mais Ainslie s’opposa à maintes reprises aux vérifications provinciales et refusa au vérificateur le droit légitime d’accéder aux comptes avant qu’ils ne fussent envoyés à la Trésorerie.
L’éclatement de la Révolution américaine en 1775 éclipsa les discussions qui suivirent. Grâce à des amis loyalistes et peut-être à des connaissances qui habitaient Boston, Ainslie put suivre, avec appréhension, l’évolution de la situation. Son poste de receveur des douanes l’exemptait du service militaire, mais en octobre, à la suite de l’invasion de la colonie par les Américains, il s’était volontairement engagé comme capitaine dans la milice britannique à Québec. Il se montra d’abord pessimiste quant à la possibilité pour la colonie de résister à l’envahisseur. En novembre, il écrivit à Sylvester Gardiner, à Boston : « Nous devons tomber dans quelques jours [...] Que Dieu pardonne à ceux qui nous ont si cruellement abandonnés. » Cependant, les notes quotidiennes qu’il consigna du 1er décembre 1775 au 7 mai 1776 et qui ont été considérées comme le plus complet et le plus fidèle des récits britanniques sur le siège de la ville, laissent percevoir un penchant bien européen pour l’idée de l’Empire ainsi qu’un sentiment de confiance renouvelée. Il s’éleva contre la démagogie des « ronchons » britanniques et des « brigands » américains et il allégua, le 5 mars 1776, que la commémoration par les Américains du « massacre sanglant de Boston » de 1770 dénotait une façon anarchique de rendre hommage à l’opposition illégale aux lois douanières de la Nouvelle-Angleterre. Bien qu’il n’eût jamais vu de troupes européennes participer au combat pendant la révolution, Ainslie affirma que les Américains tiraient leur force de la présence d’auxiliaires d’autres nations. Les défenseurs de Québec n’avaient « absolument rien à craindre des natifs d’Amérique », qu’ils fussent américains ou canadiens. En effet, se trouvant à l’intérieur des murs de la ville, ils « se moqueraient bien d’une armée de 10 000 habitants ». Seuls quelques-uns échappèrent aux reproches d’Ainslie à l’endroit de ces Canadiens à l’attitude si peu reconnaissante, à savoir les « nobles » et le clergé, de tendance royaliste, ainsi que la milice de la ville, laquelle avait manifesté un courage qui l’avait impressionné en repoussant l’assaut désespéré de Richard Montgomery* contre la ville, le 31 décembre 1775.
Après la retraite américaine en 1776, Ainslie recommença de percevoir régulièrement les droits de douane. En plus du bureau de Saint-Jean, on avait établi sous son autorité d’autres bureaux dans les ports du golfe du Saint-Laurent, à Gaspé et à Bonaventure, en 1775, et plus tard à New-Carlisle. Les efforts qu’il déploya pour faire obstacle au commerce illicite qui continua pendant la guerre d’Indépendance américaine et un certain temps par la suite furent entravés par des problèmes de coordination des opérations douanières et navales, par le manque de fermeté et d’uniformité des règlements affectant les douanes dans les Maritimes et dans les colonies américaines et par une réorientation confuse du commerce en Amérique du Nord. En partie pour résoudre ces problèmes, on mit en œuvre à Québec, en 1786, des formalités plus rigoureuses d’enregistrement des vaisseaux. Malgré cela, le nombre de faux enregistrements d’origine britannique ou coloniale pour des vaisseaux américains, particulièrement dans la baie des Chaleurs, continua d’être très élevé. D’un autre côté, selon Ainslie, le commerce illicite par voie de terre diminua notablement avec l’élargissement des restrictions commerciales.
La fermeture du port de Québec pendant la longue saison d’hiver permettait à Ainslie de s’absenter fréquemment pour aller le plus souvent en Angleterre, censément pour des affaires de douane. En 1768, Carleton avait été forcé de faire ordonner le retour d’Ainslie à la suite d’une absence prolongée, abus d’ailleurs commun dans tout le réseau douanier de l’Empire. Au cours de deux de ces séjours à Londres, en 1777 et 1784, Ainslie, pour qui le commerce en Amérique du Nord britannique n’avait plus beaucoup de secrets, témoigna au Conseil privé sur la question. À ces deux occasions, ainsi qu’à Québec en 1786, il tenta en vain de se faire nommer au Conseil législatif de Québec.
En 1786, Carleton, devenu lord Dorchester, revint à Québec comme gouverneur ; on ne manqua pas alors de soumettre à plusieurs reprises les opérations d’Ainslie à des vérifications minutieuses. De toute évidence conscient de la réglementation plus rigoureuse des opérations coloniales mise de l’avant par le Customs Board de Grande-Bretagne, ainsi que des efforts de cet organisme pour réformer le système douanier britannique, Dorchester reconnut également la balance défavorable du commerce de la province de Québec et l’insuffisance irrémédiable des revenus de la colonie, tirés en grande partie de la Trésorerie britannique. Selon lui, parmi les causes majeures, il y avait l’absence de réglementation concernant les honoraires, la non-vérification des comptes du receveur général [V. William Grant (1744–1805) ; sir Thomas Mills* ] et, enfin, Ainslie lui-même. Lors d’une enquête provinciale du Conseil législatif sur les revenus, en 1788, la Trésorerie confirma le besoin d’une vérification plus serrée, et Thomas Scott, contrôleur d’Ainslie, qui n’avait reçu aucune part des honoraires de douane prélevés depuis sa nomination en 1769, apporta un témoignage préjudiciable. Le laxisme dont Ainslie fit preuve dans l’administration du Bureau des douanes de Québec, ses méthodes comptables et l’augmentation en 1787 de la déduction pour ses honoraires qu’il haussa à environ 13,5 p. cent par an, de même que l’augmentation des autres frais imputables sur les revenus de la province – hausses faites dans le but, justifiable jusqu’à un certain point, de compenser les baisses antérieures de salaires et une charge de travail accrue – suscitèrent de nouveau les critiques de Dorchester en 1795 et 1796. Cependant, des lacunes administratives comme celles d’Ainslie étaient monnaie courante dans la bureaucratie de l’Empire, et le receveur pouvait compter sur l’approbation tacite de la Trésorerie. En 1791, elle le désigna même pour faire une enquête sur « l’état des nombreux ports » et sur les opérations douanières en Nouvelle-Écosse, au Nouveau-Brunswick, à l’île Saint-Jean (Île-du-Prince-Édouard) et à l’île du Cap-Breton. Son rapport n’a malheureusement pas survécu. Néanmoins, on sait que des intérêts commerciaux divers et des mesures tarifaires diversifiées avaient abouti à des services douaniers indépendants au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse, plutôt qu’à un système intégré, et que chacun de ces services souffrait d’une sérieuse insuffisance de revenus et manquait vraisemblablement de personnel. Même si en 1794 un navire douanier supplémentaire avait été mis à la disposition d’Ainslie, on éprouva, au Québec comme en Nouvelle-Écosse, des difficultés à enrayer la pratique intensive de la contrebande ainsi que le faux enregistrement de navires britanniques, qui permettait de contourner plusieurs lois commerciales restrictives.
À partir des années 1770, parallèlement à son travail aux douanes, Ainslie s’occupa également d’affaires à titre personnel. En novembre 1774, il acquit du marchand québécois Jacques Perrault*, dit Perrault l’aîné, pour une somme de £400 comptant, le droit de percevoir une dette de £500 que devait régler Louis Liénard de Beaujeu de Villemonde. En août 1779, il acheta, au prix de £600, trois lots à la jonction des rues Sainte-Anne et du Trésor avec la place d’Armes ; cet achat comprenait deux maisons, dont une sise rue Sainte-Anne qu’Ainslie occupait, à titre de locataire, depuis un certain nombre d’années. La maison d’Ainslie faisait face à la place d’Armes. En 1786, un désaccord apparemment né de sa négligence à faire enlever la neige lui valut d’être battu à coups de mousquet et d’échapper de justesse à la pointe de la baïonnette d’une sentinelle. L’incident était une manifestation des dissensions entre civils et militaires, qui bouillonnaient sous le couvert de cette société qu’Ainslie avait décrite une fois auparavant comme « très ordonnée, [rappelant celle] de la Nouvelle-Angleterre ». En 1793, il vendit toute la propriété acquise en 1779, sauf sa maison, à James Fisher* pour £775. Toujours en 1793, il acheta le quart des intérêts de la brasserie Young and Company de Québec pour £6 000. Deux ans plus tard, Christian (Christianna), la fille d’Ainslie, épousa John Young, un de ses associés. En 1796, Ainslie transmit à son fils Gilbert ses intérêts dans la Young and Company, pour une somme de £3 850, dans le but de le lancer en affaires. La prospérité d’Ainslie n’est cependant pas certaine, puisqu’il devait £3 030 à Joshua Winslow en 1797, dette qui n’avait pas encore été remboursée en 1800. Ce n’est que pendant les années 1790 qu’Ainslie se mêla à la vie sociale de la communauté britannique de Québec. En 1794, il devint membre de l’Association, formée cette année-là pour appuyer le système politique en vigueur en Grande-Bretagne et dans ses colonies. Il devint également lieutenant-colonel du Québec Battalion of British Militia. De 1794 à 1796, il occupa le peste de grand maître adjoint de la Society of Free and Accepted Masons.
Il semble qu’Ainslie ne se résigna jamais à la vie dans la colonie, malgré qu’il y vécût pendant longtemps. En 1799, il mit en vente sa maison, ainsi qu’une ferme à Sainte-Foy, et se retira à Londres. Thomas Scott lui succéda comme receveur des douanes. Ainslie habita Londres pendant quelque temps, mais en 1804 il s’était installé à Wells, à quatre milles de l’endroit où il était né. En 1802, il avait vendu pour £400 un lot acquis en 1780 au prix d’environ £200 dans le faubourg Saint-Jean, près de Québec. En 1803, il avait reçu une concession de 700 acres de terre dans le canton de Granby, qu’il vendit en tout ou en partie £28 à Josias Wurtele*, l’année suivante. Deux ans plus tard, après que Gilbert se fut dissocié de Young, Ainslie intenta une action en revendication contre son fils et recouvra des propriétés, dont la brasserie. Il mourut dans sa paroisse natale en 1806.
Comme receveur des douanes, Thomas Ainslie participa au développement du commerce dans la province de Québec pendant presque 40 ans, peut-être la plus longue période de service d’un fonctionnaire de la colonie relevant du gouvernement de la métropole. Sa participation à de nombreuses controverses et, notamment, les âpres conflits qui l’opposèrent à Carleton au sujet des honoraires et des comptes peuvent servir d’exemples pour illustrer les problèmes administratifs considérables qui affligèrent l’ensemble des services douaniers de l’Empire, pendant tout le xviiie siècle.
Thomas Ainslie est l’auteur d’un journal du siège de Québec, dont le manuscrit original est conservé à la Houghton Library, Harvard Univ., Cambridge, Mass.
ANQ-Q, CN1-25, 18 août 1779, 11 nov. 1780, 26 févr. 1783 ; CN1-205, 11 déc. 1772, 16 juill. 1773, 12 févr. 1778 ; CN1-230, 8 févr., 22 mars 1802, 1er août, 1er sept. 1804 ; CN1-248, 7 nov. 1774 ; CN1-256, 10 oct., 13, 16 nov. 1793, 18 mai, 15 août 1798, 20 févr. 1800 ; CN1-284, 12 févr. 1793, 18 juill. 1795, 13 août 1800.— AP, Cathedral of the Holy Trinity (Québec), Reg. des baptêmes, mariages et sépultures, 21 juin, 9 août 1773, 21 mars 1776, 7 août 1777, 22 mars 1782, 22 janv. 1784, 3 juin 1785, 21 juill. 1797.— APC, MG 23, GII, 1, sér. 1, vol. 1–3 ; sér. 3 ; 26 ; MG 55/30, n°2 ; RG 1, E1,106–107 ; 112 ;RG 4, A1,1 ; 12–15 ; 17 ; 19–20 ; 28 ; 30–31 ; 44 ; 50 ; 62 ; RG 68, 89 ; 202.— Arch. privées, C. M. Ainslie (Oxford, Angl.), Rens. généal. et familiaux.— BL, Add.
David Roberts, « AINSLIE, THOMAS », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 5, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/ainslie_thomas_5F.html.
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Auteur de l'article: | David Roberts |
Titre de l'article: | AINSLIE, THOMAS |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 5 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1983 |
Année de la révision: | 1983 |
Date de consultation: | 28 novembre 2024 |