WRIGHT, ALEXANDER WHYTE, milicien, journaliste, chef syndical, réformateur, fonctionnaire et organisateur politique, né le 17 décembre 1845 dans le Haut-Canada, fils de George Wright et de Helen Whyte ; le 26 janvier 1876, il épousa à Guelph, Ontario, Elizabeth Runciman Simpson (décédée en 1913), et ils eurent une fille ; décédé le 12 juin 1919 à Toronto.
Alexander Whyte Wright était fils d’immigrants écossais. Il vit probablement le jour près de l’établissement d’Almira, dans le canton de Markham, quoique certaines sources le disent plutôt né à Elmira, dans le comté de Waterloo. Il fréquenta l’école publique à New Hamburg dans les années 1850. Après avoir été un moment commis de pharmacie, il travailla dans l’industrie lainière (comme sa famille), d’abord en 1863 à Linwood, puis à Preston (Cambridge), à St Jacobs et à Guelph. Athlète et joueur de crosse dans sa jeunesse, il se joignit à l’ordre d’Orange et à la milice de Waterloo. Il combattit les féniens en 1866 avec le 29th (Waterloo) Battalion of Infantry et participa à l’expédition du colonel Garnet Joseph Wolseley à la Rivière-Rouge en 1870–1871 à titre de sergent-major dans le 1 st (Ontario) Battalion of Rifles.
Vers la fin des années 1860, Wright se fit imprimeur. Il entama ensuite sa carrière de journaliste au Guelph Herald, puis participa à la direction du Sun d’Orangeville, du Stratford Herald, and County of Perth Advertiser et du Guelph Herald. En tant que rédacteur en chef et partisan tory, il prônait le nationalisme et le développement industriel, mais il montrait aussi un penchant pour les solutions économiques radicales, dont l’étatisation, la réforme monétaire et la réforme ouvrière. Wright défendait ces positions à la fois par écrit et sur les tribunes. C’était d’ailleurs un orateur très doué. Ainsi, à l’élection partielle fédérale qui se tint dans la circonscription de Guelph en 1876, il prit la parole en faveur du candidat protectionniste des conservateurs, James Goldie. « Lorsqu’il parlait d’un sujet qu’il connaissait bien, a écrit un biographe, il était imbattable. Son style était brillant et incisif, et il avait le don de faire des analyses pénétrantes. Il était à son meilleur quand on l’interpellait. Il suscitait les interruptions, car personne ne pouvait avoir raison de lui dans une joute intellectuelle. »
Après s’être installé à Toronto en 1878 pour assumer la fonction de rédacteur en chef du National, Wright se servit de cette publication pour promouvoir la Politique nationale du premier ministre sir John Alexander Macdonald*. Parmi la multitude de journaux torontois des années 1870, le National était peut-être le plus intéressant du point de vue intellectuel, et il avait été le porte-parole de Thomas Phillips Thompson*. Cet éminent radical et Wright étaient très influencés par l’idéologie axée sur les intérêts des producteurs et défendue par Isaac Buchanan*, de Hamilton. Aux élections de 1878, qui portèrent sur la Politique nationale, Wright donna d’ailleurs des conférences en faveur du protectionnisme pour la Dominion National League de Buchanan. Puis, au lendemain de la victoire tory, il manœuvra avec Buchanan en vue de propager les idées de réforme monétaire et d’étatisation au sein de la Workingmen’s Liberal Conservative Union. Dans l’un de ses nombreux efforts pour établir un pont entre la direction du Parti conservateur et les membres favorables à l’idéologie de la réforme, Wright tenta d’amener Macdonald à soutenir à la fois le National et sa proposition d’écrire une biographie du premier ministre à l’intention du grand public. Dans les deux cas, il échoua.
Les difficultés financières du National amenèrent Wright et son associé, Henry Edward Smallpiece, à prendre en main le Guelph Herald au cours de l’été de 1879. À titre de rédacteur en chef et de coproducteur du Herald, Wright promut un plan en vertu duquel le gouvernement construirait le chemin de fer canadien du Pacifique à l’aide d’un mécanisme compliqué de financement qui supposait une réforme radicale de la monnaie. De plus, avec Buchanan, il réorganisa la Financial Reform League of Canada pour en faire la Currency Reform League, dont il devint secrétaire et William Wallace*, président. En même temps, il continuait de militer à la Workingmen’s Liberal Conservative Union et d’essayer de se servir de cette organisation tory novatrice pour amener l’électorat ouvrier à véhiculer ses idées radicales. Il souhaitait par exemple gagner cet électorat à la cause des beaverbacks, qui était une variante canadienne de la cause défendue par le mouvement américain des greenbacks et qui consistait à prôner à la fois le protectionnisme en faveur de l’industrie canadienne, la réinstauration du droit gouvernemental d’émettre du papier-monnaie et la création d’un système de papier-monnaie fondé sur le crédit du dominion. Retourné à Toronto en 1880 pour diriger le Commonwealth, journal beaverback favorable à la réforme foncière, ouvrière et monétaire, Wright obtint que la Workingmen’s Liberal Conservative Union l’appuie comme candidat beaverback à l’élection partielle fédérale dans Toronto West. Il recueillit seulement un peu plus de un pour cent des suffrages, mais ses prises de position indépendantes annonçaient les défis politiques que le mouvement ouvrier lancerait à l’hégémonie tory à Toronto dans les années 1880.
Wright parcourut le nord-est et le centre-ouest des États-Unis plus tard en 1880 pour prendre la parole dans le cadre des campagnes du National Greenback Labor Party, puis il rentra à Toronto pour s’intégrer à l’équipe de rédaction d’un journal tory, le World. En tant que secrétaire de l’Ontario Manufacturers’ Association de 1882 à 1886, il travailla dur pour le Parti conservateur, en employant des méthodes traditionnelles. En 1885, avec l’éditeur Frederic Nicholls*, il compila un volume commémoratif sur les assemblées de masse tenues en l’honneur des 40 ans de vie publique de sir John Alexander Macdonald. Il ne négligeait pas pour autant l’électorat ouvrier. Dans la décennie suivante, il s’imposerait comme le grand leader canadien des Chevaliers du travail, principale organisation nord-américaine en faveur de la réforme. À ce titre, il aiderait à désamorcer la révolte des travailleurs ontariens dans les années 1880 et à redonner au Parti conservateur une base ouvrière. Pour voir comment cet intrigant de premier ordre réalisa ses desseins, il faut reconstituer toute une série de magouilles.
En 1883, Wright s’était inscrit aux Chevaliers du travail, probablement à l’assemblée locale Excelsior no 2305, seule section torontoise à englober divers métiers. En juin 1886, il passa à la nouvelle assemblée locale Victor Hugo no 7814, où l’on trouvait surtout des journalistes et autres « travailleurs intellectuels », dont Thomas Phillips Thompson et Robert Lincoln Simpson, beau-frère de Wright et journaliste lui aussi.
Jusqu’en 1886, Wright resta discret chez les Chevaliers du travail. Puis, cette année-là, en revenant d’Europe, où il avait représenté le Canada à titre d’agent gouvernemental à des expositions à Anvers et à Londres, il relança des plans qu’il avait proposés deux ans plus tôt. En 1884, il avait laissé entendre au premier ministre Macdonald que, avec des fonds suffisants, il pourrait s’approprier l’un des nouveaux journaux de la réforme ouvrière. Comme bon nombre de ses projets, celui-ci n’avait pas trouvé tout de suite un écho favorable, mais le 15 mai 1886, pendant la dure grève de la Toronto Street Railway Company – à laquelle était mêlé le sénateur conservateur Frank Smith*, ce qui nuisait aux intérêts des tories –, Wright commença à publier le Canadian Labor Reformer, dont Robert Lincoln Simpson et George Roden Kingsmill étaient administrateurs. Il proposa à Macdonald que le journal « défende un programme purement ouvrier et attaque même le Parti conservateur quand cela pourrait se faire sans dommage », mais il l’assura que, en fin de compte, « ce serait bénéfique » pour le parti.
Wright alla plus loin et conçut des stratagèmes pour affaiblir l’assemblée locale no 2305 des Chevaliers du travail, qui était de tendance grit et était dominée par Daniel John O’Donoghue*. Il proposa de créer une assemblée de district à Toronto ; O’Donoghue dénonça ce projet, qu’il considérait comme un facteur possible de dissensions. Wright réussit quand même : l’assemblée de district no 125 obtint sa charte le 17 mai, au plus fort de la grève des tramways. Wright en fut élu secrétaire, naturellement ; à partir de là, il entreprit une nouvelle étape de sa carrière dans la réforme ouvrière.
Tant les élections ontariennes de la fin de 1886 que les élections fédérales du début de 1887 se déroulèrent dans une atmosphère fiévreuse, et les partis se disputèrent âprement le suffrage des travailleurs. Il y eut aussi un certain nombre de candidats ouvriers et, aux élections ontariennes, ils remportèrent quelque succès. Wright était au cœur des intrigues politiques. Au scrutin provincial, il se présenta dans Lambton West contre le ministre libéral Timothy Blair Pardee* en prétendant être un candidat ouvrier soutenu par les Chevaliers du travail, et il fut défait. Après les élections provinciales et fédérales, O’Donoghue, par la voix de son journal le Labor Record, et Wright, par celle du Labor Reformer, s’accusèrent mutuellement de sectarisme. La politique ouvrière indépendante fut la principale victime de cette escalade d’injures.
Wright n’en continua pas moins ses manœuvres. Avec Samuel McNab, le maître-ouvrier de l’assemblée de district no 125, il promut l’idée de former au Canada une assemblée générale distincte de l’assemblée générale, sise aux États-Unis, qui gouvernait l’ordre. Proposée d’abord en 1885 par l’assemblée du district de Hamilton no 61, l’idée refit surface en janvier 1887 quand l’assemblée du district de London no 138 se prononça en faveur d’une assemblée canadienne. Terence Vincent Powderly, chef de l’ordre en Amérique du Nord, attisa le nationalisme des membres en commettant la bévue d’exhorter tous les Chevaliers du travail à célébrer le 4 juillet en 1887. En septembre, par suite d’une convocation de Wright et de McNab, des Chevaliers du travail de tout l’Ontario se réunirent à Toronto pour discuter d’« autonomie ». Ce congrès appuya la création d’une assemblée canadienne, et la proposition devait être présentée à l’assemblée générale des Chevaliers du travail à Minneapolis à l’automne. Toutefois, prévenu par O’Donoghue, Powderly désamorça le mouvement en concédant la formation d’assemblées provinciales en Ontario et au Québec et la création d’un comité législatif qui ferait pression sur Ottawa. Résolu à écarter son rival de ce comité, O’Donoghue suggéra à Powderly de nommer plutôt Wright conférencier pour le compte des Chevaliers du travail.
Powderly appliqua cette recommandation l’année suivante, et Wright devint conférencier et inspecteur de l’organisation en Ontario. À l’assemblée générale de 1888, à Indianapolis, il s’insinua dans les bonnes grâces de Powderly et se fit élire au grand comité directeur (il était le premier Canadien à atteindre une si haute fonction dans l’ordre), ce qui lui permit de déloger O’Donoghue de la place de principal conseiller canadien de Powderly. Dans son nouveau rôle, Wright veilla à éliminer du comité législatif canadien tout vestige de l’année précédente. Dès la fin de 1890, l’ordre était en déroute au Canada et, peu à peu, Powderly laissa le comité législatif tomber en désuétude.
Les accusations et contre-accusations de sectarisme et de présence d’« hommes politiques dans l’ordre » expliquent sûrement en partie le déclin des Chevaliers du travail au Canada. Wright joua un rôle capital dans cette empoignade qui contribua à faire perdre à l’organisation sa place de principal porte-parole politique du mouvement ouvrier. En tant que rédacteur en chef du Journal of the Knights of Labor de Philadelphie à compter de 1889 et de membre du grand comité directeur, il participa aussi aux conflits de direction qui déchirèrent l’ordre aux États-Unis et provoquèrent la chute de Powderly à l’assemblée générale de 1893. En fait, les diverses entreprises dans lesquelles Wright s’était lancé en vue de faire de l’argent – par exemple le Labor Day annual et une société d’assurance-accidents –, son manque de rigueur à titre de rédacteur en chef et une certaine négligence dans sa comptabilité personnelle, servirent d’arguments dans la lutte de pouvoir entre Powderly et John W. Hayes. La victoire de ce dernier mit fin à l’opportunisme de Wright, qui n’eut plus aucune influence au sein de l’ordre.
Certes, Wright continua de comploter avec Powderly et d’autres en vue de reprendre le pouvoir, mais en vain. Il ne réussit pas davantage à lancer un journal destiné aux travailleurs, mais financé par le Parti républicain. Pendant les élections ontariennes de 1894, il soutint la révolte agrarienne des Patrons of Industry [V. George Weston Wrigley*], sans doute (du moins en partie) à cause du tort qu’elle causerait au gouvernement grit de sir Oliver Mowat*. Camouflé à demi sous le pseudonyme de Spokeshave, il encouragea les agriculteurs à la dissension dans le Canada Farmers’ Sun jusqu’en 1896, moment où il réintégra les rangs des tories.
Wright profiterait de ses relations avec le monde ouvrier jusqu’à la fin de sa vie. En octobre 1895, le gouvernement fédéral conservateur de sir Mackenzie Bowell le nomma seul commissaire royal d’enquête sur le sweating system dans l’industrie canadienne. Une série d’assemblées publiques révéla les horribles conditions qui régnaient dans les métiers du vêtement. Publié en mars 1896, quelques mois avant les élections fédérales, le rapport de Wright recommandait uniquement de modifier les lois provinciales sur les manufactures de manière qu’elles s’appliquent à tous les lieux de travail, maisons comprises. Les conservateurs, qui, au dire de certains, avaient formé la commission uniquement dans des buts électoraux, refusèrent d’agir. On accusa même Wright d’avoir fait campagne pour le parti pendant l’enquête ou juste après.
Plus tard en 1896, Wright contribua à la campagne présidentielle de William McKinley aux États-Unis à titre de propagandiste. Engagé sur la recommandation de Powderly, il fut chargé de préparer de la documentation économique à l’intention de l’électorat ouvrier. L’année suivante, il se retrouva à New York en tant que rédacteur en chef de l’Union Printer and American Craftsman. Recruté à nouveau par le Parti conservateur fédéral du Canada, il devint en juillet 1899 l’un des trois organisateurs pour le sud-ouest de l’Ontario. Encore une fois, il trempa jusqu’au cou dans des intrigues. Il seconda son vieux collègue journaliste William Findlay Maclean*, qui s’en prenait au chef des tories provinciaux, James Pliny Whitney, et tentait d’empêcher le parti ontarien de continuer d’appliquer ce qu’ils considéraient comme une « politique de laisser-faire ». Cependant, dès l’été de 1901, installé dans une maison à Niagara (Niagara-on-the-Lake), Wright employait ses talents exceptionnels à assurer la victoire des conservateurs dans plusieurs circonscriptions clés aux prochaines élections provinciales suivantes. Trois ans plus tard, le chef des conservateurs à Ottawa, Robert Laird Borden*, lui confia, ainsi qu’à un organisateur de longue date, Thaddeus William Henry Leavitt, le mandat de s’occuper de l’organisation fédérale en Ontario.
Après ce travail, Wright demeura sur la scène publique. Fervent partisan de l’intervention de l’État dans l’exploitation de l’hydroélectricité et le raffinage du nickel, il se fit le champion du « pouvoir du peuple » à compter de 1907 en tant que président de la Canadian Public Ownership League. Cet habile homme politique avait peu de sympathie pour les partisans, dont Francis Stephens Spence, qui voyaient dans cette cause un moyen de promouvoir la réforme morale, et notamment la tempérance. Candidat indépendant dans Toronto West aux élections provinciales de 1908, Wright affronta un groupe de candidats comprenant un socialiste, un ouvrier, un libéral et un conservateur ; il se classerait troisième avec 21 % des suffrages. Dans ses tracts, il se présentait comme un libéral-conservateur qui soutenait le gouvernement Whitney. Cependant, certains éléments de son programme allaient au delà de la politique gouvernementale, car il prônait entre autres le contrôle public sur le raffinage du nickel, le droit pour les citoyens de présenter et de voter des lois, la réforme de la fonction publique et de la fiscalité de même que la mise en vigueur d’une indemnisation pour les accidents du travail.
Après avoir séjourné en Grande-Bretagne en 1910–1911 pour promouvoir le commerce préférentiel au sein de l’Empire, Wright rentra au Canada. Aux élections fédérales de septembre 1911, sa position impérialiste l’amena à se prononcer publiquement contre la réciprocité avec les États-Unis, puis, au scrutin provincial de décembre, il fit des discours pour les conservateurs. Dans les périodes où il ne retirait pas de revenu de ses charges publiques et de ses fonctions d’organisateur, Wright travaillait, semble-t-il, dans le journalisme et les affaires. De 1909 à 1914, il fut rédacteur en chef d’un journal ouvrier tory, le Lance de Toronto ; en 1912, il dirigea la Toronto Fire Brick Company Limited. Le gouvernement Whitney le récompensa en 1914 pour ses longues années de service en le nommant vice-président de la nouvelle Commission des accidents du travail. Victime d’une légère crise d’apoplexie en 1918 à Niagara-on-the-Lake, Wright ne s’en remit jamais tout à fait et mourut l’année suivante dans sa maison de l’avenue Macdonell à Toronto. De confession presbytérienne, il fut inhumé au cimetière Prospect.
Alexander Whyte Wright commença sa carrière dans de petites localités ontariennes et se hissa jusqu’à la haute direction des Chevaliers du travail, un des sommets du mouvement nord-américain de réforme ouvrière. Il vécut d’expédients et de l’exploitation de ses dons d’auteur. Dans tous les domaines de son existence, il adorait l’intrigue et la manipulation. Fier d’avoir été orangiste et militaire dans sa jeunesse, il n’eut aucun mal par la suite à appuyer les conservateurs. Bien que ses convictions sur le plan économique aient été un peu radicales, il plaça presque toujours en premier lieu la loyauté au parti. Médiateur important entre la classe ouvrière et un parti politique traditionnel, il représente le courant de conservatisme canadien qui embrassa la cause de la réforme.
Les papiers d’Alexander Whyte Wright sont conservés aux AN, MG 29, A15. Ses publications comprennent : Report of the demonstration in honour of the fortieth anniversary of Sir John A. Macdonald’s entrance into public life […] (Toronto, 1885), compilé avec Frederic Nicholls (attribué incorrectement dans le Répertoire de l’ICMH à Arthur Walker Wright) ; Chevaliers du travail, District Assembly 125, Report of A. W. Wright, delegate from DA 125 to the Philadelphia session of the General Assembly, Knights of Labor (Toronto, 1894 ; exemplaire dans ses papiers) ; Labor Day annual (Philadelphie), 1893, préparé avec T. V. Powderly ; Report upon the sweating system in Canada (Ottawa, 1896) ; et Confidential letter to Liberal-Conservative workers : Toronto, May 1st, 1902 (Toronto, 1902), rédigée en collaboration avec T. W. H. Leavitt. Wright est aussi l’auteur d’un texte non publié intitulé « County Waterloo’s part in the Fenian raids » (texte dactylographié, s.d.), conservé dans ses papiers.
AN, MG 24, D16 ; MG 26, A.— AO, RG 22-305, nos 27800, 38540 ; RG 80-5-0-61, no 11971.— Catholic Univ. of America (Washington), Dept. of Arch. and
Gregory S. Kealey et Christina Burr, « WRIGHT, ALEXANDER WHYTE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 14, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/wright_alexander_whyte_14F.html.
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Auteur de l'article: | Gregory S. Kealey et Christina Burr |
Titre de l'article: | WRIGHT, ALEXANDER WHYTE |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 14 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1998 |
Année de la révision: | 1998 |
Date de consultation: | 28 novembre 2024 |