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ALDERSON, sir EDWIN ALFRED HERVEY, officier, né le 8 avril 1859 à Capel St Mary, Angleterre, fils aîné d’Edward Mott Alderson et de Catherine Harriett Swainson ; le 5 mai 1886, il épousa à Brackley, Angleterre, Alice Mary Sergeant, et ils eurent un fils ; décédé le 14 décembre 1927 à Lowestoft, Angleterre.
Edwin Alfred Hervey Alderson, dont le père était vétéran de la guerre de Crimée et lieutenant-colonel du 97th Foot, grandit dans une famille passionnée de chasse et de sports de plein air. À 17 ans, il occupait un poste subalterne dans l’artillerie de la milice du Norfolk. Deux ans plus tard, en 1878, il s’intégra à l’ancienne unité de son père, qui deviendrait bientôt le Royal West Kent Regiment. Après l’avoir rejointe à Halifax, en Nouvelle-Écosse, il la suivit à Gibraltar, puis en Afrique du Sud, où il fut affecté au dépôt de la Mounted Infantry à Laing’s Nek. Improvisée à chaque campagne, la Mounted Infantry recrutait d’ambitieux officiers désireux de servir à l’extérieur de leur régiment. Alderson combattit en Égypte en 1882 à titre d’officier de cette infanterie. En 1884–1885, au Soudan, il participa, avec le Mounted Camel Regiment, à l’expédition désespérée qui tenta en vain de sauver le major-général Charles George Gordon. Il remporta une médaille de la Royal Humane Society pour avoir tiré un soldat des eaux du Nil en 1885.
Promu capitaine en 1886, Alderson fut nommé adjudant du dépôt de la Mounted Infantry à Aldershot, en Angleterre, ce qui le hissa à un rang assez élevé pour lui permettre d’épouser une fille du vicar de Chesterton, à Oxford, Alice Mary Sergeant. Il servit dans son ancien régiment en tant qu’adjudant de 1890 jusqu’à son entrée au Staff College de Camberley en 1894. Major à la fin de l’année suivante, il retourna en Afrique du Sud, où il commanda la Mounted Infantry au cours de la répression de la révolte des Matabélés en 1896 et, à titre de lieutenant-colonel honoraire, toutes les troupes stationnées au Mashonaland. À son retour à Aldershot, il fut placé à la tête de la Mounted Infantry en qualité de sous-adjoint à l’adjudant général.
La vie de garnison donna à Alderson le loisir et la motivation nécessaires pour écrire With the Mounted Infantry and the Mashonaland Field Force, 1896, qui parut à Londres en 1898. Les fusiliers à cheval, affirmait-il, n’étaient pas des cavaliers, mais plutôt des fantassins sélectionnés à cause de leurs qualités de tireurs et « dotés d’un moyen de locomotion supplémentaire ». Féru de chasse à courre comme son père, il pratiqua ce sport avec le Shorncliffe Drag, le Staff College Drag et, en Afrique, le Cape Jackal et les Salisbury Hounds. Dans son livre le plus populaire, publié à Londres en 1900, Pink and scarlet : or hunting as a school for soldiering, il faisait valoir que la chasse constituait un entraînement idéal pour un jeune officier car elle exigeait du courage, des décisions rapides et du coup d’œil pour le terrain.
La guerre des Boers opposa une nation de fusiliers à cheval à toute l’armée de Grande-Bretagne. Alderson arriva en Afrique du Sud au début de 1900 pour commander une brigade sous l’autorité de son ami, lui aussi fervent adepte de la Mounted Infantry, Edward Thomas Henry Hutton, ex-officier général commandant la milice canadienne. Deux bataillons du Canadian Mounted Rifles servirent sous les ordres d’Alderson, et le commandant du 2nd Canadian Mounted Rifles, Thomas Dixon Byron Evans, le trouva beaucoup mieux que Hutton, qui n’avait aucun tact. En 1901, le gouverneur général lord Minto [Elliot*] tenta sans succès de faire venir Alderson au Canada pour lui confier le poste d’officier général commandant de la milice. Dès la fin de 1901, Alderson détenait le grade-titre de colonel et le grade effectif de général de brigade ; il était inspecteur général de l’infanterie à cheval, compagnon de l’ordre du Bain et aide de camp de la reine Victoria. Promu au grade effectif de colonel en 1903, il commanda durant quatre ans la 2nd Infantry Brigade à Aldershot. En 1906, il devint major-général et, de 1908 à 1912, il dirigea la 6th (Poona) Division de l’armée de l’Inde. Mis ensuite à la demi-solde, il put se réjouir à la perspective de se consacrer à la chasse et à sa nouvelle passion, le yachting. Il était sur le point de devenir grand veneur du South Shropshire Hunt lorsque, en août 1914, la guerre éclata en Europe.
Sans délai, Alderson fut placé à la tête d’une division de cavalerie volontaire et des troupes du Norfolk et du Suffolk ; la défense de ces comtés lui incombait. Vu son expérience des Canadiens, son nom fut porté sur la liste des commandants possibles de la division que l’on était en train de mobiliser à Valcartier, dans la province de Québec. Si le colonel Samuel Hughes, ministre de la Milice et de la Défense du Canada, ne pouvait pas commander « ses gars », Alderson, malgré son âge, semblait le meilleur choix. À cause de la réputation qu’il s’était faite en Afrique du Sud, les Canadiens pensaient qu’il « ne mettrait pas ses hommes en difficulté. »
Fraîchement promu lieutenant-général, Alderson rencontra le Corps expéditionnaire canadien lorsque celui-ci débarqua en Angleterre en octobre. Ses rapports avec Hughes, qui avait précédé le Corps expéditionnaire, mettraient à rude épreuve ses talents de diplomate. Le ministre affirmait que son contingent était parfait ; Alderson le trouva mal équipé, mal entraîné, avec bien des officiers médiocres. Pendant quelques mois froids et pluvieux d'entraînement dans la plaine de Salisbury, il fit son possible pour arranger les choses : il congédia quelques-uns des officiers choisis par Hughes et remplaça, par de l'équipement britannique, l'équipement de fabrication canadienne qui était inutile. Par mégarde, il se mit à dos le représentant de Hughes en Angleterre. Consterné par les conditions de vie dans les camps, le colonel John Wallace Carson convainquit le ministère de la Guerre d'expulser les soldats britanniques de leurs casernes et d'y loger les Canadiens. Alderson refusa ce privilège. En janvier 1915, Carson, qui ne pardonnait pas à Alderson de l'avoir mis dans l'embarras, se plaignit en ces termes au premier ministre du Canada, sir Robert Laird Borden* : « [Alderson] ne traite pas nos hommes avec une main de fer dans un gant de velours, comme l'exige leur tempérament particulier .» Au début, 70 % des membres de la division d'Alderson étaient d'origine britannique, mais les soldats canadiens étaient effectivement différents, en grande partie à cause de leurs officiers. Dans la plupart des cas, ceux-ci n'étaient pas aussi puissants ni aussi respectés que les officiers des régiments britanniques, où la classe sociale autant que la compétence, peut-être, contribuait au maintien de la discipline.
En février, la 1re division canadienne passa en France. Après une rapide introduction à la guerre de tranchées, la division d’Alderson joua un rôle de diversion à la bataille de Neuve-Chapelle, puis monta dans le secteur d’Ypres, en Belgique, où elle fut placée sous les ordres d’un autre général qui connaissait les Canadiens, sir Horace Lockwood Smith-Dorrien, de la 2e armée britannique. Les hommes d’Alderson se trouvaient entre une division algérienne et la 28e division britannique lorsque, le 22 avril, les Allemands émirent des gaz sous forme de vagues de chlore. Quelques heures plus tard, tandis que les soldats algériens, étouffés, s’enfuyaient, le flanc gauche de la division canadienne se trouva à découvert. Les Allemands eurent un moment d’hésitation. Alderson en profita pour envoyer les réserves qu’il contrôlait encore aider la 3e brigade canadienne d’infanterie du général de brigade Richard Ernest William Turner* à colmater la brèche. Les militaires contre-attaquèrent courageusement au cours de la nuit et le lendemain matin, mais les résultats furent catastrophiques. D’autres soldats britanniques furent jetés dans la mêlée. À un certain moment, Alderson, posté dans un château derrière le canal de l’Yser, dut coordonner 33 bataillons le long d’un front de six milles. Les Français promirent des renforts qui ne vinrent jamais. Le 24, les Allemands dirigèrent leur offensive contre les Canadiens. Ils réduisirent à néant la brigade de Turner, et les hommes du général de brigade Arthur William Currie*, surtout, eurent la tâche de tenir la ligne. Alderson tenta d’organiser du soutien, mais les commandants britanniques sur place contrecarrèrent ses efforts. Son quartier général se trouvait alors plus loin à l’arrière que celui de la 27e division britannique, de sorte qu’il pouvait suivre moins bien le déroulement de la bataille. Lorsque les Canadiens se retirèrent, plus de la moitié de leurs fantassins étaient morts, blessés ou prisonniers.
À son arrivée en France, Alderson avait dit à ses hommes de réfléchir à la réputation de son ancien régiment, le Royal West Kent, qui n’avait jamais perdu une tranchée. Novices, les Canadiens en avaient conclu qu’eux non plus ne devaient jamais bouger. À Ypres, ils avaient fait de leur mieux, mais la confusion, l’inexpérience des chefs et l’horreur des gaz avaient produit une situation intenable. Les hauts commandants britanniques eurent la sagesse de vanter le courage des Canadiens. Alderson, qui aurait pu perdre son commandement pour avoir cédé du terrain, fit écho à leurs félicitations, mais tout n’avait pas été parfait. Certains de ses officiers canadiens lui avaient donné du fil à retordre. Alors que Currie avait été résolu et efficace, Turner s’était montré courageux mais inefficace, et son major de brigade, le fils de Hughes, Garnet Burk*, avait envoyé des rapports contradictoires. En outre, le fusil Ross, de fabrication canadienne, s’était enrayé si souvent qu’un cinquième des survivants de l’infanterie avaient ramassé des fusils britanniques Lee-Enfield sur le champ de bataille. Carson ne voyait pas les choses du même œil : selon lui, si les pertes avaient été aussi lourdes, c’était la faute d’Alderson, et Turner comme Hughes avaient agi brillamment. Il suggéra d’accorder une promotion aux commandants de bataillon et aux majors de brigade canadiens. Alderson ne tint aucun compte de sa proposition, ce qui donna à Carson un autre motif de grief. Le 28 mai 1915, reprenant l’avis de son fils, Samuel Hughes déclara à Borden : « [je ne] vois aucun espoir à l’horizon tant que le général Alderson commandera nos gars ».
Quelques jours plus tôt, au plus fort de la bataille de Festubert, sir Douglas Haig, commandant de la 1re armée, avait créé un corps temporaire (l’« Alderson’s Force ») à partir de deux divisions, la 51st Highland et la 1re division canadienne, et avait ordonné à Alderson d’avancer de 600 à 1 000 verges vers des points situés à presque deux milles de distance l’un de l’autre. À cause d’un bombardement inadéquat, des mitrailleuses allemandes et du fait que les objectifs n’étaient guère plus que des points sur une carte, l’opération fit 2 468 pertes parmi les Canadiens et ne donna presque aucun résultat positif. À Givenchy-lez-La Bassée un mois plus tard, Alderson appliqua les leçons tirées de cet échec, mais un lourd barrage d’artillerie prévint les Allemands, une mine destinée à un de leurs points forts causa plus de dommages chez les attaquants que chez les défenseurs et, malgré 366 pertes, personne n’arriva près de l’objectif, pourtant clairement identifié. La réputation d’Alderson au quartier général n’en souffrit pas. Quand le Canada proposa d’envoyer un deuxième contingent afin de former un nouveau corps de deux divisions, le commandant en chef de l’armée britannique, sir John Denton Pinkstone French, accepta à la condition qu’Alderson en soit le commandant. Borden lui-même accueillit bien cette décision : en cet été de 1915, ce général soigné de sa personne, à la moustache touffue, lui paraissait honnête, capable et populaire auprès de ses hommes. En septembre, le nouveau commandant du corps ouvrit son quartier général à Bailleul.
Entre-temps, Hughes avait accumulé de nouveaux griefs. À son quartier général, Alderson nommait des vétérans britanniques de préférence à des Canadiens inexpérimentés. Cette situation engendrait des plaintes que Carson transmettait à Ottawa. De son côté, Hughes insistait pour que ses favoris, dont son fils, soient nommés dans d’autres commandements. Lorsque Currie remplaça Alderson à la tête de la 1re division, Hughes exigea que la nouvelle division soit confiée à Turner, mais il n’eut pas gain de cause. En outre, ce qui ajouta à la déconvenue du ministre, Alderson reçut le 14 janvier 1916 le titre de chevalier commandeur de l’ordre du Bain. La plainte la plus sérieuse de Hughes se rapportait à la méfiance du général envers le fusil Ross. Hughes avait été l’un de ceux qui avaient persuadé le gouvernement canadien d’acheter ce fusil en 1901 et, malgré ses lacunes, il continuait de le défendre sauvagement. Plus précis que le Lee-Enfield, le Ross était plus long, plus lourd, de fabrication plus médiocre et un peu trop petit pour les munitions britanniques. Le remplacement de la chambre à poudre changea un peu la situation et permit à Hughes de dénoncer les balles britanniques, non le fusil canadien. Dans une lettre où il critiquait le Ross, Alderson donnait dix raisons pour lesquelles, selon lui, 85 % des hommes du corps d’armée n’aimaient pas cette arme. « Je ne serais pas digne de mon poste, dit-il en février 1916 au colonel Willoughby Garnons Gwatkin, si je négligeais quelque élément qui met en péril la vie des hommes ou le succès de nos armes. »
Piqué au vif, Hughes accusa Alderson de ne rien connaître aux fusils et lui ordonna de ne pas donner de mauvaises munitions à ses hommes. Puis il envoya 281 copies de sa lettre à des officiers en Angleterre et en France. Alderson riposta en demandant aux commandants de brigade, de bataillon et de compagnie de faire rapport sur le fusil Ross. Deux officiers supérieurs transmirent sa demande à Carson ; l’un d’eux, Turner, se plaignit que « l’on tard[ait] trop à prendre des mesures à propos d’Alderson ». Néanmoins, Haig ferait droit aux préoccupations d’Alderson en mai en recommandant au ministère de la Guerre de réarmer les divisions canadiennes avec des Lee-Enfield.
Turner avait un autre motif d’en vouloir à son supérieur. En avril, au cours d’une vilaine bataille sur des cratères de mine près de Saint-Éloi (Sint-Elooi, Belgique), les Allemands forcèrent l’une de ses brigades à abandonner des positions conquises de haute lutte par les Britanniques. Ni Turner ni le commandant canadien de la brigade en question, Huntley Douglas Brodie Ketchen, ne savaient où se trouvaient leurs hommes et la plus grande partie du tir d’artillerie avait été mal orientée. Sur des instructions de sir Herbert Charles Onslow Plumer, successeur de Smith-Dorrien au commandement de la 2e armée britannique, Alderson prit des mesures pour démettre Ketchen de ses fonctions. Turner menaça de démissionner, ce qui amena Alderson à demander le congédiement de Turner aussi. Sir William Maxwell Aitken*, un autre des agents de Hughes, prévint Haig (alors commandant en chef) que le Canada serait furieux si deux officiers supérieurs canadiens étaient écartés. Pour éviter la crise, Haig sacrifia Alderson en lui promettant un poste important en Angleterre. Une querelle, conclut-il, serait pire que de garder « une couple de commandants incompétents ». Le 26 avril, Borden et son cabinet acceptèrent. Hughes, Carson et Aitken, ravis d’être débarrassés d’Alderson, furent satisfaits de le voir remplacé par un autre général britannique, sir Julian Hedworth George Byng*. Le 28 mai 1916, la population apprit qu’Alderson avait été nommé inspecteur général des forces canadiennes en Angleterre et en France.
Personne ne dit à Alderson que sa nomination était de pure forme jusqu’à ce qu’il demande un état-major, des assistants et même une voiture. Les Britanniques lui firent valoir que son cas relevait du Canada, puis le tirèrent enfin d’embarras en septembre en le nommant inspecteur de l’infanterie. Son affectation canadienne prit fin en novembre, au moment de la formation du ministère des Forces militaires d’outre-mer du Canada. En 1920, Anderson prit sa retraite. Il deviendrait colonel-commandant de son ancien régiment en 1921, mais il consacrerait la plus grande partie de son temps à ses loisirs préférés, le yachting et la chasse. Il réintégra le South Shropshire Hunt et s’inscrivit au Royal Norfolk and Suffolk Yacht Club. En avril 1927, dans le Times, il se plaignit que l’attrait de l’automobile et de la motocyclette menaçait le programme de formation pour garçons de la Broads Cruising Association, dont il était président. Il succomba à une crise cardiaque en décembre et fut inhumé à Chesterton.
Sir Edwin Alfred Hervey Alderson « était un Anglais très bien, écrivit le Times, et l’affection qu’il inspirait à tous ceux qui le connaissaient était grande. » Pendant deux guerres, les Canadiens capables d’apprécier un officier anglais énergique et consciencieux purent faire écho à cette affection. En janvier 1916, à un poste de secours canadien, quelqu’un nota dans son journal intime que l’« infatigable » Alderson était un « petit homme aimable » et qu’il « a[vait] parlé aux patients un à un, en ayant pour chacun une question gentille ou une plaisanterie ». Honorable, quoique dénué d’imagination, il avait été plus sensible aux intérêts des soldats canadiens que leur propre ministre. « La politique canadienne, avait-il confié à son ami Hutton en 1915, a été plus forte que nous tous. » Elle mit fin à sa carrière.
En plus des publications mentionnées dans la biographie, Alderson a écrit The counter-attack (Londres, [1898]) et Lessons from 100 notes made in peace and war (Londres, [1908]).
AN, MG 26, H, 22813–22814, 31777 ; RG 9, III, 29, 8-1-28.— British Library (Londres), Add. mss 50088 (Hutton papers).— Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, Geneal. Soc. (Salt Lake City, Utah), International geneal. index.— General Register Office (Southport, Angleterre), Reg. of marriages, Brackley (Northampton), 5 mai 1886.— Times (Londres), 14 janv. 1916, 15 déc. 1927.— [J.] B. Burke, A genealogical and heraldic history of the peerage and baronetage [...], A. P. Burke, édit. (80e éd., Londres, 1921).— DNB.— A. F. Duguid, Official history of the Canadian forces in the Great War, 1914–1919 (seulement un vol. en deux parties [1914–sept. 1915] a été publié à Ottawa en 1938), 1, part. 2, app.120 : 18.— G.-B., War Office, The official army list (Londres), 1881–1921.— W. A. Griesbach, « Lieut.-Gen. Sir Edwin Alderson, k.c.b., a brave commander who was sacrificed to the Ross Rifle », Khaki Call ([Toronto]), févr. 1928.— Hart’s annual army list [...] (Londres), 1881–1921.— Andrew Macphail, Official history of the Canadian forces in the Great War, 1914–19 : the medical services (Ottawa, 1925).— Carman Miller, Painting the map red : Canada and the South African War, 1899–1902 (Montréal et Kingston, Ontario, 1993).— Desmond Morton, A peculiar kind of politics : Canada’s Overseas Ministry in the First World War (Toronto, 1982).— Nicholson, CEC.
Desmond Morton, « ALDERSON, sir EDWIN ALFRED HERVEY », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/alderson_edwin_alfred_hervey_15F.html.
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Auteur de l'article: | Desmond Morton |
Titre de l'article: | ALDERSON, sir EDWIN ALFRED HERVEY |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2005 |
Année de la révision: | 2005 |
Date de consultation: | 28 novembre 2024 |