MACDONNELL, DANIEL JAMES, administrateur scolaire, instituteur et ministre presbytérien, né le 15 janvier 1843 à Bathurst, Nouveau-Brunswick, fils aîné du révérend George Macdonnell, ministre de l’Église d’Écosse, et d’Eleanor Milnes ; le 2 juillet 1868, il épousa à Fergus, Ontario, Elizabeth Logie Smellie, et ils eurent cinq fils et deux filles ; décédé le 19 février 1896 à cet endroit.
Daniel James Macdonnell entra à la grammar school de Bathurst à un âge précoce ; déjà, à la maison, il avait commencé à apprendre le français, le latin et la littérature anglaise. En 1851, sa famille s’installa en Écosse pour les études des enfants, mais un an plus tard son père décida d’immigrer dans le Haut-Canada, où il devint à Nelson et à Waterdown, près de Hamilton, ministre de l’Église presbytérienne du Canada, affiliée à l’Église d’Écosse. Daniel James fréquenta quelque temps, à Hamilton, la Gore District Grammar School de William Tassie*, puis entra en 1854 à la nouvelle école de Tassie à Galt (Cambridge), afin de se préparer aux examens d’entrée de l’université. En octobre 1855, à l’âge de 12 ans, il fut admis au Queen’s College de Kingston et reçut une bourse d’entrée. Il termina son cours en 1858, avec distinction, et on lui offrit tout de suite le poste de directeur de la grammar school de Vankleek Hill. Il n’avait alors que 15 ans.
Un an plus tard, Macdonnell accepta une charge de professeur à la Queen’s College School, où il enseigna tout en faisant ses études de théologie. De janvier 1862 à l’été de 1863, il dirigea une école à Wardsville, près de London. Il quitta cet emploi pour aller poursuivre sa formation en théologie à la University of Glasgow. Il y subit l’influence de la théologie spéculative de John Caird et se fit connaître comme un étudiant remarquable. Il passa l’été de 1864 à parcourir la France et la Suisse, l’hiver suivant à étudier à Édimbourg et, en 1865 et 1866, environ neuf mois aux universités de Berlin et de Heidelberg. Cette dernière année, la University of Edinburgh lui décerna une licence en théologie.
À cause de son esprit investigateur et de ses études, Macdonnell n’acceptait pas d’adhérer sans réserve à la Confession de Westminster, qui rassemblait les articles de foi de l’Église d’Écosse. Il avait du mal à admettre certains énoncés doctrinaux qui, dans la Confession, semblaient présenter Dieu comme un être dur et froid ; pour cette raison, à plusieurs reprises il envisagea de refuser l’ordination. Aidé par son père et des amis, il surmonta temporairement son « tourment » spirituel et le consistoire d’Édimbourg l’ordonna à titre de missionnaire le 14 juin 1866. Il avait décliné l’offre d’une assistance de paroisse en Écosse, car il préférait rentrer dans le Haut-Canada. Le 20 novembre, il fut installé en l’église St Andrew de Peterborough.
Macdonnell manifesta, à cet endroit, « courage, franchise, humilité, spiritualité » et sens pratique. Il participait à la structure administrative, et l’on reconnut bien vite en lui un jeune homme plein de talent et un précieux collaborateur. L’autorité des Écritures le préoccupait toujours, mais il consacrait son temps à sa paroisse et, en juillet 1868, il épousa une amie d’enfance, Elizabeth Logie Smellie, fille aînée du révérend George Smellie, ministre de l’Église libre à Fergus.
En 1870, après avoir refusé de quitter Peterborough pour des églises plus importantes et plus riches d’Ottawa et de Montréal, Macdonnell accepta l’invitation de St Andrew, à Toronto. Unique congrégation de l’Église d’Écosse dans cette ville, elle représentait un défi pour lui, car durant les 28 années de pastorat du ministre précédent, le révérend John Barclay, ses revenus et le nombre de ses membres n’avaient pas augmenté au rythme où Toronto s’était développé. En décembre, avant d’accepter l’invitation, Macdonnell avait informé le consistoire de Toronto qu’il ne pourrait répondre sans réserve à certaines des questions prescrites, étant donné ses doutes sur la Confession de Westminster. Il songeait même à abandonner le ministère et à retourner à l’enseignement si l’on rejetait ses conditions. Cependant, sa « crise » intérieure passa quand le consistoire approuva son installation à St Andrew, qui eut lieu le 22 décembre.
Macdonnell savait toucher ses paroissiens par des sermons plus intenses qu’éloquents. Aussi se fit-il connaître comme le meilleur prédicateur presbytérien du Canada et l’un des plus remarquables de toutes les Églises canadiennes, ce qui donna à St Andrew une réputation égale à celle des autres communautés protestantes du pays. En trois ans, la congrégation doubla presque le nombre de ses membres. Elle soutenait activement les nouvelles congrégations de l’Ouest (convocateur du Manitoba Mission Committee, Macdonell visita le Nord-Ouest en canot en 1873). En 1874–1875, elle construisit un nouveau presbytère ainsi qu’une vaste et coûteuse église de pierre à l’angle des rues King et Simcoe [V. William George Storm).
Au moment de la construction de ce temple, on mettait la dernière main aux arrangements qui devaient mener à la fusion des Églises presbytériennes du Canada. Macdonnell ne participa nullement aux négociations qui aboutirent à cette union en 1875 mais, comme la plupart des diplômés du Queen’s College, il l’approuvait, et il convainquit la plus grande partie de sa congrégation de l’accepter. L’union, qui créa l’Église presbytérienne au Canada, n’élimina pas tout de suite les différences dans la pratique du culte ni dans la conception de la mission sociale et de la doctrine des parties. L’Église d’Écosse privilégiait les offices religieux formalistes et préconisait une vision libérale de l’existence et des questions doctrinales. La tradition de l’Église libre, qui en vint à dominer le presbytérianisme canadien, réclamait l’observance d’une stricte discipline de vie et prônait un évangélisme résolument militant qui exigeait une orthodoxie totale.
Le 27 septembre 1875, soit exactement trois mois après l’union, le Montreal Daily Witness publia le résumé d’un sermon que Macdonnell avait prononcé à Toronto la veille. Il doutait, disait-il, que l’énoncé de la Confession de Westminster sur le châtiment éternel ait été conforme aux Saintes Écritures. Plus précisément, il opposait la doctrine controversée et complexe de la double prédestination (salut ou damnation), exposée dans la Confession, à l’enseignement du Nouveau Testament sur l’amour divin. Deux jours plus tard, deux membres du consistoire de Toronto lui reprochèrent d’avoir fait au Knox Collège des observations semblables, « de nature à troubler » les esprits. Comme son ami George Monro Grant* le lui soulignait, Macdonnell avait manqué, il l’admettait, de patience et de discrétion, car les sermons ne devaient pas être basés sur des spéculations théologiques. Le 12 octobre, à la suite d’objections soulevées par des amis de Montréal, le Witness publia un compte rendu plus exhaustif de son sermon, ce qui ne fit qu’attirer davantage l’attention du public sur sa position. Ses remarques semblaient corroborer les soupçons de l’Église libre, selon laquelle l’Église d’Écosse et son collège de théologiens commettaient des erreurs de doctrine.
Le long procès pour « hérésie » que subit ensuite Macdonnell divisa davantage le clergé que les laïques, à cause des subtilités théologiques du débat sur la damnation. L’affaire, basée sur une déclaration de Macdonnell, fut instruite pour la première fois à la fin de 1875 par le consistoire de Toronto et son modérateur, Alexander Topp*, anciennement de l’Église libre. Fondamentalement, le débat portait sur l’interprétation de certaines expressions des textes grecs de la Bible. Les sympathisants de Macdonnell ne venaient pas tous de l’Église d’Écosse. Ainsi William Caven*, directeur du Knox Collège, et John Mark King, autrefois de l’Église libre, contribuèrent à obtenir de lui une déclaration de compromis que le consistoire accepta et fit parvenir à l’assemblée générale de l’Église en 1876 dans l’espoir d’apaiser les critiques. Après que Topp eut été élu modérateur de cette assemblée, un vieil ami de Macdonnell à Québec, John Cook, loua « l’honnêteté intellectuelle » de l’accusé, et Caven fit état de sa « conscience délicate ». Cependant, Macdonnell fit observer que ses amis avaient présenté sa position au consistoire sous un jour « trop favorable », ce qui les plongea dans l’embarras et retarda le règlement du litige. Sa piété ne faisait aucun doute, mais son honnêteté obstinée divisait l’assemblée générale sur la question du droit au jugement personnel. Ses défenseurs, tels Alexander McKnight et John Bower Mowat, soulignaient que douter n’était pas nier ; ses adversaires, dont Donald Harvey MacVicar*, faisaient montre d’une rigueur doctrinale traditionnelle.
L’assemblée donna un an à Macdonnell pour expliquer son attitude au sujet des enseignements de l’Église. Cependant, malgré les conseils de ses amis et les attaques de ses ennemis, la situation était toujours la même quand il soumit à l’assemblée générale de 1877 une nouvelle déclaration que ses opposants jugèrent insatisfaisante. L’assemblée adopta donc une motion présentée par Topp, qui exigeait une « réponse catégorique » en moins de 48 heures. Mais, finalement, c’est William Cochrane, ancien ministre de l’Église libre, qui résolut le litige par l’intermédiaire d’un autre comité qui offrit à Macdonnell de choisir entre trois énoncés de compromis qu’il pouvait tous, en conscience, accepter. On n’avait pas réglé la question doctrinale ; seul le droit de Macdonnell de douter avait été reconnu. Même si l’union survécut à cette première crise, le « procès pour hérésie » avait mis au jour les profonds différends théologiques qui séparaient ses membres. De plus, il avait montré que Macdonnell n’était pas le seul à donner priorité aux enseignements de la Bible sur les articles de foi humains. Si on ne l’avait pas exonéré, une minorité amère et assez nombreuse aurait pu quitter la nouvelle Église. En relativisant l’importance de la doctrine, le procès de Macdonnell permit aux presbytériens du Canada de se placer à l’avant-garde des études bibliques et de la théologie libérale. En avril 1889, Macdonnell proposerait au consistoire de Toronto de remplacer la Confession de Westminster par « quelque énoncé plus bref des vérités qui [étaient] jugées essentielles », mais sa résolution serait battue car la majorité des membres refuseraient de se prononcer sur une question de théologie.
Même au cours de son procès, Macdonnell fut appelé à faire partie de comités de l’assemblée générale. En 1875, il entra au sénat, au conseil d’administration et au bureau des examinateurs du Knox Collège. La même année, il devint membre du Home Mission Committee (section de l’Ouest), responsable de l’établissement des nouvelles paroisses, et en fit partie jusqu’en 1893. Convocateur, en 1883, d’un sous-comité du Home Mission Committee chargé de constituer une caisse de réserve en vue de verser un revenu supplémentaire aux ministres de ces nouvelles paroisses jusqu’à ce que celles-ci atteignent l’autonomie financière, il fit inlassablement des tournées et des conférences pour soutenir cette cause. Avant sa mort, le nombre de paroisses qui seraient devenues financièrement autonomes se serait accru de 250. En décembre 1889, une tournée d’inspection d’un mois des nouvelles paroisses le mena jusqu’à la côte du Pacifique.
À la fin des années 1880, Macdonnell milita au sein du mouvement pour les « droits égaux », qui naquit après l’adoption, en juillet 1888, par l’Assemblée législative de la province de Québec [V. Honoré Mercier], de l’Acte relatif au règlement de la question des biens des jésuites. Quand l’opinion ontarienne s’intéressa à cette question [V. Christopher William Bunting], il rédigea des résolutions de condamnation que la Toronto Ministerial Association adopta en mars 1889. Le même mois, à une assemblée populaire tenue dans cette ville pour protester contre la constitution en société civile des jésuites, qui avait eu lieu en 1887, il présenta la première proposition en prononçant un « discours fervent et éloquent [qui] donna le ton de la campagne ». Après avoir passé en revue l’histoire des jésuites, il affirmait qu’ils étaient « hostiles à la liberté, autant civile que religieuse » et que leur constitution civile était « une première atteinte [...] à la Confédération ». Selon lui, le mouvement des « droits égaux » avait pour mission de protéger « les droits des Britanniques » et de leur « garantir, ainsi qu’à [leurs] enfants, ce qu’il y [avait] de mieux ».
À la fin de mars 1889, la chambre des Communes repoussa la motion visant à refuser de reconnaître la loi sur les biens des jésuites (seuls les « nobles treize », dirigés par D’Alton McCarthy et William Edward O’Brien, l’appuyèrent). Au début de mai, le Toronto Citizens’ Committee publia donc « une allocution au peuple de l’Ontario », dont Macdonnell était l’auteur. En faisant valoir que la controverse touchait à la fois le droit constitutionnel et les libertés civiles et religieuses, le texte réclamait la tenue d’un congrès pour la préparation de pétitions à l’intention du gouverneur général. Ce congrès eut lieu le mois suivant et donna lieu à la fondation de l’Equal Rights Association ; Macdonnell travailla à son comité des résolutions. Réunie en l’église de Macdonnell tout de suite après le congrès, l’assemblée générale de l’Église presbytérienne au Canada le nomma, avec Donald Harvey MacVicar, convocateur d’un comité de défense des droits civils et religieux, qui dura trois ans. En 1889, Macdonnell prononça des discours sur les « droits égaux » dans des villes et villages ontariens et passa une partie de ses vacances d’été à faire une tournée de conférences en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick. Il fit également partie du conseil de l’Equal Rights Association, qui recommanda, avec son appui, l’abolition des écoles séparées de l’Ontario.
Par ailleurs, Macdonnell participa, longtemps aux travaux du comité des hymnes de son Église. En 1878, l’assemblée générale fut saisie de requêtes en vue de la composition d’un recueil d’hymnes qui remplacerait ceux qu’employaient les Églises avant l’union. La même année, aux fins d’uniformisation du culte, on forma un comité pour composer un seul recueil. Macdonnell y participa de 1878 à sa mort et fut convocateur de plusieurs sous-comités. En 1880, une fois défini le contenu du recueil, il fut l’un des deux membres d’un sous-comité qui allait préparer les index et le convocateur d’un sous-comité qui devait produire une édition avec musique. Durant un séjour en Angleterre pendant l’été de 1881, il participa aux dernières révisions du recueil avec musique, qui parut à l’automne. En 1883, le comité prépara un recueil pour enfants ; de nouveau convocateur du sous-comité de musique Macdonnell supervisa par la suite la préparation d’une édition harmonisée de l’ouvrage. En mars 1894, il démissionna du comité pour des raisons de santé, mais il accepta tout de même de se rendre à Édimbourg en avril, en compagnie du révérend Alexander MacMillan, pour représenter l’Église canadienne à des discussions sur un recueil d’hymnes commun pour les presbytériens d’Écosse, d’Angleterre, d’Australie et du Canada. En juin 1894, même si sa santé ne s’était pas améliorée, on le nomma encore une fois au comité ; en septembre 1895, il accepta de reprendre les fonctions de convocateur du sous-comité de musique, qu’il exerça jusqu’à sa mort, cinq mois plus tard.
Tout au long de son ministère, Macdonnell entretint des liens étroits avec son alma mater, le Queen’s College. En 1869–1870, il fit partie du comité de financement du directeur William Snodgrass* qui, avec George Monro Grant et Daniel Miner Gordon*, l’avait soutenu (et avait défendu, par le fait même, la fiabilité de l’enseignement de la théologie au Queen’s College) pendant le « procès pour hérésie ». En 1877, après la démission surprise de Snodgrass, Macdonnell, qui était membre du conseil d’administration du Queen’s College depuis 1869, recommanda immédiatement de confier la succession à son ami Grant. Dans les années suivantes, et particulièrement au cours de la campagne de financement de 1878, il collabora étroitement avec lui afin de promouvoir les intérêts de l’établissement. En 1896, dans l’éloge funèbre de Macdonnell qu’il prononça devant les étudiants, Grant déclara que le collège lui devait davantage qu’à tout autre homme. Même si plus de 33 000 $ furent versés en contributions pour la dotation d’une chaire de philosophie morale dédiée à sa mémoire, il semble qu’elle ne fut jamais créée.
Dès 1888, la santé de Daniel James Macdonnell avait présenté des signes évidents de dégradation. En 1891, on lui accorda un congé pour aller visiter l’Italie, l’Égypte et Ceylan (Sri Lankâ) et pour se rendre de nouveau en Grande-Bretagne avec sa femme. La même année, bien qu’il n’eût pas tout à fait recouvré ses forces, il accepta la charge d’aumônier d’un nouveau bataillon de milice, le 48th Highlanders. Quand, en 1892, l’Alliance of Reformed Churches holding the Presbyterian System se réunit à Toronto, il n’hésita pas à défendre la tempérance, une position impopulaire, contre les partisans de la prohibition. Mais ses nombreux sermons (souvent trois par jour), ses conférences publiques, ses responsabilités paroissiales et sa participation à des comités ecclésiastiques et civils l’épuisaient, tout comme la supervision de l’ambitieux programme de missions urbaines de Toronto qu’il parraina à St Andrew et qui aboutit notamment, en 1890, à la construction d’un centre social d’un genre tout nouveau, le St Andrew’s Institute. Sa femme mourut en 1894 après une longue maladie ; pour lui, ce fut un choc émotif et une source d’épuisement physique, car trois de leurs sept enfants avaient moins de neuf ans. Après une visite en Écosse au début de 1895, il apprit qu’il souffrait de la tuberculose. Bientôt trop faible pour travailler, il demeura chez sa belle-famille à Fergus. Il mourut là le 19 février 1896, à l’âge de 53 ans.
Daniel James Macdonnell est l’auteur de : Death abolished a sermon preached in St. Andrew’s Church, Toronto, on Sunday, 3rd March, 1889, in connection with the death of George Paxton Young [...] (Toronto, 1889) ; The minister’s New Year’s wish (s.l., 1891 ; copie aux Presbyterian Church in Canada Arch., Toronto) ; et Who may be communicants in the Presbyterian Church ? : being the substance of a sermon preached in St. Andrew’s Church, Toronto, on Sunday, October 23rd, 1887 (Toronto, 1887). Ce dernier ouvrage fut aussi tiré à part du Weekly Globe (Toronto), 2 déc. 1887, en format réduit et avec la mention « A notable sermon » figurant au début du titre.
Même si l’on ne connaît actuellement aucune source manuscrite, James Frederick McCurdy a eu accès à beaucoup des papiers Macdonnel quand il a édité Life and work of D. J. Macdonnell, minister of St. Andrew’s Church, Toronto ; with a selection of sermons and prayers (Toronto, 1897).
UCC-C, D. J. Macdonnell papers (renferment des copies d’articles de journaux de l’époque ayant trait à son procès pour hérésie).— Knox College Monthly and Presbyterian Magazine (Toronto), 19 (1895–1896) : 533–541.— PCC Acts and proc., 1875–1895.— Presbyterian Church of Canada in connection with the Church of Scotland, Minutes of the synod (Toronto), 1867.— Presbyterian Record (Montréal), 21 (1896) : 75.— Westminster (Toronto), [2e] sér., 1 (juill.–déc. 1896) : 15, 69–73 ; 3 (juill.–déc. 1897) : 15.— Queen’s University Journal (Kingston, Ontario), 7 mars 1896.— Mme Robert Campbell, « A champion of augmentation : Rev. D. J. Macdonnell, B.D. », Missionary pathfinders : Presbyterian laborers at home and abroad, W. S. MacTavish, édit. (Toronto, 1907), 94–103.— W. L. Grant et Frederick Hamilton, George Monro Grant (Édimbourg et Toronto, 1905).— W. B. McMurrich, Historical sketch of the hymnal committee of the Presbyterian Church in Canada (Londres et Toronto, [1905]).— J. R. Miller, Equal rights : the Jesuits’ Estates Act controversy (Montréal, 1979).— J. C. McLelland, « The Macdonnell heresy trial », Canadian Journal of Theology (Toronto), 4 (1958) 273–284.
John S. Moir, « MACDONNELL, DANIEL JAMES », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 12, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/macdonnell_daniel_james_12F.html.
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Auteur de l'article: | John S. Moir |
Titre de l'article: | MACDONNELL, DANIEL JAMES |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 12 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1990 |
Année de la révision: | 1990 |
Date de consultation: | 28 novembre 2024 |