FRANQUET, LOUIS, officier, ingénieur militaire, baptisé le 11 juin 1697 à Condé (Condé-sur-l’Escaut, France), fils de Jean-Baptiste Franquet et de Marie-Marguerite de Romby, décédé le 12 avril 1768 à Condé.

Louis Franquet reçut une commission dans l’armée à l’âge de 12 ans et, de 1709 à 1720, il servit dans les régiments d’infanterie de Franclieu, Miroménil et Piémont. Il fut admis dans le corps du génie en 1720 et servit en Europe avec distinction pendant les 30 années qui suivirent. Après avoir participé aux campagnes d’Italie de la guerre de la Succession de Pologne de 1733 à 1736, on le nomma, en 1738, ingénieur en chef à Condé. Trois ans plus tard on lui décernait la croix de Saint-Louis, et de 1742 à 1748 il prit part aux campagnes de la guerre de la Succession d’Autriche en Allemagne et aux Pays-Bas. Il fut promu lieutenant-colonel en 1747 et blessé la même année lors du siège de Bergen op Zoom (Pays-Bas). En 1750, au moment où il était ingénieur en chef à Saint-Omer, le directeur du bureau des fortifications, Noël de Régemortes, lui demanda de se rendre à l’île Royale (île du Cap-Breton) pour procéder à l’inspection des ouvrages de défense de la colonie et recommander les travaux qui s’imposaient pour rendre Louisbourg et les autres endroits en état de résister aux attaques. Il avait alors près de 53 ans.

Franquet traversa la même année à bord de la Mutine avec l’entente qu’il ferait une inspection, dresserait un rapport puis retournerait à ses fonctions en France ; en fait, il y demeurera huit ans. Il débarqua à Louisbourg le 9 août 1750 et se mit en frais d’examiner les constructions et les fortifications, de dresser des cartes, des plans et des coupes ; il se livra à des expériences pour déterminer la cause de la détérioration des charpentes. Il commença en octobre à faire parvenir des rapports préliminaires en France. Il visita le reste de l’île Royale en 1751, de même que l’île Saint-Jean (Île-du-Prince-Édouard), Baie-Verte et le fort Beauséjour (N.-B.) ; il exécuta bon nombre de plans et rédigea des rapports détaillés sur les fortifications de Louisbourg, recommandant les travaux indispensables. Il fut promu au grade de colonel la même année. Son affectation ayant été modifiée, il visita le Canada au cours de 1752 et 1753, procédant à l’inspection des fortifications et des constructions à Québec, Trois-Rivières, Montréal et autres villages ou forts ; il en profita pour observer toutes les facettes de la vie au Canada. Il s’embarqua pour la France à l’automne de 1753 et retourna à Louisbourg au printemps suivant, non en qualité de commandant, comme il l’avait demandé, mais avec le grade de brigadier, le titre de directeur des fortifications pour l’ensemble de la Nouvelle-France et une pension spéciale pour ses services dans la colonie.

Il consacra les quatre années qui suivirent à mettre Louisbourg en état de résister à l’attaque qu’on redoutait de la part des Anglais ; ses plans furent envoyés en France pour approbation. Il répara et reconstruisit les fortifications, pourvut au logement des bataillons de l’armée régulière française venus renforcer la garnison et dirigea les ingénieurs qu’on avait envoyés pour l’assister dans son travail. Franquet bénéficia jusqu’en 1753 de la collaboration de Pierre-Jérôme Boucher, dont la mort survenue cette année-là fut pour lui une grande perte. La cour lui avait envoyé, en 1752, Breçon, membre du corps du génie sans grande expérience mais fortement appuyé en haut lieu. Celui-ci retourna en France en 1754, de même que ses fils qui lui servaient d’adjoints ; ils laissèrent derrière eux une impression de médiocrité. Deux officiers compétents et expérimentés débarquèrent en 1755 : François-Claude-Victor Grillot de Poilly et Nicolas Sarrebource* de Pontleroy. Ce dernier, sur la recommandation de Franquet, succéda à Gaspard-Joseph Chaussegros de Léry au poste d’ingénieur en chef pour le Canada en 1757 et quitta Louisbourg en septembre de la même année. Grillot demeura avec Franquet jusqu’à la chute de Louisbourg, en 1758, de même que Michel de Couagne* (fils de Jean-Baptiste de Couagne*) et deux autres ingénieurs.

La plus importante tâche confiée à Franquet fut, sans conteste, la défense de Louisbourg. Il n’est pas aisé de juger du mérite des mesures qu’il recommanda et qu’il entreprit, étant donné que l’issue fut décidée, en définitive, non par la défense classique qu’offraient les fortifications permanentes, à la manière européenne, mais bien par la puissance navale. Jean-Louis de Raymond*, gouverneur de l’île Royale de 1751 à 1753, favorisait la construction d’un grand nombre de redoutes le long de la côte. Il est curieux qu’un officier de carrière dans l’armée régulière et sans expérience de la guerre coloniale ait préconisé qu’on s’appuie largement sur des fortifications passagères, un mode de défense beaucoup plus courant en Amérique du Nord que les ouvrages de maçonnerie à caractère permanent, mais Raymond craignait un débarquement inopiné des Anglais à n’importe quel endroit propice de l’île et il voulait être en mesure d’y faire face, où que ce soit, de manière à tenir l’ennemi éloigné de la forteresse aussi longtemps que possible. Franquet s’y opposa vigoureusement, alléguant que ce système constituait un gaspillage inutile d’argent, de travail et de soldats. Il insista pour qu’on renforce la forteresse, en y ajoutant quelques retranchements extérieurs dans le voisinage, et c’est son point de vue qui l’emporta. Raymond, une fois rappelé en France, s’employa à convaincre la cour de la justesse de ses vues mais sans y parvenir. Il est fort possible, cependant, que la mise en application de sa suggestion, avec quelques modifications, eût aidé à la défense plus que le plan de Franquet, et à un coût moindre.

J. S. McLennan* a accusé Franquet d’inaction quant aux travaux de construction avant 1755. Mais là n’est pas la raison du peu qui a été fait : ce n’est qu’en 1754 que la cour décida de ne plus donner le travail à contrat mais d’en confier la direction à ses officiers. Franquet avait été en constants déplacements depuis 1751 et, jusqu’en 1755, il eut à faire face à une pénurie de collaborateurs compétents. La maladie dont parle McLennan et qu’il situe à cette période n’a probablement pas frappé Franquet avant 1758. Il est certain que le blocus effectué par les Anglais à partir de 1755 a contribué à stimuler les travaux mais en 1754 on avait déjà dépensé 108 500# pour la construction en regard de 38 000# seulement, l’année précédente. En 1755, la cour approuva des dépenses de 120 000# pour les fortifications. Elle envoya deux bataillons de l’armée régulière que Franquet pouvait utiliser comme main d’œuvre et qu’il dut loger. Les officiers comptaient que leurs quartiers seraient meublés comme en France et les commandants de bataillon avaient droit à des maisons. Franquet perdit un temps précieux à tenter de satisfaire les exigences de ces officiers à qui on avait promis « qu’ils ne manqueraient de rien ». Il leur fournit pour plus de 8 000# de meubles mais les officiers en réclamaient toujours davantage et leurs rapports avec Franquet se gâtèrent. Ces problèmes faisaient oublier les fortifications, si bien que les travaux urgents, tels que les plates-formes à canons, eurent la priorité sur la construction de nouvelles défenses permanentes. Néanmoins, Machault, ministre de la Marine, se montra satisfait des travaux accomplis en 1755. On consacra environ 267 000# à la construction en 1756 et quelque 207 000# en 1757. On répara ou transforma à peu près toutes les parties des fortifications et presque tous les bâtiments publics. Il est à remarquer que lorsque les Anglais mirent le siège devant Louisbourg en 1758, la disette de vivres amena les défenseurs à se rendre, bien avant que la forteresse ne soit conquise, malgré les brèches qui avaient entamé les murs.

En novembre 1757, Franquet prévoyait l’attaque anglaise pour le printemps suivant. Les demandes de renforts qu’il adressa à la cour ne furent satisfaites qu’à demi. Avec ses ingénieurs, il avait consacré beaucoup de temps et de ressources à la construction de fortifications passagères, qui avaient pour but d’empêcher les débarquements. Le long de la côte, à l’est et à l’ouest de Louisbourg, on construisit des batteries et des tranchées aux endroits suivants : Pointe à la Croix (Lighthouse Point), l’anse à Gautier (Landing Cove), l’anse du Grand Lorembec (Big Lorraine), Pointe Platte (Simon Point) et l’anse de la Cormorandière (Kennington Cove). Ces fortifications passagères ne furent pas particulièrement efficaces lorsqu’il s’agit de retarder l’avance ennemie lors du débarquement, en juin 1758, mais ce n’était pas tellement leur construction qui était en faute mais bien la façon dont on organisa la défense. L’île était déjà assiégée lorsque la santé de Franquet fut « dérangée par l’escorbut, et une menace d’hydropisie accompagnée de fièvre double tierce, depuis plus de deux mois ». Il avait les jambes tellement enflées qu’il pouvait à peine bouger ; cependant il écrivait à ce sujet : « je me porte [...] a toutes les allertes au chemin couvert et sur le rempart, et je conduis les Ingénieurs dans ma chambre, pour tous les ouvrages que l’on imagine tous les jours a la défense de la place ». De l’avis de certains, sa maladie l’affaiblissait beaucoup plus qu’il voulut bien le reconnaître. Grillot de Poilly écrivait : « le chef du Génie étoit homme de guerre aimant le bien, toutes ses actions étoient portées a cela, honnette homme et bon Citoyen ; mais malheureusement une maladie qui le minoit avoit tellement affoibli la machine, que l’on ne retrouvoit plus l’homme en lui, il n’avoit que des momens ».

Le 24 juillet 1758, l’état des défenses de Louisbourg était tel que certains officiers se prononcèrent en faveur d’une capitulation honorable tandis que d’autres voulaient résister jusqu’au bout. Ce jour-là, le gouverneur, Drucour [Boschenry], Franquet et Mathieu-Henri Marchant de La Houlière, commandant des troupes de terre, procédèrent à l’inspection des fortifications. Seul Franquet refusa de croire que les murs aient été ébréchés au point de permettre à l’ennemi de livrer un assaut en masse. Dans un rapport au gouverneur, le lendemain, il soutint qu’il fallait que l’ennemi s’empare du chemin couvert avant qu’il fût question de capituler ; fort de cette opinion, Drucour décida de poursuivre la résistance. Cependant, le soir du 25, l’ennemi avait réussi à pratiquer une brèche dans le chemin couvert et les fortifications continuèrent à perdre de leur efficacité défensive. En conséquence, on tint un conseil de guerre le 26 et on décida de demander aux Anglais leurs conditions. La dureté des exigences de Jeffery Amherst*, à savoir, la reddition sans les honneurs de la guerre, décida le conseil à poursuivre la lutte. Mais à la suite d’un véhément appel du commissaire ordonnateur, Jacques Prévost* de La Croix, en faveur de la population civile affamée et victime des bombardements, Drucour décida de se rendre. Des officiers mécontents déclarèrent qu’on aurait dû résister jusqu’au bout, une fois qu’on avait pris la décision, le 24 juillet, de ne pas demander une capitulation conditionnelle. Certains d’entre eux blâmèrent Franquet, parce que c’est son point de vue qui avait fait rejeter en premier lieu la proposition d’une capitulation avec des conditions plus honorables. Franquet rétorqua qu’il avait suivi les directives de la couren constant accord avec Drucour et que dès que sa pénible maladie lui avait laissé quelque répit, il avait analysé les problèmes et donné son avis au gouverneur.

Rentré en France en octobre, Franquet demeura, semble-t-il, inscrit au rôle du corps du génie pendant encore au moins deux ans mais ne paraît pas avoir été particulièrement actif pendant cette période. Il était inquiet à l’idée que les critiques à son sujet, particulièrement celles de Jean Mascle de Saint-Julhien, lieutenant-colonel dans le régiment d’Artois à Louisbourg, aient pu nuire à sa réputation à la cour. En 1759, il demanda de continuer à toucher la pension de 1 500# qui lui était versée depuis 1754 par le ministère de la Marine, signalant que l’ardeur qu’il avait mise à accomplir son service, de même que son zèle à l’endroit du ministère avaient toujours été au-delà de la stricte exigence du devoir, quoi que ses « ennemis » aient pu dire. En 1761, il s’employait toujours à justifier sa conduite à Louisbourg. Il vécut vraisemblablement retiré à Condé, dans la maison familiale, jusqu’à ce que la mort le frappe à l’âge de 70 ans.

On se rappelle Franquet encore de nos jours particulièrement pour les rapports qu’il soumit en 1751, 1752 et 1753, pour ses nombreux plans et cartes et la part qu’il prit dans la construction du Louisbourg de la première époque. Les nombreuses lettres, riches en confidences, qu’il adressa à Régemortes sont d’une grande valeur historique tout comme les comptes rendus qu’il rédigea du deuxième siège de Louisbourg. On a publié en 1924 ses rapports touchant ses voyages de 1751 dans la région du golfe Saint-Laurent et, en 1889, ceux de la visite qu’il fit au Canada au cours de 1752 et 1753. Franquet était un observateur perspicace et ses constatations ne se limitèrent pas aux fortifications mais embrassèrent la situation économique, les ressources naturelles, la démographie et le caractère des gens. Ses écrits sont une utile introduction à l’étude de la société canadienne des années 1750. Ils sont si nombreux qu’il faut nous limiter ici à quelques-unes des observations qu’il livra.

Franquet était d’avis qu’à l’île Saint-Jean et au Canada l’agriculture pouvait être d’un plus grand rendement. Le sol était fertile et certaines régions étaient défrichées depuis plus de 150 ans. Le gouvernement devrait prendre des mesures pour stimuler davantage l’établissement sur des terres de culture ; une étroite surveillance de l’État pourrait enrayer les pratiques malhonnêtes de commerce ; il fallait réglementer les prix ; le rendement des récoltes et de la production devait être consigné avec exactitude à l’échelle paroissiale ; dans les années de récoltes abondantes, le gouvernement devrait prélever et entreposer du grain en prévision des années de disette.

Il croyait qu’aux forges du Saint-Maurice, où, disait-il, le fer était supérieur en qualité à celui de l’Espagne (un des grands pourvoyeurs de la France), on avait besoin d’un expert qui viendrait de France pour en prendre la direction. Il recommanda des méthodes de tenue de livres plus au point. Dans le domaine qui était le sien, Franquet chercha à amener à Louisbourg des briquetiers flamands, des chaufourniers qui sauraient utiliser le charbon de l’île Royale (jusque-là inexploité par les ouvriers de ces métiers) de même que des mineurs initiés au mode d’emploi d’outils spécialisés pour l’extraction des blocs de pierre des carrières.

Franquet s’intéressa tout particulièrement aux mœurs et coutumes des Indiens, des Acadiens et des Canadiens. La description qu’il fit des Indiens se limita en grande partie aux familles qui habitaient des villages à proximité des établissements français et dont la culture avait été plus ou moins modifiée par le contact avec les Français. Il parla en détail de leur aspect (y compris les vêtements), de leurs fêtes, de leurs danses et de leurs instruments de musique. Il écrivit au sujet des Acadiens que ceux-ci étaient assez robustes et en assez bonne santé pour se livrer au dur labeur de la terre mais qu’ils étaient paresseux et se contentaient de cultiver juste ce qu’il fallait pour leur subsistance. En matière de religion, ils étaient dévôts jusqu’à la superstition. Quant aux Canadiens, ils se distinguaient par leur esprit d’indépendance et leur opiniâtreté. À peu près tout le monde était marié (écrivait le célibataire de 55 ans), qu’on en ait ou non les moyens, et chacun ou a peu près possédait son cheval, situation pratiquement inexistante en France. On aimait bien donner des réceptions somptueuses, et pas seulement à la table de François Bigot* ; même le gouverneur de Trois-Rivières était en mesure de recevoir d’une manière digne des « meilleures provinces de France ». L’éducation que les filles recevaient des religieuses leur donnait des « airs » tout à fait incompatibles avec la vie « paysanne » qu’elles étaient appelées à mener. Il était révoltant de constater que les officiers plaçaient généralement leurs intérêts commerciaux avant le service du roi.

Malgré l’intérêt historique certain qu’offrent ces réflexions, la cour n’y prêta que peu d’attention. On s’en remit toutefois à Franquet pour les questions qui relevaient de sa spécialité, à savoir le génie militaire. Dans une circonstance, sur un point de détail, il dut se soumettre aux stratèges Barrin de La Galissonière et Adrien-Maurice de Noailles, mais son point de vue l’emportait toujours sur des hommes comme le comte de Raymond et Chaussegros de Léry. Ces deux derniers, de même que Saint-Julhien et d’autres officiers qui participèrent à la défense de Louisbourg lors du deuxième siège, semblent ne pas avoir aimé Franquet, mais Drucour et Prévost n’eurent que des éloges pour son esprit de coopération. Drucour écrivit en 1755 : « Il est bien satisfaisant pour moy de voir à la tête des travaux de cette Place une personne qui réunit comme luy les talens de son métier et l’union qui doit régner pour les accellerer. » Franquet était clairvoyant en politique et savait cultiver les personnages de la cour. Dans les nombreuses lettres qu’il écrivit à Régemortes, il le priait toujours de le rappeler au bon souvenir de sa famille qu’il comblait de présents exotiques ; il ne se faisait jamais faute d’adresser des félicitations aux hauts fonctionnaires qui recevaient de l’avancement. Il avait compris à quel point l’influence était à la base de la politique de la monarchie française au xviiie siècle.

F. J. Thorpe

Le manuscrit du compte rendu du voyage de Franquet en 1751 est conservé aux AN, Col., C11C, 9, ff.143–174. Il a été publié sous le titre de : Le voyage de Franquet aux îles Royale et Saint-Jean, RAPQ, 1923–1924, 111–140. Le journal de 1752–1753 a aussi été publié : Voyages et mémoires sur le Canada par Franquet, Annuaire de lInstitut canadien de Québec, 13 (1889) : 31–240. On trouvera la plus grande partie des cartes et plans originaux de Franquet aux AN, Col., C11A, 126 ; Section Outre-Mer, Dépôt des fortifications des colonies, Am. Sept., nos 225–237 ; CTG, Archives, art. 14. Les APC, Collection nationale de cartes et plans, possèdent une copie de bon nombre de ces cartes.  [f. j. t.]

AD, Nord (Lille), État civil, Condé-sur-l’Escaut, 11 juin 1697, 12 avril 1768.— AN, Col., B, 91, 93, 99, 100, 101, 103, 105, 107 ; Col., C11A, 98, 99, 126 ; C11B, 29–38 ; Col., C11C, 13, 14, 16 ; Col., E, 194 (dossier Franquet) ; Col., F2C, 5 ; Col., F3, 50 ; Marine, B4, 76, f.76 ; 80, 164 ; Section Outre-Mer, Dépôt des fortifications des colonies, Am. Sept., nos 225–237.— CTG, Archives, art.3, 8, 14, 15 ; Bibliothèque, mss in 4o, 66 ; mss in fol., 205b, 208c, 210f.— SHA, Xe, 4 ; Ya, 183 ; Y4d.— Inv. des papiers de Léry (P.-G. Roy), II : 120, 122–126.— A.-M. Augoyat, Aperçu historique sur les fortifications, les ingénieurs et sur le corps du génie en France [...] (3 vol., Paris, 1860–1864), II : 375, 378, 386, 417, 431.— Frégault, François Bigot, II : 13, 19–21, 60–61 ; La civilisation de la Nouvelle-France, 129, 140, 201, 217.— McLennan, Louisbourg, 189, 191, 197s., 234, 245, 283, 285.— F.-J. Audet, Louis Franquet, MSRC, 3e sér., XXV (1932), sect.i ; 69–80.— Bulletin de lassociation pour lavancement des méthodes de préservation ([Ottawa]), IV (1972).

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F. J. Thorpe, « FRANQUET, LOUIS », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/franquet_louis_3F.html.

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Auteur de l'article:    F. J. Thorpe
Titre de l'article:    FRANQUET, LOUIS
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1974
Année de la révision:    1974
Date de consultation:    28 novembre 2024