VILLENEUVE, FERDINAND, sculpteur, menuisier, architecte et entrepreneur, né le 7 décembre 1831 à Charlesbourg, Bas-Canada, fils de Thomas Villeneuve, cultivateur, et de Luce Cauchon ; le 25 janvier 1859, il épousa à Saint-Isidore de Lauzon (Lévis) Odile Morin, et ils eurent neuf enfants ; décédé le 4 septembre 1909 à Saint-Romuald, Québec.

Ferdinand Villeneuve est âgé de 15 ans lorsqu’en janvier 1847 son père le met en apprentissage, dans l’atelier du maître sculpteur André-Raphaël Giroux*, alors à Québec. La formation qu’il acquiert pendant six ans le rattache à ce qu’on appelle l’école de Québec, une lignée d’artistes influencés par Thomas Baillairgé*, et laissera une marque profonde sur son œuvre.

À la fin de 1852 ou au début de 1853, Villeneuve ouvre son propre atelier à Québec, puis, le 15 juin 1855, acquiert une maison rue Richardson (De La Salle), dans le quartier Saint-Roch. Il travaille alors à son compte ainsi qu’aux nombreux chantiers de Giroux, particulièrement, entre 1854 et 1857, à la sculpture du décor intérieur de l’église Notre-Dame-des-Victoires à Québec. Peu après son mariage, il s’établit à Saint-Isidore de Lauzon, où il vient d’obtenir un important contrat de sous-traitance de décoration de l’église paroissiale. Engagé comme sculpteur par les maîtres menuisiers Jean-Baptiste Saint-Michel et Louis Patry, de 1858 à 1868, il est amené à concevoir et à exécuter tout le décor intérieur et l’ameublement liturgique du temple, notamment les retables du sanctuaire et des chapelles, le maître-autel et les autels latéraux, de même que la chaire, le banc d’œuvre et les fonts baptismaux. Inspiré du décor de l’église de Saint-Anselme, conçu selon l’ordre corinthien, le plan de la voûte et des retables rappelle les plus beaux ensembles décoratifs de Baillairgé et de ses disciples ; le mobilier relève également de l’esthétique de Baillairgé. À la fin de cette période, en 1867 et 1868, Villeneuve se dit aussi cultivateur.

En décembre 1868, Villeneuve se trouve à Saint-Romuald, où il a ouvert une petite boutique. C’est dans ce village de la rive sud du Saint-Laurent, non loin de Québec, qu’il vivra le reste de ses jours. Entre 1869 et 1873, il y acquiert, par bail à rente foncière ou par achat, divers terrains et maisons. Surtout, il établit, à Saint-Romuald, un atelier spécialisé dans la conception, l’ornementation et l’ameublement des églises. Il engage aussi quelques assistants ; dès son installation, il a comme employé le menuisier Louis Saint-Hilaire, dit Pichette. Au milieu des années 1870, on compte en outre quelques apprentis, dont son deuxième fils, Joseph, de même que Joseph Saint-Hilaire, fils de Louis, et Joseph Gagnon. En 1879, ayant déjà atteint un certain rang social, il est élu maire de sa paroisse d’adoption.

Les dix premières années de Villeneuve à Saint-Romuald sont non seulement les plus actives de sa carrière, mais elles contribuent largement à asseoir sa réputation dans le domaine de l’architecture et de la sculpture. À l’Exposition provinciale de Québec, en septembre 1871, ses ouvrages de sculpture, particulièrement une statue du Bon Pasteur, sont fort remarqués par les connaisseurs et les chroniqueurs de journaux, et il obtient un premier prix spécial pour des « pots de fleurs en bois ». Au cours des années suivantes, grâce à l’élan inespéré donné à sa carrière par cette exposition, l’architecte-sculpteur, à la tête d’un important atelier composé de plusieurs employés, mène bon nombre d’entreprises dans des églises de la grande région de Québec.

Au tout début des années 1870, Villeneuve réalise, semble-t-il, le maître-autel de l’église des Écureuils (Donnacona), orné d’un Bon Pasteur, de même que l’autel Saint-Joseph à la cathédrale Notre-Dame de Québec. En 1872, les marguilliers de Saint-Nicolas le chargent de dessiner les plans de la décoration intérieure de l’église paroissiale et d’exécuter les travaux de rénovation, qui consistent à « réparer la voûte en bois, la régulariser au-dessus du chœur et des chapelles ; soulever, boiser et sculpter le chœur, refaire les retables, redoubler les planchers de bas, percer deux portes dans les chapelles, faire trois autels neufs ». La même année, il se voit confier, d’après ses dessins et pour 2 000 $, l’ornementation de la chapelle ainsi que la réalisation de l’autel du Sacré-Cœur dans l’église Saint-Roch, à Québec. L’ouvrage, complété par les statues de Sainte Anne et de la Vierge, lui attire des éloges dans les journaux de la ville. En 1873, il exécute, au même endroit, les autels latéraux.

Peu après, Villeneuve travaille avec l’aide de Louis Saint-Hilaire aux trois autels de l’église de Saint-Romuald – d’après les plans fournis par un architecte de Munich, dénommé Schneider – de même qu’à la chaire du temple. À la fin de 1874, il entreprend, à Saint-Joseph de Lauzon, la fabrication d’un imposant maître-autel pour l’église de la paroisse. Ce retable-tabernacle, inspiré d’un plan de style byzantin dessiné par Schneider, comporte sept statuettes et un relief du Bon Pasteur ; cependant, « pour ne pas détruire l’harmonie architecturale de l’église », Villeneuve, « tranch[ant] sur le genre que l’on adopt[e] généralement dans toutes les églises », choisit le corinthien. Cet ouvrage lui vaut les commentaires les plus élogieux, entre autres dans le Courrier du Canada, qui le consacre « sans contredit le sculpteur le plus en vogue » dans la région. Au cours de l’année 1875, il dirige également d’importants travaux de rénovation totalisant la somme de 3 000 $ à la chapelle de la Congrégation des hommes, dans la paroisse Saint-Roch, à Québec.

En 1876–1877, outre la fabrication des buffets et confessionnaux pour la nouvelle église de Sainte-Anne-de-Beaupré et l’entreprise de la fausse voûte pour celle de Saint-Henri de Lévis, Villeneuve sculpte, encore avec succès, d’après ses propres dessins inspirés de l’ordre corinthien, l’autel principal de l’église de Saint-Anselme, pour laquelle il réalise aussi deux niches et peut-être un autel latéral. En 1877, il livre à l’église de Saint-Simon-de-Rimouski deux autels latéraux dessinés par David Ouellet*. De plus, à cette époque, il semble avoir exécuté certains travaux à la chapelle Notre-Dame-de-Pitié, dans l’église Notre-Dame de Lévis. Chose certaine, en 1878, il fabrique, d’après ses plans, l’autel principal de l’église de Saint-Sauveur, à Québec, et toute l’ornementation intérieure et le maître-autel de la chapelle du Sacré-Cœur, voisine du couvent Jésus-Marie de Lauzon ; cette dernière réalisation, de style corinthien, lui attire une fois de plus des éloges dans la presse écrite.

Avec les années 1880, s’amorce une nouvelle étape dans la carrière de Villeneuve. En 1880, Joseph Saint-Hilaire termine son apprentissage et va travailler avec les architectes Ouellet et François-Xavier Berlinguet* de Québec. Trois ans plus tard, en ouvrant son propre atelier à Saint-Romuald, il entre en concurrence directe avec son ancien patron, dont l’activité, en dépit d’annonces qu’il fait paraître dans les journaux, subit déjà un certain ralentissement. Au cours des années 1880 et 1890, Villeneuve consolide sa situation financière en faisant de la spéculation foncière à Saint-Romuald.

En 1880–1881, Villeneuve travaille à la rénovation de l’église et de la sacristie de Saint-Simon-de-Rimouski. Entre 1882 et 1887, il effectue de nombreux travaux de menuiserie et de peinture à l’école des Frères de la doctrine chrétienne de même qu’à l’église et au presbytère de Saint-Romuald. Pendant l’année 1887, la fabrique de Saint-François (à Beauceville) lui confie, au coût de 1 800 $, l’exécution de trois autels et la construction de galeries et d’une seconde tribune. En 1891, il sculpte, d’après les plans de Georges-Émile Tanguay*, les autels ainsi que la chaire et l’abat-voix de l’église de Saint-Médard, à Warwick. Vers la même période, il est chargé de la fabrication de la chaire de l’église de Pointe-Gatineau (Gatineau). En 1894, Villeneuve obtient, après soumission, le contrat de l’exécution du maître-autel, dessiné par Ouellet, pour l’église de Saint-Michel, dans le comté de Bellechasse, et ce, à condition que les statues prévues soient réalisées par Louis Jobin* ; il signe également un devis pour l’ornementation du chœur de cette église. En 1895, il travaille pour la paroisse de Saint-Elzéar, en Beauce, et, peut-être, à la décoration du sanctuaire de Notre-Dame de Lévis, de même qu’à la fabrication du tabernacle de l’église de Chicoutimi d’après les plans de Joseph-Ferdinand Peachy et de David Dussault.

À compter des années 1890, Villeneuve semble de plus en plus partager avec son fils Joseph les contrats donnés à son atelier de Saint-Romuald et lui laisse une part croissante de la direction de l’entreprise familiale. Administrateur de la boutique, il se réserve le travail de concepteur, de dessinateur et de superviseur des chantiers. On ne lui connaît pas, cependant, de travaux entrepris en son nom dans la deuxième moitié de la décennie. De plus, à compter de 1898, il se désigne aussi bien comme rentier que comme entrepreneur. C’est à cette époque qu’il semble avoir transféré définitivement la gestion de l’atelier à son fils. Ce dernier fonde la Compagnie de bois manufacturé, qui deviendra en 1907 la Compagnie Jos. Villeneuve Limitée.

L’entreprise embauche jusqu’à une vingtaine d’employés, sans compter qu’elle confie des commandes particulières à des sous-traitants, tel le statuaire Louis Jobin. Depuis un certain temps déjà, un bon nombre d’ouvriers – menuisiers ou journaliers – gravitent autour de Ferdinand ou de Joseph ; ces derniers ont aussi attiré les sculpteurs Philippe Roberge, Alyre Prévost, Edmond Patry et Lauréat Vallière qui, en 1903, commence son apprentissage auprès de Joseph. L’organisation du travail et la répartition des tâches au sein de la manufacture empruntent beaucoup au modèle industriel. En effet, l’entreprise loge dans un bâtiment de trois niveaux. Au premier, on effectue le sciage, le planage et, tout près de la chaufferie, le collage du bois ; au deuxième, se trouvent les ateliers de dessin, de menuiserie et de sculpture ; enfin, le troisième est réservé aux travaux de finition (peinture, dorure, vernissage). Vers 1900, les commandes sont abondantes et l’entreprise fonctionne à plein rendement. À ce moment-là Joseph exécute de nombreux travaux de décoration et d’ameublement liturgique, notamment dans les églises de Sainte-Anne de Chicoutimi-Nord (Chicoutimi), Saint-François, à l’île d’Orléans, Saint-Odilon, dans le canton de Cranbourne, Notre-Dame-de-l’Immaculée à Notre-Dame-de-Laterrière (Laterrière), Saint-Ambroise (à Loretteville) et Saint-Isidore, là même où son père avait commencé sa carrière. En 1901, il présente un autel à l’Exposition provinciale de Québec et remporte une médaille d’or.

À la fin de sa vie, Ferdinand Villeneuve jouit d’une situation financière très confortable. Outre le « roulant » de l’atelier et tous les outils, il possède, entre autres, des biens immobiliers, des rentes foncières et des actions diverses, dont héritent, en 1909, ses fils Joseph et Alphonse, médecin.

La composition et le fonctionnement de l’atelier de Villeneuve témoignent des mutations qui affectent le domaine de la sculpture et des pratiques artisanales dans le dernier quart du xixe siècle, mutations évidemment reliées au phénomène de l’industrialisation, c’est-à-dire au passage de la boutique à la manufacture. En cette époque préindustrielle, les diverses étapes de conception et d’exécution de projets décoratifs, semblables à un travail à la chaîne, se fondent de plus en plus sur une fragmentation entre divers intervenants spécialisés.

Villeneuve, d’abord formé comme menuisier et sculpteur, devient progressivement, à l’instar de Berlinguet et de Ouellet, un architecte-entrepreneur. Il dirige alors un atelier mécanisé et très organisé qui fonctionne sur un net fractionnement des tâches entre des ouvriers (opérateurs de machines et tourneurs), des menuisiers et des sculpteurs proprement dits. Entrepreneur prospère, il accepte toutes sortes de travaux et se contente souvent de superviser les chantiers, confiant à des artisans indépendants le soin d’exécuter retables, meubles, ornements, statues et reliefs historiés. La commande, la conception et la réalisation de certains projets décoratifs – tel le maître-autel de Saint-Michel – illustrent bien les liens multiples et complexes qui existaient entre le client, l’architecte-concepteur, l’entrepreneur-exécutant et les sous-traitants. Ce type de collaboration et de complémentarité est devenu, à la fin du xixe siècle, une pratique courante dans le processus de création de projets d’envergure. D’après ses contemporains, Villeneuve est reconnu non seulement pour ses grandes qualités de directeur de la boutique et pour son sens des affaires comme entrepreneur, mais également pour ses talents d’architecte et de sculpteur. Il est en mesure de dresser lui-même les plans et devis de décors intérieurs et de pièces de mobilier, et prend même à l’occasion la liberté d’interpréter des dessins fournis par d’autres architectes, notamment ceux de Schneider.

Bon nombre de décors intérieurs et de pièces de mobilier réalisés par Villeneuve prolongent la grande tradition esthétique préconisée par Baillairgé : le néoclassicisme d’inspiration Louis XVI. Ces décors intérieurs conçus comme un tout cohérent se caractérisent par des retables d’ordre corinthien composés en hémicycle ou en arc de triomphe. Toutes les parties sculptées sont soumises à une rigoureuse ordonnance architecturale. Toutefois, Villeneuve, tout comme Berlinguet, prend ses distances par rapport aux principes mis de l’avant par les disciples de Baillairgé. Sensible à l’architecture éclectique et aux styles dit revivals, il exploite avec une certaine rigueur les possibilités du néo-classique monumental. Ses retables-tabernacles colossaux, comme à Lauzon et à Saint-Anselme, sont ainsi conçus pour mettre en évidence le maître-autel. Les ensembles en ordre corinthien, qui « exigent une grande richesse d’ornements », comme à Lauzon, favorisent le déclin de la sculpture figurative au profit de la sculpture ornementale : trophées, corbeilles ou bouquets de fleurs, épis de blé, feuilles de vigne ou d’acanthe, grappes de raisins, cornes d’abondance, entre autres. À cet égard, Villeneuve est réputé comme sculpteur ornemaniste. Par contre, les décors de ses retables et de ses meubles sont dépourvus de reliefs figuratifs, à l’exception de quelques Bon Pasteur figurant sur la monstrance de ses tabernacles. Toutes inspirées du même modèle, ces œuvres dynamiques et vigoureuses témoignent d’un talent certain et d’un métier accompli. On lui attribue également un certain nombre de statues – notamment aux autels de Saint-Isidore, Saint-Roch et Lauzon – qui, d’après les journaux du temps, révèlent « un talent supérieur pour la statuaire ». Mais, selon certains contemporains, Villeneuve ne sculpte aucune statue, confiant généralement ce type de commandes à Jobin.

La carrière et l’œuvre de Ferdinand Villeneuve se situent à la jonction de deux grandes écoles d’architectes-sculpteurs : l’école de Québec, à laquelle il a été formé, et l’école de Saint-Romuald dont il est l’initiateur. Malgré ses hauts et ses bas, la Compagnie Jos. Villeneuve Limitée poursuivra ses activités dans l’ornementation et l’ameublement jusqu’au milieu du siècle. Comme en fait foi une annonce parue dans l’Album des églises de la province de Québec publié à Montréal en 1929, la maison compte à ce moment-là un grand nombre de réalisations majeures dans des églises, couvents et collèges non seulement du Québec, mais aussi d’autres provinces canadiennes et même des États-Unis. Pendant un temps, il y eut dans ce petit village quatre ateliers de sculpture qui employaient près de 100 hommes et qui diffusaient leurs œuvres un peu partout au Canada et en certaines parties des États-Unis.

Mario Béland

Outre les archives de la plupart des paroisses mentionnées dans la biographie de Ferdinand Villeneuve, nous avons aussi consulté aux AC, Québec, les minutiers suivants : E.-J. Angers, 19 nov. 1898 ; H. C. Austin, 13 mai 1872 ; Joseph Boutin, dit Bourassa, 14 févr. 1881–15 juin 1910 ; Joseph Lagueux, 19 sept. 1901 ; M.-N.-D. Légaré, 9 oct. 1883 ; J.-T. Lemieux, 15 févr. 1897–2 avril 1909 ; Étienne Simard, 26 août 1867, 14 nov. 1873 ; aux AC, Arthabaska, le minutier de Léonidas Laliberté, 15 mars 1869–15 févr. 1870 ; aux AC, Beauce (Saint-Joseph-de-Beauce), les minutiers de Philippe Angers, 23 janv. 1887, et de J.-H. Reny, 22 janv. 1859 ; aux AC, Trois-Rivières, le minutier d’E.-H. Tremblay, 24 nov. 1874, 3 mai 1875.

À ces sources s’ajoutent principalement : AC, Québec, État civil, Catholiques, Saint-Romuald (Saint-Romuald), 7 sept. 1909.— ANQ-Q, CE1-7, 8 déc. 1831 ; CE6-18, 25 janv. 1859 ; CN1-19, 5 avril 1869 ; CN1-85, 15 févr. 1871 ; CN1-113, 18 oct. 1875 ; CN1-128, 11 oct. 1861 ; CN1-181, 1er mai 1883 ; CN1-216, 15 juin 1855–17 nov. 1856 ; CN1-255, 12 févr. 1847 ; T11-1/4321, 19 avril 1869 ; 4324, 9 févr. 1881 ; 4513.— AUL, P175, plans de Joseph Villeneuve.— Musée canadien des civilisations (Hull, Québec), Coll. Marius Barbeau, maîtres-sculpteurs, dossier 60.— Musée du Québec (Québec), Dossier de Ferdinand Villeneuve ; Dossier des œuvres de la coll. ; Fonds Gérard-Morisset, dossiers Ferdinand Villeneuve, Joseph Villeneuve et Joseph Saint-Hilaire ; dossiers paroisses.— Québec, Ministère des Affaires culturelles, Centre de documentation, Dossiers de paroisses.— Le Courrier du Canada, nov. 1875, avril-juin 1880, 5 août 1891, 15 sept. 1894.—L’Électeur, 18 sept. 1894, 10 oct. 1895.— L’Événement, 13 sept. 1871, 9 avril 1875, 23 août 1877, 11, 14 sept. 1894.—Le Journal de Québec, sept. 1871–mars 1873, avril 1875–nov. 1876, 27 avril 1878, avril–sept. 1880, 26 avril 1883.— Le Quotidien du Saguenay–Lac-Saint-Jean (Chicoutimi, Québec), 3 mars 1981 : A 1 ; 5 mars 1981 : A6.—Le Soleil, 14 sept. 1901 ; 2.— Annuaire, Québec, 1847–1860.— Mario Béland, « Ferdinand Villeneuve (1831–1909), architecte et sculpteur », Espace (Montréal), 7 (1990–1991), n° 3 : 7–9 ; « Louis Jobin (1845–1928) et le marché de la sculpture au Québec » (thèse de ph.d., univ. Laval, 1991).— Léopold Désy, Lauréat Vallière et l’École de sculpture de Saint-Romuald, 1852–1973 (Sainte-Foy, Québec, 1983).— J. R. Porter et Jean Bélisle, la Sculpture ancienne au Québec ; trois siècles d’art religieux et profane (Montréal, 1986).

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Mario Béland, « VILLENEUVE, FERDINAND », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/villeneuve_ferdinand_13F.html.

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Auteur de l'article:    Mario Béland
Titre de l'article:    VILLENEUVE, FERDINAND
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1994
Année de la révision:    1994
Date de consultation:    28 novembre 2024