LAFONTAINE DE BELCOUR (Bellecour, Bellecourt), JACQUES DE (il signait Delafontaine), membre du Conseil supérieur, procureur général et commissaire pour la rive sud du Saint-Laurent (district de Québec), né le 22 septembre 1704, baptisé le 24 septembre dans la paroisse Notre-Dame, à Versailles, France, fils de Jean-Baptiste de Lafontaine, ordinaire de la musique du roi à Versailles, et de Bernardine Jouin ; il épousa Charlotte Bissot le 24 octobre 1728, à Québec, et il en eut 12 enfants ; il épousa en secondes noces, le 7 août 1751, Geneviève Lambert qui lui donna trois enfants ; il mourut à Québec le 18 juin 1765.
Jacques de Lafontaine arriva au Canada en 1726 en qualité de secrétaire et protégé de Charles de Beauharnois, et dès ce moment il manœuvra pour s’enrichir. Outre une dot de 4 000# et le charme qui pouvait être sien, Charlotte Bissot avait en 1728 l’attrait certain pour Lafontaine de lui apporter dans sa corbeille de mariage une association de dix ans avec son père, François-Joseph Bissot*, pour l’exploitation des pêcheries de phoque et la traite avec les Indiens dans sa seigneurie de Mingan, sur la côte du Labrador. L’affaire échoua et Lafontaine s’en retira en 1732, après que Bissot lui eut promis de lui verser 2 000# pour l’indemniser des pertes subies.
Croyant qu’il réussirait mieux à son propre compte, Lafontaine loua Mingan de Bissot en 1733, mais se retira l’année suivante afin d’aller exploiter la concession plus riche que Beauharnois et Gilles Hocquart*, l’intendant, venaient de lui octroyer : un monopole de neuf ans sur la pêche au phoque et le commerce avec les Indiens dans la région située entre les rivières Itamamion (Étamamiou) et Nontagamion (Nétagamiou) sur la rive nord du Saint-Laurent. Il se prit immédiatement de querelle avec les propriétaires des îles au large du poste de Mingan. Ces îles étaient vitales pour la pêche au phoque : à l’automne et au printemps, les phoques migrateurs s’engageaient dans les étroites passes entre les îles et la terre ferme et c’est là que les chasseurs tendaient les filets pour les prendre. L’héritage que Lafontaine avait reçu de son beau-père (décédé en 1737) comprenait uniquement la partie continentale de la concession de Mingan ; les îles faisaient partie de la seigneurie qui avait été concédée à Jacques de Lalande de Gayon et à Louis Jolliet*, conjointement, en 1679, et qui couvrait une grande étendue de la côte du Labrador, de Mingan à la baie des Esquimaux (Spanish Cove). Les familles Bissot, Lalande et Jolliet étaient cependant alliées par mariages, de sorte que les héritiers des îles de Mingan étaient cousins et oncle de la femme de Lafontaine.
Les délimitations imprécises des concessions originales furent à la source de quelques-uns des litiges entre les nombreux héritiers, mais la cupidité joua aussi probablement un grand rôle ; dès 1734, les propriétaires des îles se plaignirent du fait que Lafontaine empiétait sur leurs droits et essayait d’accaparer tous les bénéfices. Ils l’accusèrent également de commerce illicite. Il était interdit de vendre de l’eau-de-vie aux Indiens, de trafiquer avec les Anglais, et aussi d’expédier des peaux de castor directement en France sans passer par les comptoirs de la Compagnie des Indes à Québec, mais c’était pratique courante chez les concessionnaires du Labrador et Lafontaine n’y fit probablement pas exception. En 1733, Hocquart lui ordonna de respecter la loi qui interdisait la vente d’alcool aux Indiens et en 1736 il écrivit à Maurepas, ministre de la Marine, que Lafontaine, même s’il se conduisait bien maintenant, s’était auparavant rendu coupable de « quelque dérangement dans sa conduite ».
Joseph de Fleury de La Gorgendière, porte-parole des héritiers de Jolliet, revendiqua, comme faisant partie des îles de Mingan, les îles situées en face du poste de Nontagamion, propriété de Lafontaine. Lafontaine rejeta ces prétentions car leur bien-fondé eût supposé une concession originale trop vaste. En 1737 il demanda que ces îles soient rattachées à sa concession, puis, que cette concession soit prolongée sa vie durant et, par la suite, il voulut que la cession en soit perpétuelle. Maurepas repoussa la requête d’une concession à perpétuité malgré qu’elle fût appuyée par Beauharnois. Le gouverneur et l’intendant recommandèrent une cession à vie mais sans les îles du large, vu les prétentions des héritiers de Louis Jolliet. Ils recommandèrent cependant que les propriétaires de ces îles en cèdent la jouissance aux concessionnaires continentaux moyennant une compensation établie. En 1743, après des années de chamailleries, on s’entendit pour un loyer approprié, soit 3 p. cent du produit total de la pêche au phoque.
La querelle de Lafontaine avec les cousins de sa femme prit brusquement une tout autre tournure en 1739, lorsque l’oncle de celle-ci, Jacques de Lalande, propriétaire de la moitié des îles de Mingan, céda la jouissance de sa part à Lafontaine. Ce dernier exécuta alors une volte-face sur la question de délimiter jusqu’où s’étendaient les îles de Mingan ; il découvrit soudain que sa femme détenait, depuis la mort de son père, un droit sur ces îles et il se joignit aux héritiers de Louis Jolliet pour exiger des dédommagements des autres détenteurs des concessions continentales, en particulier de Claire-Françoise Boucher de Boucherville, veuve de Jean-Baptiste Pommereau. Les héritiers de Jolliet n’avaient pas plus tôt obtenu gain de cause dans cette affaire que déjà La Gorgendière et Lafontaine revenaient à leur querelle de famille et Lafontaine gagna sa cause grâce à la donation de Lalande.
Il n’est pas étonnant que Lafontaine, homme ambitieux, intelligent et compétent, ait cherché à entrer au service du roi pour le prestige social et les avantages matériels que cela comportait. En 1732, lorsque ses affaires étaient en mauvaise posture, il préconisa auprès du ministre, et ce, dans le but d’empêcher les erreurs dans les actes notariés, l’établissement d’un bureau central pour l’enregistrement de ces actes et demanda que lui soit confié le poste de receveur de l’enregistrement. Le ministre cherchait à régler cette question depuis longtemps et il agissait dans le plus grand secret afin d’éviter une foule de procès, la population eût-elle soupçonné que ses biens meubles et immeubles étaient menacés. Son rôle de secrétaire de Beauharnois donnait à Lafontaine accès à la correspondance du gouverneur et c’est ainsi qu’il tenta de tirer avantage des renseignements de première main qu’il y puisait. On ne sait pas si Lafontaine influença les réformes ultérieures dans la procédure notariale.
En 1734 il fut décidé d’accorder aux quatre derniers conseillers nommés au Conseil supérieur un traitement annuel de 300# ; Lafontaine demanda alors qu’on lui confiât un des postes vacants. Il y fut nommé en 1735, recommandé par Beauharnois et Hocquart ; toutefois, ce dernier lui refusa la charge d’écrivain principal qu’il sollicitai. En novembre 1740, Lafontaine était nommé, par suite de la mort de Pierre Raimbault*, lieutenant général civil et criminel par intérim de la juridiction royale de Montréal et il remplit ce poste jusqu’à l’entrée en fonction de Jacques-Joseph Guiton de Monrepos en septembre 1741. Avec l’appui indéfectible de Beauharnois, il sollicita du roi une gratification que lui refusa Maurepas alléguant le traitement et les émoluments qui lui avaient été versés pendant qu’il était à Montréal et qui étaient plus que suffisants pour couvrir toutes ses dépenses.
Lafontaine et François Daine, premier greffier au Conseil supérieur, entrèrent en compétition à deux reprises en postulant les mêmes postes : en 1743 ils sollicitèrent la succession de Pierre André de Leigne à la charge de lieutenant général civil et criminel à la Prévôté de Québec, et, en 1751, la situation lucrative de directeur du Domaine du roi. Daine triompha les deux fois et, à la seconde occasion, le perdant ne lui ménagea pas ses invectives. En 1743, Beauharnois et Hocquart avaient proposé les deux candidats mais, officieusement, Hocquart appuya Daine, et Beauharnois soutint Lafontaine. Une fois de plus, Lafontaine dut constater que la puissance du gouverneur n’était pas illimitée.
En d’autres circonstances encore, Lafontaine chercha à exploiter à son profit les dissensions entre le gouverneur et l’intendant. En 1737, sur recommandation de Hocquart, le poste de Tadoussac fut affermé à François-Étienne Cugnet. En 1740, Lafontaine offrit de payer un loyer beaucoup plus élevé, à propos de quoi Beauharnois donna à entendre à Maurepas que Cugnet avait présenté de façon erronée les bénéfices à retirer de la location. Hocquart se porta magistralement à la défense de Cugnet et son argument le plus percutant fut probablement le commentaire qu’il porta sur l’offre de Lafontaine : « cette ferme ne pourrait tomber en plus mauvaises mains [...] à l’Expiration du Bail qui lui seroit passé, [...] le fond de ces traittes se trouveroit ruiné ».
Lafontaine prenait assez à la légère les devoirs de sa charge de conseiller, se consacrant presque entièrement à l’exploitation de ses entreprises personnelles. Après 1740 on le vit en cour plus souvent à titre de plaignant ou de défendeur qu’en qualité de juge. Il perdit plus de causes qu’il n’en gagna.
Malgré la production croissante d’huile de phoque à Nontagamion, dont la concession lui avait été renouvelée en 1745, et l’héritage important qu’il reçut de sa belle-sœur en 1747, Lafontaine s’enlisait dans les dettes, ce qui ne l’empêcha pas d’acheter des terres d’une valeur de 4 600# sur la côte Saint-Jean, d’exploiter une concession de pêche à la baleine à Apetépy sur le littoral du Labrador et une scierie sur la rivière Chaudière ; il finança ces entreprises par des emprunts et par la formation d’associations, notamment avec Gilles William Strouds. En 1754, Lafontaine fit faillite et ses créanciers, Jean Taché en tête, prirent possession de ses exploitations au Labrador.
Lafontaine fit l’acquisition de trois seigneuries, beaucoup plus, il appert, pour le prestige ou pour leur valeur spéculative que pour le revenu à en tirer ; ce furent, en 1733, une nouvelle concession sur la rivière Richelieu, la seigneurie de Belcour, laquelle retomba dans le Domaine du roi en 1741 parce que rien n’avait été accompli pour sa mise en valeur, puis un arrière-fief de la seigneurie des Plaines, rattaché lui aussi au domaine royal en 1749, et en troisième lieu, la seigneurie Lafontaine de Belcour, concédée en 1736. Cette dernière toutefois fut revendiquée par Jacques-Hugues Péan de Livaudière, qui accusa Lafontaine d’avoir induit le gouverneur et l’intendant en erreur quand il savait pertinemment que la propriété appartenait à la femme de Péan. Lafontaine misait probablement sur le fait que le ministre, alors dans des dispostions peu bienveillantes à l’égard des seigneurs qui ne faisaient rien pour mettre à profit leurs domaines, saurait se montrer plus favorable à son endroit s’il donnait des preuves de sa volonté de faire fructifier ses terres. Au cours de l’été de 1740 il fit plusieurs concessions à des censitaires ; son titre cependant fut révoqué mais il reçut 948# en compensation pour les améliorations apportées depuis 1736.
Les hauts fonctionnaires français qui ont fait des observations sur Lafontaine ont tous été d’accord pour louer sa compétence et son intelligence exceptionnelles mais, sauf Beauharnois qui défendit son secrétaire sans réserve, tous partageaient l’opinion de Hocquart qui le tenait pour indigne de confiance. Deux rapports datant de la fin du régime et qui faisaient vraisemblablement partie de l’enquête officielle dans l’Affaire du Canada contiennent des opinions défavorables sur Lafontaine.
Présumant peut-être qu’il n’y avait plus d’avenir pour lui en France, Lafontaine demeura au Canada après la Conquête. Le général James Murray*, fidèle à sa ligne de conduite qui était de conquérir la confiance des Canadiens, le désigna, à l’automne de 1760, à la charge de commissaire et de procureur général pour la rive sud (district de Québec). Murray ne tarda pas à se faire de Lafontaine la même opinion qu’en eut Hocquart. L’orage éclata en octobre 1763, lorsque Lafontaine écrivit au comte de Halifax que Murray l’avait dépouillé de sa propriété, qu’il l’avait empêché d’exploiter son poste de Mingan en 1761, que par pure méchanceté il avait privé deux de ses filles de leur pension royale et que le général avait eu pour lui des paroles injurieuses lorsqu’il avait élevé d’humbles protestations. Les membres du Board of Trade ordonnèrent une enquête publique de manière à convaincre les Canadiens de l’équité de la justice britannique. En réalité, cette affaire était, pour une grande part, une audacieuse invention de la part de Lafontaine.
La propriété en cause était le poste de Gros Mécatina (île du Gros Mécatina), au Labrador, que Lafontaine assimila à l’île elle-même et qui faisait, par conséquent, partie des îles de Mingan, lesquelles ne pouvaient être concédées à d’autres. Jamais sous le régime français, Lafontaine ou quelqu’autre des cohéritiers n’avaient établi leurs droits de propriété sur le poste de Gros Mécatina. On leur avait seulement garanti une compensation de 3 p. cent pour l’usage des îles au large, et Murray présenta des témoins pour prouver que cette compensation avait été versée. Pour ce qui est du poste de Mingan, Murray affirma, témoins et documents à l’appui, que les propriétaires n’avaient pas les moyens financiers d’exploiter ce poste en 1761 et qu’ils étaient parfaitement satisfaits de le louer à Joseph Isbister*. Les filles de Lafontaine n’avaient jamais joui de pensions royales. L’aide qu’elles recevaient venait de la bourse même de Murray parce qu’elles étaient complètement démunies, Lafontaine ayant frauduleusement hypothéqué leur part d’héritage pour acquitter ses propres dettes. Par la suite, une partie de son héritage fut vendue et le reste mis sous séquestre pour régler ses créanciers qui ne furent jamais complètement payés. C’est au cours d’une réunion de Lafontaine et de ses créanciers, après que celui-ci eut publiquement dénoncé le manque d’équité de la justice britannique, que Murray lui reprocha vertement l’indélicatesse de ses pratiques financières, sa façon repréhensible de traiter ses filles et qu’il l’accusa d’être un « méchant homme dont la conduite monstrueuse révoltait l’humanité ».
II existait aussi d’autres raisons pour lesquelles Murray ne faisait pas confiance à Lafontaine, y compris des preuves de déloyauté et d’abus de sa charge de procureur général ; il se peut que Lafontaine, étant donné son goût marqué pour la pêche en eau trouble, ait porté un coup à Murray en 1763, et l’insatisfaction croissante des marchands anglais face à la politique de Murray a pu induire Lafontaine à miser sur le rappel de ce dernier. L’affaire Lafontaine faisait partie des griefs des marchands dans leur requête au roi en 1765. Murray, bien sûr, fut exonéré de toutes les accusations portées contre lui.
Lafontaine mourut à Québec, le 18 juin 1765. Malgré sa grande intelligence, malgré l’ascendant dont il jouissait auprès du gouverneur Beauharnois et malgré son premier mariage avantageux, Jacques de Lafontaine dilapida une fortune considérable, administra de façon pitoyable ce qui aurait dû être une entreprise fort rentable et s’attira la méfiance de la plupart des gens avec lesquels il eut à traiter.
AN, Col., B, 57, ff.694v.–696 ; 61 f.567 ; 63, f.473v. ; 64, f.428v. ; 65, f.407 ; 66, ff.241v.s. ; 68, ff.278, 293v.–294v. ; 70, ff.320s., 321s., 329s., 334s. ; 74, ff.430, 440s., 460v. ; 76, ff.364, 369s., 410–411v. ; 78, f.316v. ; 87, ff.183s. ; 89, ff.261s. ; 91, ff.257s. ; 93, f.196 ; Col., C11A, 57, ff.247–251 ; 58, ff.167–172v. ; 61, ff.231–232, 276–277v. ; 65, ff.33–34 ; 66, ff.88–89, 114, 131–132v. ; 67, ff.6v.s., 119s. ; 69, ff.46s. ; 70, f.9 ; 71, ff.12–13, 14–15v., 80s. ; 73, 40s., 42s. ; 74, ff.31, 93–95, 131–132 ; 75, ff.217v.s. ; 76, ff.8–13 ; 77, ff.86s., 352–354, 365–367 ; 79, ff.61v., 148s., 209s., 343–345v. ; 80, f.271v. ; 83, f.261 ; Col., C11B, 32, pp. 335–337 (copies aux APC) ; Col., D2D°, 1 ; Col., E, 114, pp. 2–11, 12–14, 17s. ; 246 (copies aux APC) ; Section Outre-Mer, G1, 462, ff.325–331.— ANQ, Greffe de Jacques Barbel, 18 oct. 1728 ; Greffe de R.-C. Barolet, 5 avril 1732, 22 août 1753, 11 et 15 août 1737, 11 sept. 1738, 10 et 28 juill., 20 août 1740, 10 janv. 1744, 16 oct. 1747, 4 sept. 1752 ; Greffe de Nicolas Boisseau, 19 oct. 1740 ; Greffe de C.-H. Du Laurent, 15 déc. 1748, 3 mars, 24 mai, 31 août 1751 ; Greffe de J.-C. Panet, 25 août 1746, 21 mars, 1er oct., 2 nov. 1747 ; Greffe de J.-N. Pinguet de Vaucour, 15 oct. 1744, 15 févr., 13 mars 1745 ; AP, Charlotte Bissot ; NF, Coll. de pièces jud. et not., 1 204, 1 267, 1 279, 1 455, 1 634, 1 831, 1 855, 4 127.— APC, MG 23, GII, 1, 2, pp. 92s. ; MG 30, D58, 1, pp. 1–48.— A D Yvelines (Versailles), État civil, Notre-Dame, Versailles, 24 sept. 1704.— Édits ord., II : 354–358, 550s., 567–572 ; III : 315, 470.— Inv. de pièces du Labrador (P.-G. Roy), I : 5, 46, 55, 103, 138, 147, 149, 193, 196, 198.— Les papiers La Pause, RAPQ, 1933–1934, 218s.— Le Jeune, Dictionnaire, I : 152.— P.-G. Roy, Inv. jug. et délib., 1717–1760, IV : 50, 176 ; VI : 2, 3, 21, 44.— Tanguay, Dictionnaire.— P.-G. Roy, Les secrétaires des gouverneurs et intendants de la Nouvelle-France, BRH, XLI (1935) : 74–107.
S. Dale Standen, « LAFONTAINE DE BELCOUR (Bellecour, Bellecourt, Delafontaine), JACQUES DE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/lafontaine_de_belcour_jacques_de_3F.html.
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Auteur de l'article: | S. Dale Standen |
Titre de l'article: | LAFONTAINE DE BELCOUR (Bellecour, Bellecourt, Delafontaine), JACQUES DE |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1974 |
Année de la révision: | 1974 |
Date de consultation: | 28 novembre 2024 |