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HERIOT, GEORGE, fonctionnaire, paysagiste et auteur, né en 1759 à Haddington, Écosse, aîné des quatre enfants de John Heriot, greffier de la cour du Haddingtonshire, et de Marjory Heriot ; décédé célibataire le 22 juillet 1839 à Londres.
Issu de la petite gentry écossaise, George Heriot reçut une solide formation en lettres grecques et latines. Apparemment, il fréquenta d’abord la Duns Academy et la grammar school de Coldstream. Puis, de 1769 à 1774, il étudia à la Royal High School d’Édimbourg auprès de deux grands humanistes, Luke Fraser et Alexander Adam.
Jusqu’en 1777, il semble que Heriot habita Édimbourg, où il suivit très probablement des cours de dessin et de peinture. Grâce au mécène écossais sir James Grant, qui le prit sous son aile et l’encouragea à entreprendre une carrière artistique, Heriot partit pour Londres en 1777 dans cette intention. Mais pour une raison mystérieuse il s’embarqua plutôt pour les Antilles. Pendant les quatre années qu’il y passa, il remplit ses carnets d’esquisses et d’observations sur les coutumes et le paysage des îles et, s’inspirant de ses expériences, écrivit A descriptive poem, written in the West Indies, qui parut à son retour en Grande-Bretagne en 1781.
Une fois revenu dans la métropole, Heriot s’inscrivit comme élève officier à la Royal Military Academy de Woolwich (Londres), où il eut des leçons du professeur principal de dessin de l’établissement, l’éminent artiste topographe Paul Sandby. Les élèves officiers apprenaient l’art du paysage, fort utile sur le théâtre des opérations pour établir et exécuter la stratégie de même que pour noter les mouvements et le déploiement des troupes. C’est peut-être aussi aux côtés de Sandby que Heriot s’initia au « pittoresque », vision artistique du paysage qui privilégie, dans la nature et dans l’œuvre picturale, l’irrégularité des formes et l’équilibre des compositions. Souvent, les sujets choisis sont des scènes rurales ou des sites caractéristiques. Le pittoresque est présent dans les aquarelles et croquis que Heriot réalisa dans la seconde moitié des années 1780 ainsi que dans une série d’eaux-fortes des îles Anglo-Normandes qu’il publia en 1789 et 1790. Mais en fait on peut dire qu’il ne délaissa jamais complètement cette conception.
Même s’il n’était plus attaché officiellement à la Royal Military Academy depuis 1783 environ, Heriot continua de vivre à Woolwich, où il occupait un poste de commis civil au Board of Ordnance, et de faire des esquisses dans cette ville de même qu’aux îles Anglo-Normandes et dans le sud de l’Angleterre. Puis, muté à Québec en 1792, il devint trésorier au Board of Ordnance. Il allait demeurer dans le Bas-Canada jusqu’en 1816, ne s’absentant apparemment qu’en 1796–1797 et en 1806. Peu d’indications sur ses premières années à Québec subsistent. Ses croquis montrent cependant qu’il visita non seulement la ville mais la région de Québec de même que Montréal et les alentours, probablement dans le cadre de son travail. En novembre 1792, il publia un croquis de Jersey dans le Magasin de Québec ; l’année suivante, il exécuta une vue de Québec, peut-être dans l’intention de la publier également. Lorsqu’il retourna en Grande-Bretagne en 1796, il résida à Londres, se rendit sur le littoral sud et fit au moins une excursion de dessin au pays de Galles. De l’automne jusqu’à Noël, il s’inscrivit à l’University of Edinburgh, après quoi il rentra à Londres. Pour son exposition printanière, la Royal Academy of Arts accepta une aquarelle inspirée de ses croquis gallois et deux paysages canadiens. Peu après sans doute, Heriot s’embarqua pour le Bas-Canada et profita de la traversée pour dessiner et prendre des notes.
Le séjour de Heriot en Grande-Bretagne lui fut grandement profitable. Les œuvres qu’il avait vues là-bas, tout comme son propre succès artistique, l’avaient stimulé. Animé d’un nouvel enthousiasme pour le Canada, il se mit à lire sur l’histoire du pays ; les lieux qu’il visitait, les gens qu’il rencontrait lui inspiraient des observations détaillées et de nombreux croquis. Même sa vision artistique du pays s’était modifiée : ses dessins et aquarelles étaient d’une exécution plus sûre, ses paysages avaient acquis puissance et majesté. À Londres, il avait probablement analysé les aquarelles simples mais remarquablement évocatrices de jeunes artistes britanniques, tels Thomas Girtin, Joseph Mallord, William Turner et John Varley. En outre, soit en Grande-Bretagne, soit dans le Bas-Canada, il avait étudié avec soin Six views of North America [...], qu’avait publié à Londres, en 1796, le lieutenant George Bulteel Fisher* ; cette œuvre le marqua, et particulièrement la manière pittoresque dont Fisher y représentait les paysages canadiens.
La visite de Heriot en Grande-Bretagne fut, semble-t-il, également fructueuse à un autre titre. En 1797, grâce à l’influence de son frère John, éminent rédacteur en chef d’un journal tory, il obtint, sans perdre son poste de trésorier, une position plus élevée, celle d’adjoint du garde-magasin général John Craigie*. Deux ans plus tard, en apprenant qu’il cumulait ces deux fonctions et touchait deux salaires, le prince Edward* Augustus, commandant en chef des troupes de l’Amérique du Nord britannique, lui retira la plus importante. Toutefois, pendant son séjour en Grande-Bretagne, Heriot avait rencontré, toujours grâce aux relations de son frère, le premier ministre William Pitt, qui recommanda en 1799 de lui confier la charge de maître général des Postes adjoint de l’Amérique du Nord britannique, devenue vacante à la destitution de Hugh Finlay*. On nomma Heriot le 18 octobre 1799.
Cette nouvelle fonction, que Heriot occupa à Québec à compter du mois d’avril suivant, sembla d’abord taillée à sa mesure. Au Board of Ordnance, où il travaillait toujours, il s’était révélé un administrateur compétent ; aux Postes, il s’employa à réorganiser la distribution du courrier. Son prédécesseur avait inauguré une liaison bihebdomadaire entre Montréal et Québec, mais à l’est et à l’ouest le service était beaucoup plus lent car les chemins étaient mauvais et les habitations clairsemées. Aussi Heriot lança-t-il un ambitieux programme afin d’améliorer la livraison entre Québec et Halifax ainsi que dans le Haut-Canada. D’abord plein d’enthousiasme, il se heurta bientôt à la rigidité du règlement postal ainsi qu’à l’indifférence et à l’incompréhension de son supérieur immédiat, le maître général des Postes à Londres. En vertu du règlement, tout service postal devait faire ses frais, les dépenses consacrées à l’expansion ou à l’amélioration d’un service devaient générer des recettes correspondantes et il fallait acheminer intégralement les bénéfices au maître général des Postes à Londres. Les supérieurs londoniens de Heriot refusèrent donc qu’il utilise les profits réalisés dans les régions les plus populeuses du Haut-Canada pour financer l’amélioration du service dans le sud-ouest de la province, encore isolé malgré une expansion rapide. Par contre, il put compter sur l’aide du lieutenant-gouverneur Peter Hunter*, à qui il tardait d’améliorer les communications dans la province. Afin d’établir des livraisons plus fréquentes, Heriot fit en 1801, à Niagara (Niagara-on-the-Lake), un premier voyage qui allait être suivi de plusieurs autres. Sa réussite ne fut pas totale, mais dès l’hiver de 1805 Niagara recevait du courrier une fois par mois et non plus une fois par saison, et des malles plus nombreuses desservaient le trajet Montréal-Kingston.
À titre d’employé du Board of Ordnance et des Postes, Heriot entra en contact avec l’élite militaire et administrative du Bas-Canada. Il était probablement l’ami du lieutenant-colonel John Nairne*, dont il avait visité la seigneurie de Murray Bay dès 1798, et des liens très étroits l’unissaient à son cousin Frederick George Heriot, officier dans l’armée britannique. En 1807 à tout le moins, il fit partie du Club des barons, cercle fermé d’influents administrateurs et marchands de Québec où l’on retrouvait notamment Herman Witsius Ryland et George Hamilton.
Les premières années de Heriot aux Postes furent difficiles, mais il trouvait refuge dans l’écriture. Toujours intéressé au passé du Bas-Canada, il publia à Londres en 1804 le premier volume d’un ouvrage intitulé The history of Canada, from its first discovery [...]. Largement inspiré de l’ouvrage en trois volumes de Pierre-François-Xavier de Charlevoix*, Histoire et Description générale de la Nouvelle-France [...] (Paris, 1744), ce livre fut l’une des premières histoires du Bas-Canada écrites en anglais. Comme celle de Charlevoix, elle se terminait en 1731 et Heriot ne publia jamais de deuxième volume.
Heriot, semble-t-il, aimait voyager. Pour veiller à l’amélioration du service postal, il faisait souvent la navette entre Québec et Montréal, et en 1807 il visita le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse, où il noua une longue et chaleureuse amitié avec le juge Edward Winslow*. Ces déplacements lui permettaient d’observer le pays et ses habitants, et il avait une telle quantité de notes et de croquis qu’il décida de publier un compte rendu qui serait illustré de ses propres paysages et études de personnages. Son livre, bien connu, parut à Londres en 1807 sous le titre de Travels through the Canadas [...]. La première partie consiste surtout en une description topographique des villes et villages qu’il avait visités ou sur lesquels il avait lu, de Terre-Neuve au lac Supérieur ; il s’y attarde particulièrement aux sites pittoresques, en particulier les chutes du Niagara qui, dit-il, « dépassent en sublimité toutes les descriptions [...] que les vertus du langage peuvent inventer ». La deuxième partie, faite de nombreux emprunts, décrit les mœurs et les coutumes de diverses nations indiennes. Il ne faut pas sous-estimer l’importance de Travels dans le contexte canadien : il s’agit de l’un des premiers livres où domine une vision pittoresque des paysages du Canada.
Malgré le délassement que lui offraient l’écriture et le dessin, Heriot ne pouvait oublier les problèmes constants que les Postes connaissaient en raison de la croissance démographique. Non seulement le règlement freinait-il ses projets d’amélioration des livraisons et d’ouverture de nouvelles routes, mais les choses allaient mal avec le gouvernement de Québec. Mauvais diplomate, Heriot était obstiné et prétentieux ; ces dispositions regrettables l’empêchèrent souvent d’obtenir la collaboration des autorités coloniales. À la fin de 1801, quelques jours à peine après la mort de Finlay, il écrivit à sir Robert Shore Milnes, lieutenant-gouverneur du Bas-Canada, pour lui demander deux charges qu’avait occupées son prédécesseur. Sans doute considérait-il qu’elles lui revenaient de droit, et qu’en plus l’efficacité du service postal exigeait que ce soit lui qui les détienne : en siégeant au Conseil législatif, il serait écouté du gouvernement ; en étant surintendant des postes de relais, il aurait autorité sur le transport et le logement des courriers. Mais il n’obtint aucune de ces deux charges. Milnes nomma Gabriel-Elzéar Taschereau* surintendant, choix qu’il justifia dans une lettre au secrétaire d’État aux Colonies en critiquant par la même occasion le tempérament de Heriot et son manque de compétence. Dès lors, les relations entre Heriot et le lieutenant-gouverneur se détériorèrent. En 1805, Milnes demanda un jour, après la fermeture de la poste, qu’on livre des dépêches à un navire ancré dans le port de Québec ; Heriot refusa. Milnes lui servit par écrit une cinglante réprimande à laquelle il répondit sèchement : « Je considère que m’envoyer des papiers sans demande écrite [...] est extrêmement irrespectueux, et que rien ne m’oblige, officiellement, à faire acheminer quelque lettre ou dépêche à bord d’un navire. » Au fil des ans, les fonctionnaires coloniaux devinrent si irrités par ses mouvements d’humeur qu’ils finirent par envoyer à Londres des plaintes contre lui.
En 1806, Heriot retourna en Grande-Bretagne, probablement pour régler certaines questions de famille. De retour à Québec l’année suivante, il dut affronter le milieu des affaires, de plus en plus mécontent de la lenteur des Postes. La guerre de 1812 aggrava la situation : le gouvernement colonial se mit à lui imposer, ainsi qu’à son service, des exigences qu’il jugeait excessives, voire injustifiées. Dans une lettre au maître général des Postes datée de 1813, il se plaignit de l’ingérence du gouverneur en chef, sir George Prévost* : « Il a pris l’habitude de se mêler des affaires des Postes comme si ce service relevait entièrement de son autorité [... C’est] contraire à tout ce que j’ai connu avant. » Si la guerre avait multiplié les responsabilités de Heriot, la paix ne les allégea pas. Aussi avait-il moins qu’auparavant l’occasion de « cultiver des relations mondaines ». En 1815, il fit valoir au maître général des Postes que ses fonctions habituelles étaient de plus en plus lourdes et qu’en outre il assumait de nouvelles responsabilités, dont la supervision des maîtres de poste et des courriers, l’examen de la comptabilité des Postes, la tenue des feuilles de contrôle (originaux et copies) et la paye des employés. À Londres, on avait eu vent des difficultés qu’il causait au gouvernement colonial et on refusa l’augmentation de salaire qu’il demandait.
Un motif autre que la lourdeur de la tâche expliquait probablement cette demande d’augmentation : Heriot avait perdu au Board of Ordnance le poste de commis à l’inspection qu’il détenait depuis 1804. Un membre du Board of Ordnance avec lequel il s’était déjà querellé décida en 1813 de prendre sa revanche en l’affectant à Kingston, dans le Haut-Canada, tout en sachant bien qu’il devait demeurer à Québec à titre de maître général des Postes adjoint. Heriot refusa donc d’aller travailler à Kingston et fut suspendu.
En 1815, après s’être rendu à New York et à Washington pour discuter de la possibilité de rétablir la liaison postale entre la Grande-Bretagne et le Canada via les États-Unis, Heriot commença à penser à sa démission. Les manœuvres de harcèlement de sir Gordon Drummond*, administrateur du Bas-Canada, qui dans une lettre écrite à la fin d’octobre le pressa de procéder sans délai à certaines réformes aux Postes, hâtèrent sa décision. Heriot répondit à la lettre mais non aux interminables questions de Drummond qui, furieux, envoya à Londres une missive dans laquelle il dénonçait le manque de conscience professionnelle de Heriot. Celui-ci songea d’abord à se rendre en Angleterre pour exposer ses problèmes administratifs au maître général des Postes mais, en janvier 1816, il résolut plutôt de démissionner. Il quitta Québec pendant l’été, conscient qu’il ne remettrait plus les pieds au Canada. Après son retour en Angleterre, il fit de fréquents séjours à l’étranger – en France, en Italie, en Autriche, en Espagne et en Allemagne. En 1824, il publia deux fascicules d’un récit de voyage illustré, A picturesque tour made in the years 1817 and 1820, through the Pyrenean Mountains [...], qui allait être son dernier ouvrage. Il continua de voyager et d’exercer son art presque jusqu’à la fin de sa vie. Il mourut de vieillesse à Londres, en juillet 1839.
Parmi les artistes topographes britanniques qui travaillèrent au Canada et dont les antécédents étaient semblables à ceux de Heriot se trouvent Thomas Davies* et James Pattison Cockburn. Comme lui, c’est surtout pendant leurs heures de loisir qu’ils peignirent leurs paysages à l’aquarelle, souvenirs agréables des lieux qu’ils avaient visités au Canada. Cockburn avait un faible pour les scènes urbaines ; Davies, comme Heriot, préférait la campagne et les établissements isolés, quoique tous deux aient été impressionnés par la majesté des forêts et des cours d’eau du pays.
George Heriot demeure un personnage important au triple titre de fonctionnaire énergique, d’auteur et surtout d’artiste. À titre de maître général des Postes adjoint, il lança un ambitieux programme qui devait améliorer la distribution du courrier et multiplier les postes de relais de Halifax jusqu’à Sandwich (Windsor, Ontario). Sur ce plan, il connut un succès mitigé : gêné par le règlement postal, il ne parvint pas souvent à gagner l’appui des fonctionnaires coloniaux, en bonne partie à cause de son caractère désagréable. À titre d’auteur, il enrichit le corpus des premiers récits de voyage au Canada. Toutefois, c’est principalement en qualité de paysagiste qu’il est entré dans l’histoire. Ses dessins et aquarelles (méconnus jusqu’au début du xxe siècle), où se manifestent souvent un beau talent de coloriste et quelquefois un grand sens du détail, sont suprêmement agréables pour l’oeil. Même si ces œuvres d’art ne se voulaient pas des documents sociaux, elles ont une valeur inestimable de ce point de vue car elles sont les témoins éloquents d’un mode de vie et de paysages depuis longtemps disparus. Par ailleurs, elles reflètent la culture et le savoir-faire souvent propres à ces individus polyvalents que privilégiait la Grande-Bretagne du xviiie siècle et qui rendirent de grands services à l’administration et aux établissements coloniaux.
Une liste détaillée des aquarelles, tableaux à l’huile, cahiers de dessins et gravures de George Heriot est incluse dans sa biographie, G. [E.] Finley, George Heriot, postmaster-painter of the Canadas (Toronto, 1983). Heriot est l’auteur de : A descriptive poem, written in the West Indies (Londres, 1781) ; The history of Canada, from its first discovery, comprehending an account of the original establishment of the colony of Louisiana (Londres, 1804) ; Travels through the Canadas [...] (Londres, 1807 ; réimpr. avec introd., Toronto, 1971) ; et A picturesque tour made in the years 1817 and 1820, through the Pyrenean Mountains, Auvergne, the departments of High and Low Alps, and in part of Spain (Londres, 1824), dont seulement deux fascicules furent publiés.
APC, RG 8, I (C sér.), 284 ; 1219.— Edinburgh Univ Library, Special Coll. Dept., Matriculation records.— GRO (Londres), Death certificate, George Heriot, 22 juill. 1839.— Library of Congress (Washington), Caldwell Woodruff, « Family of Heriot of Castlemains, Dirleton, Haddington, Scotland [...] » (copie dactylographiée, Baltimore, Md., 1918).— PRO, CO 42/121 ; 42/128 ; 42/140 ; 42/144 ; 42/146 ; 42/163.— Edinburgh Rev. (Édimbourg et Londres), 12 (1808–1809) : 212–225.— G. E. Finley, George Heriot (Ottawa, 1979) ; George Heriot, painter of the Canadas (Kingston, Ontario, 1978).— William Smith, The history of the Post Office in British North America, 1639–1870 (Cambridge, Angl., 1920 ; réimpr., New York, 1973).— Jean Bruchési, « George Heriot, peintre, historien et maître de poste », Cahiers des Dix, 10 (1945) : 190–205.— J. C. A. Heriot, « George Heriot », Canadian Antiquarian and Numismatic Journal, 3e sér., 7 (1910) : 101–105.
Gerald Finley, « HERIOT, GEORGE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 7, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 1 déc. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/heriot_george_7F.html.
Information à utiliser pour d'autres types de référence bibliographique:
Permalien: | http://www.biographi.ca/fr/bio/heriot_george_7F.html |
Auteur de l'article: | Gerald Finley |
Titre de l'article: | HERIOT, GEORGE |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 7 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1988 |
Année de la révision: | 1988 |
Date de consultation: | 1 décembre 2024 |