LE NORMANT DE MÉZY, JACQUES-ANGE (il signait Lenormant Demesi), commissaire ordonnateur de l’île Royale, né probablement en France, fils d’Ange Le Normant, secrétaire du roi et commis principal du grand conseil du roi, et de Claude-Madeleine Gourdan ; il épousa Anne-Marie Debrier ; décédé à Paris le 23 octobre 1741.

L’arrivée de Jacques-Ange Le Normant de Mézy, vers la fin de l’été de 1719, se situe peu après le début des travaux d’excavation pour les fortifications de Louisbourg, île Royale (île du Cap-Breton). La forteresse naissante du Nouveau Monde offrait à ce fils d’une importante famille d’administrateurs français, lequel effectuait son premier voyage outre-Atlantique, un frappant contraste avec les fortifications bien établies de Dunkerque, où il avait été commissaire ordonnateur à partir de 1701. Il apportait avec lui des traditions venant des deux côtés de sa famille : sa querelle avec le gouverneur Saint-Ovide [Monbeton], qui faillit paralyser le gouvernement de la colonie en 1719 et 1720, provenait en grande partie de la vieille rivalité entre la noblesse de plume et la noblesse d’épée. Le conflit fut cependant aggravé par le déséquilibre et les juridictions chevauchantes du système administratif de la colonie, lequel ne se trouvait que partiellement implanté à Plaisance (Placentia, T.-N.) et à demi compris par Saint-Ovide.

Même si le gouverneur jouissait du plus grand prestige, il n’avait en réalité que peu d’influence sur l’administration courante en dehors du domaine militaire. En vertu de sa nomination comme commissaire ordinaire le 15 avril 1718, Mézy était responsable de toutes les tâches régulières du commissariat : l’approvisionnement des magasins et des matériaux, principalement pour l’armée et la construction de la forteresse. À ces responsabilités s’ajoutèrent, le 23 avril, les pouvoirs d’ordonnateur qui relevaient non pas du commissaire ordinaire mais de l’intendant ; ceux-ci concernaient le contrôle des finances, y compris la préparation des budgets annuels, l’autorisation de faire toute espèce de dépenses et d’assurer le paiement des salaires du personnel de la Marine. Grâce à ses nominations aux postes de subdélégué de l’intendant de la Nouvelle-France et de premier conseiller du Conseil supérieur (toutes deux en date du 19 juin 1718), Mézy exerçait sur l’administration de la justice la même haute autorité que son supérieur théorique à Québec. Il était de plus responsable des recensements de la population, des relevés du commerce et de la pêche, de la rédaction de tous les contrats du roi, ainsi que de l’administration des nombreuses ordonnances royales, par exemple celles qui se rapportaient à la conscription dans la Marine (les classes).

Pour administrer les différents domaines qui tombaient sous sa juridiction, le commissaire ordonnateur était assisté de différents types de fonctionnaires. Ses principaux subordonnés étaient les écrivains (général, principal et ordinaire), à qui étaient confiées des tâches spécifiques, comme la tenue des livres des magasins de l’hôpital. Au-dessous d’eux se trouvaient les commis, les copistes et le garde-magasin. Deux autres fonctionnaires, indispensables à l’administration, ne relevaient pas de lui. On confiait des fonds envoyés de France à l’agent des trésoriers généraux de la Marine, lequel devait payer les salaires et les comptes de marchandises autorisés par le commissaire ordonnateur. Les livres de l’agent étaient privés, et celui-ci en était personnellement responsable. Plus près du commissaire ordonnateur, en particulier à Louisbourg où il occupait aussi généralement le poste d’écrivain, se trouvait le contrôleur. Ce fonctionnaire était responsable devant le contrôleur général, qui se trouvait en France, et le ministre de la Marine ; il devait prévenir le mauvais usage des fonds royaux, en vérifiant tous les reçus et dépenses approuvés par le commissaire ordonnateur et en assistant à l’ouverture des soumissions publiques pour s’assurer que les contrats fussent octroyés aux plus bas soumissionnaires.

La collaboration fructueuse qui aurait pu exister entre le gouverneur et le commissaire ordonnateur à l’intérieur du système administratif de Louisbourg, fut rendue impossible à cause d’un conflit de personnalité. Saint-Ovide et Mézy étaient deux hommes énergiques, jaloux de leurs pouvoirs respectifs et dépourvus de tout esprit de compromis. Leur première querelle se déroula à l’automne de 1719, lorsque Mézy s’opposa à une tentative de Saint-Ovide d’intervenir dans les affaires financières ; ils entrèrent de nouveau en conflit durant l’hiver, alors que Mézy voulut s’ingérer dans des affaires reliées à la justice militaire, qui tombaient à juste titre sous la juridiction du Conseil de guerre. Lors d’une réunion du Conseil supérieur, le 14 mars 1720, les deux hommes se disputèrent ouvertement la présidence de l’assemblée. À l’issue d’une séance orageuse, on en vint à un compromis suivant lequel, en attendant la décision royale, le commissaire ordonnateur agirait comme président du conseil, tandis que tous les jugements seraient signés conjointement par les deux fonctionnaires. Mézy n’en continua pas moins sa lutte. Dans les mois qui suivirent, il exposa publiquement son opinion sur ses propres fonctions et défia ouvertement l’autorité du gouverneur. Le Conseil de Marine en colère répudia vigoureusement les prétentions des deux hommes, en les menaçant de sanctions si leurs disputes continuaient. Quoique Mézy fût confirmé dans son poste de président du Conseil supérieur, il fut réprimandé pour ses défis à l’autorité. Le ton extrêmement sévère qu’utilisa le conseil dans ses lettres de réprimande secoua les deux fonctionnaires dont les relations furent par la suite, sinon amicales, du moins plus courtoises.

Mézy fit preuve de la même indépendance dans le domaine de l’administration de la justice. Il y jouissait d’une position beaucoup plus avantageuse, car non seulement ses pouvoirs comme subdélégué de l’intendant étaient vastes et mal définis, mais il avait de plus comme subordonné immédiat dans l’administration civile le conciliant Antoine Sabatier, alors procureur inexpérimenté du Conseil supérieur. « Il est d’une vivacité Extraordinaire, écrivait Sabatier. Il voudroit tous faire, cela le jette aussi quelques fois dans les Erreurs, et cest le Diable pour s’en relever. » Mézy utilisa le Conseil supérieur pour étendre son influence et celle de l’autorité civile. Dès 1719, il insista pour que la représentation au sein du conseil fût élargie, qu’il y eût moins de militaires et plus de représentants des intérêts commerciaux. Après que Saint-Ovide eut confirmé la nomination de Joseph Lartigue au conseil en 1723, Mézy recommanda l’un de ses favoris, Pierre Carrerot*, en 1724. Sa requête fut refusée, mais l’année suivante, son fils unique, Sébastien-François-Ange*, y fut nommé à l’âge précoce de 23 ans. Les jugements de Mézy, peut-on souligner, n’étaient pas toujours objectifs, ainsi que le démontre un cas, en date de 1724, impliquant Lartigue, l’ami du gouverneur.

Mézy et Saint-Ovide étaient particulièrement intéressés par les problèmes sociaux et économiques résultant de la croissance rapide de Louisbourg dans les années 1720. Dans une communauté de moins de 2 000 habitants, incluant la garnison, l’administration n’était pas très éloignée des problèmes quotidiens des habitants. Le monde des affaires et le gouvernement étaient en étroites relations, et, dans leurs ordonnances se rapportant à la pêche et au commerce, les deux hommes favorisaient constamment les affaires et les intérêts locaux au détriment de la main-d’œuvre et des intérêts métropolitains. Des problèmes particuliers surgirent dans le domaine de la pêche, principale activité économique de l’île et l’une des raisons essentielles de l’établissement de la colonie en 1713. En 1720, Saint-Ovide et Mézy tentèrent de régulariser les modalités de crédit entre les armateurs et les ravitailleurs en rédigeant des arrangements écrits, lesquels existaient depuis 1718 dans les contrats entre les pêcheurs et leurs employeurs. En partie pour pallier la grande pénurie de main-d’œuvre, ils interdirent aux marchands français d’engager des hommes d’équipage sur l’île pour la saison automnale de pêche. Comme la vente de l’eau-de-vie aux pêcheurs était devenue un instrument dans la course acharnée à la main-d’œuvre que se livraient les employeurs, ils tentèrent à plusieurs reprises d’en réglementer le commerce. Afin de placer la communauté des marchands locaux sur un pied d’égalité avec ceux de France, où le poisson pouvait se vendre près de deux fois plus cher qu’à l’île Royale, le prix de la morue fut fixé à 12# le quintal en 1724. De plus, pour assurer aux marchands de l’île un approvisionnement régulier en poisson, Saint-Ovide et Mézy obtinrent par décret qu’ils aient une première option sur les prises que leurs équipages recevaient comme salaire. Outre ces tentatives de rationaliser l’industrie de la pêche, Mézy prit des initiatives limitées dans d’autres sphères économiques, telles que les mines de charbon et le commerce du bois, mais ses efforts n’aboutirent pas.

Le gouverneur et le commissaire ordonnateur possédaient, dans le domaine des règlements publics, une vaste autorité. Les ordonnances variaient de l’établissement dans la colonie des poids et mesures en vigueur à Paris, à l’obligation de mettre dans des enclos les porcs qui s’aventuraient dans les rues, menaçant la vie des enfants, ou à l’interdiction de chasser la perdrix durant la saison de la construction, de façon à empêcher les soldats-ouvriers de quitter leur ouvrage pour la chasse. Leur législation ainsi que les décrets royaux étaient cependant loin d’être appliqués rigoureusement. Les décrets régissant les cabarets, passe-temps favori des habitants de Louisbourg, et la consommation de boissons alcooliques, furent émis ou répétés chaque année de 1719 à 1722 et de nouveau en 1727 et 1728. Et pourtant, en 1726, on comptait 15 tavernes, à part les cantines militaires, pour une population fixe légèrement inférieure à 1 000, situation qu’expliquait Mézy en ces termes : « il faut que le soldat et le matelot boivent, ils ne travaillent que pour cela ».

Il est plus difficule de comprendre la négligence de Saint-Ovide et de Mézy dans d’autres domaines. La ville se développa d’abord au hasard, puisque ni l’un ni l’autre ne prirent la peine de faire respecter les règlements de zonage promulgués en 1721. Une nouvelle ordonnance royale, émise deux ans plus tard, interdisait la construction de résidences privées dans des secteurs publics désignés et ordonnait au gouverneur et au commissaire ordonnateur d’exproprier, avec compensation, les habitants établis dans ces endroits réservés. Même si sa résidence était idéalement située près du quai, Mézy ne sut ni surveiller attentivement le commerce ni empêcher de façon efficace la contrebande. Mais contrairement à Saint-Ovide, il ne fut pas directement impliqué dans les accusations de favoritisme et de recherche d’intérêts financiers portées contre l’administration de 1727 et 1728, qui avait toléré le commerce avec les colonies anglaises. Il fut toutefois réprimandé pour n’avoir pas insisté sur l’application de certaines lois qui formaient la pierre angulaire de la politique commerciale de l’empire et n’avoir pas informé le ministère de ce qui s’était passé.

Mézy se sentait particulièrement responsable de la mise en place de services publics et sociaux. Selon lui, les gens qui vivaient dans les colonies ou qui venaient y faire du commerce manquaient du civisme que l’on retrouvait en France. Ils sont motivés, en quittant leur mère patrie, écrivit-il, « par une avarice Extrème, par le derangement de leurs affaires, quelqu’uns y viennent pour punition de leurs crimes, et tous aspirent a gagner quelques bien pour se retirer en france ». Par conséquent, en 1720, il suggéra de construire une église, une école publique et une cour de justice en levant des taxes sur la morue, le vin et l’eau-de-vie. Bien que la taxe sur la morue fût perçue, elle fut vivement contestée par les marchands locaux, puis suspendue en 1723, après une seule année d’existence. Mézy tenta également de protéger les intérêts de la couronne contre les prétentions du clergé et s’opposa à plusieurs reprises aux récollets établis dans la colonie. Il croyait que les prêtres séculiers serviraient mieux les intérêts de l’Église et de l’État, mais que Louisbourg était trop pauvre pour assurer leur subsistance.

Les principales faiblesses de Mézy comme commissaire ordonnateur touchaient cependant le domaine de la comptabilité et des finances, qui constituait l’essentiel de son poste. Durant les premières années de son administration, il négligea de soumettre ses livres au ministère de la Marine de la façon recommandée et d’envoyer en France les inventaires annuels de la pêche et du commerce. Les critiques du ministère le forcèrent à améliorer son rendement après 1724, mais il ne réussit jamais à mettre de l’ordre dans les livres de la colonie. Lors de sa nomination en 1718, on l’avait averti de porter une attention particulière à cette tâche, après avoir trouvé des irrégularités dans les rapports financiers d’un ancien garde-magasin. Ignorant ce sage conseil, Mézy apposa, de façon irréfléchie, sa signature à certaines factures de magasins et du trésor, prépara ses livres à la hâte et se contenta de rapports imprécis. Contrairement aux ordres, il vendit des provisions destinées aux troupes. Lorsque Philippe Carrerot démissionna comme garde-magasin en 1724, Mézy le remplaça par le frère de Carrerot, André, malgré l’opposition de Saint-Ovide ; il s’éloigna alors de la procédure normale, en négligeant de faire l’inventaire des magasins. Plusieurs années plus tard, on l’accusa d’avoir dissimulé une fraude commise par Philippe Carrerot, accusation à laquelle son écart de la procédure normale et les arrérages des comptes de Carrerot ajoutaient du poids.

C’est son incapacité à mettre de l’ordre dans les livres de comptes de la colonie qui conduisit Mézy à sa perte. En 1720, le directeur des fortifications, Jean-François de Verville*, accusa Saint-Ovide et Mézy d’avoir mal utilisé les fonds réservés aux fortifications, même si ceux-ci n’étaient pas différenciés des fonds destinés aux dépenses régulières. L’agent des trésoriers généraux de la Marine, François-Marie de Goutin, que Verville considérait comme la « creature sans volonté » de Mézy, refusa d’ouvrir ses livres à l’ingénieur. Au même moment, on découvrit en France des divergences entre les états financiers de Mézy et ceux qui furent soumis par Verville. On rejeta la suggestion de Verville de nommer un agent des trésoriers généraux des fortifications, mais les budgets des fortifications et des dépenses régulières furent désormais séparés. Pour prévenir de nouvelles irrégularités, on désigna Louis Levasseur comme contrôleur en 1720.

D’année en année, cependant, le ministre continua de trouver des erreurs et des omissions dans les états financiers de Louisbourg. En 1724 et 1727, Mézy envoya son fils en France pour présenter ses excuses. Finalement en 1728, sa négligence et son incompétence eurent raison de lui. Ayant dépassé son budget, il emprunta au fonds des fortifications. Lorsque l’ingénieur Étienne Verrier vint y puiser pour faire des paiements, le coffre-fort de l’agent du trésor fut trouvé vide. Mézy admit quelques erreurs, mais il tenta de se justifier en blâmant l’agent du trésor, son personnel limité, ainsi que la confusion provoquée par le fait que Verville ne présenta jamais aucun rapport financier annuel. Bien que les livres de Goutin aient en effet par la suite un déficit de 48 000#, le ministre de la Marine, Maurepas, refusa d’accepter les justifications de Mézy. « Je ne puis m’empescher de vous dire, écrivit-il en 1729, qu’un pareille administration n’est pas pardonable et que sy J’en avois rendu compte au Roy vous en Seriez severement puny. » Après avoir fermé ses livres pour la période de 1722 à 1728, Mézy partit justifier sa conduite en France en 1729. L’année suivante, il demanda la permission de démissionner, mais il retourna à Louisbourg une fois de plus, jusqu’à ce que le ministre le rappelle en 1731. On mentionne 1733 comme date officielle de sa retraite, au moment de laquelle il se vit octroyer une pension annuelle de 2 400#. On ne connaît rien de ses activités après son retour en France.

Ne possédant ni les talents d’administrateur de Jacques Prévost* de La Croix ni l’initiative de Pierre-Auguste de Soubras* ni l’imagination de François Bigot*, Le Normant de Mézy fut le moins compétent des commissaires ordonnateurs de Louisbourg. Son administration fut marquée par le désordre et l’absence d’innovation substantielle. Combatif et irascible, persuadé que « les hommes n’agissent que par Emulation », non seulement il entrava le travail des autres, mais il ne fut jamais capable d’organiser efficacement son personnel. Il se fia plutôt à quelques protégés, tels que Carrerot, Levasseur et Jacques-Philippe-Urbain Rondeau. Au cours des années, le fils de Mézy commença à assumer de plus grandes responsabilités et, en 1729, remplaça temporairement son père. Sentant toutefois la nécessité d’un changement plus radical, le ministre, le 21 février 1731, nomma en remplacement de Mézy un administrateur civil d’expérience, Pierre de Belamy, alors commissaire ordonnateur à La Rochelle. Pour des raisons obscures, Belamy ne se rendit jamais à l’île Royale. Ce n’est que graduellement et avec hésitation que Maurepas permit à Sébastien-François-Ange Le Normant de Mézy de remplacer son père, favorisant le début d’une carrière qui allait atteindre son apogée avec la nomination de celui-ci en 1758 comme intendant général de la Marine et des Colonies.

T. A. Crowley

AD, Nord (Lille), État civil, Dunkerque, 28 nov. 1702.— AN, Col., B, 4055 ; C11B, 413 ; 20, ff.311312v. ; C11C, 15, ff.23, 177, 210, 212, 234 ; D2C, 60, p. 7 ; 222/2, p. 117 (copies aux APC) ; F2C, 3, ff.88, 155 ; F3, 59, ff.75, 8687, 167 ; Marine, C2, 55, p. 6 (copies aux APC) ; C7, 180 (dossier Le Normant de Mézy) ; Section Outre-Mer, G1, 466, pièce 67 (recensement général de l’île Royale, 1724) ; G2, 190/1, ff.5556 ; 192/1, f.5 ; G3, 2 038/2 (1er sept. 1733) ; 2 057 (23 mai 1721) ; 2 058 (18 oct. 1721) ; Minutier central, Étude XV, 377.— Select documents in Canadian economic history, 1497–1783, H. A. Innis, édit. (Toronto, 1929), 81, 88, 98s., 104106, 117 ; on doit nécessairement consulter l’original car l’éditeur a omis d’indiquer s’il reproduisait en entier le document  [t. a. c.].— Édouard Le Normant Des Varannes [Édouard Burton], Généalogie de la famille Le Normant (Orléans, France, 1853), 5759.— T. A. Crowley, French colonial administration at Louisbourg, 17131744 (thèse de m.a., Duke University, Durham, C.N., 1970).— La Morandière, Hist. de la pêche française de la morue, II : 659s., 671, 673s.— McLennan, Louisbourg, 45, 50, 54, 59, 7880, 87, 92.

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T. A. Crowley, « LE NORMANT DE MÉZY (Lenormant Demesi), JACQUES-ANGE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 1 déc. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/le_normant_de_mezy_jacques_ange_3F.html.

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Auteur de l'article:    T. A. Crowley
Titre de l'article:    LE NORMANT DE MÉZY (Lenormant Demesi), JACQUES-ANGE
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1974
Année de la révision:    1974
Date de consultation:    1 décembre 2024