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ROUSSEAU, ARTHUR (baptisé Jean-Marie-Arthur), médecin, bactériologiste, professeur et administrateur scolaire, né le 19 août 1871 à Saint-Casimir, Québec, fils de Louis-Télesphore-Eugène Rousseau, médecin, et d’Alvina Alain ; le 8 janvier 1899, probablement, il épousa à Québec Bernadette Landry, fille du sénateur Philippe Landry*, et ils eurent quatre fils et deux filles ; décédé le 13 janvier 1934 à Québec et inhumé trois jours plus tard au cimetière Notre-Dame de Belmont, à Sainte-Foy (Québec).
Après des études classiques au séminaire de Nicolet (1883–1885) et au petit séminaire de Québec (1885–1891), Arthur Rousseau, élève brillant, s’inscrit en 1891 au programme de médecine de l’université Laval à Québec. Il reçoit le prix Morrin à la fin de chacune de ses années d’études au baccalauréat, qu’il termine en 1893. Il obtient son doctorat en médecine avec grande distinction en 1895. Probablement soutenu par l’université, il s’embarque pour Paris le 18 février de la même année dans le but de parfaire sa formation. Il consacre ses matinées à des stages en médecine interne dans des hôpitaux, où il se perfectionne auprès de plusieurs spécialistes. Dans l’après-midi, il suit, à titre d’auditeur libre, les cours de bactériologie de l’Institut Pasteur. Avec Oscar-Félix Mercier* et Arthur Bernier*, Rousseau est l’un des premiers étudiants canadiens à suivre le cours de « microbie technique » donné, à partir de 1894, par les médecins Émile Roux et Ilia Ilitch (Élie) Metchnikov (Metchnikoff) – qui obtiendra le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1908 – dans les laboratoires de l’Institut Pasteur. Les leçons constituent un éventail de règles théoriques et pratiques sur les rigoureux procédés bactériologiques. Rousseau s’initie notamment à la théorie des germes opposée à la génération spontanée, à la classification, à la morphologie et à l’action des microbes, aux cultures sur gélatine, à l’examen, à la coloration et à la séparation des microbes, ainsi qu’à la stérilisation des infusions organiques. À cela s’ajoutent les techniques d’analyse microbienne de l’air, des eaux et du sol, les techniques de culture des microbes anaérobiques, l’apprentissage des inoculations expérimentales, la recherche du bacille sur l’animal vivant ou l’autopsie d’animaux infectés et une série de leçons sur les caractères bactériologiques et sur les modes de propagation des principales maladies infectieuses (telles que le charbon, la rage, la pneumonie, la fièvre typhoïde, la tuberculose, le choléra, la diphtérie et le tétanos). Ce cours, dont Rousseau publiera d’ailleurs des extraits dans la Revue médicale de Québec en 1897–1898, marquera un tournant dans sa carrière. Afin de subvenir à ses besoins, il pratique la médecine à Fontainebleau et revient finalement au Québec en 1897, année où il est admis au Collège des médecins et chirurgiens de la province de Québec.
Nommé professeur agrégé à la faculté de médecine de l’université Laval à Québec le 8 septembre 1897, Rousseau obtient, un an plus tard, la direction du laboratoire de bactériologie. Il élabore les premiers cours de bactériologie pratique et de chimie médicale. Devenu professeur titulaire le 12 juin 1901, il s’oriente aussi vers la pratique et l’enseignement de la pathologie générale et interne à l’Hôtel-Dieu de Québec.
Au début de sa carrière bien remplie, Rousseau travaille à l’implantation d’un renouveau de la médecine préventive qui doit, à l’exemple de la médecine française, s’orienter vers des méthodes scientifiques de dépistage des maladies infectieuses et renforcer les dispositifs préventifs. Son enseignement s’étend au delà du diplôme de médecine, puisque, en 1914, il accepte de remplacer le médecin Michael Joseph Ahern* pour donner des cours à l’école des infirmières de l’Hôtel-Dieu de Québec ; pendant 14 ans, Rousseau y sera le seul professeur attitré.
Grand promoteur des méthodes prophylactiques, alors peu développées, et pionnier de la médecine de laboratoire au Canada, Rousseau joue un rôle important dans l’implantation de nouvelles pratiques liées à la bactériologie médicale au sein de la faculté de médecine de l’université Laval, de l’Hôtel-Dieu et des autres hôpitaux de la ville de Québec. Ses efforts entraîneront un renforcement des campagnes d’hygiène publique et privée. À cet égard, la lutte antituberculeuse occupera une place importante dans sa carrière. En 1909, ses compétences en bactériologie et en phtisiologie le désignent pour devenir membre de la commission royale de la tuberculose, maladie qui a alors une incidence très élevée au Québec. Selon les rapports du Conseil d’hygiène de la province de Québec, la tuberculose, entre 1896 et 1906, cause au moins 33 000 décès dans la province. Entre 1908 et 1910, Rousseau publie quelques articles, dans l’Union médicale du Canada, sur la thèse relativement répandue à l’époque d’une possible dégénérescence graduelle de la race canadienne-française engendrée par des maladies infectieuses telles que la syphilis et la tuberculose. Ses positions sur la lutte antituberculeuse – notamment sur la contagion familiale dans les classes populaires et l’interdiction du mariage pour les tuberculeux et les personnes atteintes de maladies mentales – sont empreintes d’un relent d’eugénisme qui n’est pas sans rappeler certaines positions adoptées par sir Francis Galton. Dans le dernier quart du xixe siècle, ce dernier a fondé en Angleterre l’Eugénique scientifique [V. Robert Ramsay Wright ; Madge Thurlow*], mouvement qui proposait d’interdire la reproduction des personnes inaptes. En cela, Rousseau plaide pour une politique de natalité bien différente de celle prônée par l’Église catholique, ce qui ne l’empêche pas d’entretenir de bons rapports avec le clergé et les communautés religieuses. Du reste, il délaisse rapidement ce type de débat social pour se consacrer à des œuvres médicales plus pragmatiques et plus utiles. Son projet d’intervention systématique dans la vie privée des gens appartenant à des classes populaires n’est qu’un élément d’une lutte antituberculeuse qu’il souhaite aussi inscrire dans les milieux scolaires, les milieux professionnels et les lieux publics. Très impliqué dans ce combat, Rousseau participe aussi à la mise sur pied de la Ligue antituberculeuse de Québec en 1909 et à son incorporation en 1910. Il accédera à la présidence de l’Association canadienne contre la tuberculose en 1925.
En 1912, Rousseau, qui sait bien qu’il sera difficile d’endiguer la tuberculose si la ville ne dispose pas de sanatoriums spécialisés, fonde la Société de patronage de l’hôpital des tuberculeux de Québec, présidée par l’homme d’affaires et conseiller législatif Georges-Élie Amyot*. L’association réussit à amasser les fonds nécessaires pour accueillir, le 15 novembre 1915, les premiers malades dans l’ancien Hôpital civique de Québec. La localisation est temporaire, car Rousseau souhaite la construction d’un sanatorium situé dans un endroit où l’air pur et le paysage favoriseront la détente et le repos. Un terrain est acquis à Sainte-Foy, où la construction d’un hôpital destiné aux tuberculeux débute en 1916 et se termine deux ans plus tard. Rousseau a vu juste : ouvert le 6 juin 1918, l’hôpital Laval, avec ses 120 lits, ne répond plus à la demande dès 1920. On entreprend la construction d’un nouveau pavillon qui dote l’établissement d’une capacité de 240 lits. Rapidement, l’hôpital Laval, reconnu pour la qualité et la modernité de ses soins, doit poursuivre son expansion. En 1930, deux nouvelles ailes seront érigées – les pavillons Notre-Dame et Rousseau –, ce qui augmentera la capacité d’accueil à 450.
En 1921, Rousseau devient le premier doyen de la faculté de médecine élu au mérite et non en raison de l’ancienneté. En poste jusqu’à son décès en 1934, il s’emploie avec énergie à moderniser la formation des étudiants par la consolidation de l’enseignement des sciences médicales et l’élargissement de la formation clinique par l’inclusion de spécialités telles que la dermatologie et la cardiologie. Sous sa gouverne, la faculté de médecine connaît un développement sans précédent : inauguration d’un nouveau pavillon consacré à la médecine (1924), modernisation des laboratoires de biologie et d’histologie (1925–1926), fondation de l’Institut d’anatomie pathologique (1928) [V. Arthur Vallée], démarrage de l’Institut de bactériologie et d’hygiène alimentaire (1930), ouverture du Centre anticancéreux (1931), fondation de la Société médicale des hôpitaux universitaires de Québec (1931), abonnement à des revues internationales et, enfin, développement de la recherche clinique alors embryonnaire. À cet égard, Rousseau prône la formation de conseils des médecins dans les hôpitaux universitaires de Québec, lesquels permettraient, à ses yeux, d’améliorer sensiblement la qualité de la médecine scientifique pratiquée dans ces établissements. Il reçoit l’appui des médecins Albert Marois et Napoléon-Arthur Dussault. Tous trois obtiennent la création, en 1925, du bureau médical – l’ancêtre du conseil des médecins – de l’Hôtel-Dieu de Québec, présidé par Rousseau. L’initiative sera suivie l’année suivante par l’hôpital Saint-Michel-Archange à Beauport (Québec). Le doyen Rousseau encourage aussi fortement le recrutement de nouveaux professeurs et l’accueil de médecins français invités pour améliorer la qualité de l’enseignement et ouvrir la faculté de médecine à la recherche. Ses efforts de restructuration portent fruit, au point que l’American Medical Association, qui évalue les facultés de médecine des États-Unis et du Canada, reconnaît la qualité des améliorations apportées à celle de l’université Laval et lui accorde la cote A au début de l’année universitaire 1929–1930.
Pendant son décanat, Rousseau est très actif dans le milieu hospitalier et contribue à améliorer l’offre des soins spécialisés à la population de Québec et des alentours. En ces années où l’Hôtel-Dieu de Québec devient incapable de répondre au besoin de formation clinique des étudiants, plus nombreux depuis l’ouverture du nouveau pavillon de médecine, ses initiatives tombent bien. Rousseau envisage la construction d’un grand hôpital universitaire de soins généraux et spécialisés, où l’on accueillera autant les malades en mesure de payer leurs soins que ceux qui en sont incapables, et où l’on donnera un enseignement clinique. L’établissement comportera de plus une école d’infirmières affiliée à l’université Laval. Dans cette aventure, Rousseau peut compter sur la collaboration active du médecin Pierre-Calixte Dagneau. Le gouvernement provincial et l’archevêché accordent leur appui financier, appui qui tient en partie au fait que l’Hôtel-Dieu ne répond plus à la demande de soins de la population de la région de Québec. La pierre angulaire de l’hôpital du Saint-Sacrement est posée en septembre 1924. Ouvert le 15 décembre 1927, l’hôpital, affilié à la faculté de médecine de l’université Laval, est initialement administré par les religieuses de l’Hôtel-Dieu (les Augustines de la miséricorde de Jésus), puis par les Sœurs de la charité de Québec, qui en ont accepté la succession en juin précédent.
Après avoir reçu l’assentiment du recteur de l’université Laval, Mgr Camille Roy*, Rousseau réalise une autre contribution importante en mettant sur pied la clinique Roy-Rousseau, ainsi nommée en l’honneur des deux fondateurs. Les démarches de Rousseau visent initialement à remédier au surpeuplement de l’hôpital Saint-Michel-Archange. La vocation de la clinique, inaugurée le 1er juillet 1926, s’oriente finalement vers le dépistage et le traitement des affections neurologiques et des maladies mentales. Organisée sur le modèle de l’hôpital Sainte-Anne de Paris, la clinique, d’une capacité de 200 lits, est affiliée à l’université Laval et comprend un centre d’enseignement en neuropsychiatrie pour les étudiants en médecine et les infirmières. Bref, durant son décanat, la contribution de Rousseau est majeure, notamment en ce qui concerne l’extension des établissements affiliés à la faculté et le développement des soins spécialisés, alors en pleine émergence.
Au cours de sa carrière, le docteur Rousseau cumule les distinctions et les fonctions honorifiques, lesquelles témoignent de sa renommée internationale dans le domaine médical. Après avoir cofondé, en 1902, l’Association des médecins de langue française de l’Amérique du Nord [V. Michel-Delphis Brochu], il en sera le président de 1913 à 1920. Il est notamment le délégué officiel du Canada au Congrès international de la tuberculose de Washington (1908) et à celui de Rome (1912), ainsi qu’aux centenaires de la naissance de Louis Pasteur à Paris et à Strasbourg (1922) et de la mort de René Laennec (1926). En 1927, il est le premier Canadien élu membre correspondant de l’Académie royale de médecine de France et est nommé officier de la Légion d’honneur. Il est également le premier Canadien élu membre de l’Institut Pasteur.
Très francophile, comme la plupart des élites francophones de la profession médicale au Québec, le médecin Rousseau ne manque jamais une occasion de répondre à une invitation de la France ou d’encourager la venue de délégations ou de médecins français. En 1924, Rousseau reçoit le professeur Émile Sergent qui, invité par le gouvernement de la province de Québec, donne à la faculté une série de leçons cliniques intitulée « la Tuberculose et la Mortalité infantile ». Dès lors se noue une amitié entre les deux hommes. En 1927, dans le cadre d’un échange parrainé par l’Institut scientifique franco-canadien, Rousseau invite Sergent à venir donner des cours à la faculté de médecine de l’université Laval, puis, en 1931, il convainc le gouvernement de la province de couvrir la plus grande partie de ses frais de mission. En 1925, informé de la visite d’une délégation de médecins de l’Amérique latine dirigée par le médecin français Louis-Ferdinand Destouches, dit Louis-Ferdinand Céline, secrétaire général de l’Organisation d’hygiène de la Société des nations, Rousseau s’est empressé de les inviter, au nom de la faculté, à un dîner au Club de la garnison de Québec.
Les nombreuses initiatives d’Arthur Rousseau dans les mondes hospitalier et universitaire, ainsi que son ouverture à l’endroit de la médecine scientifique, ont fait de lui un grand pionnier et un citoyen respecté et très apprécié par ses collègues et amis. Apparemment, il ne s’est guère intéressé aux grands mouvements sociaux et économiques autres que ceux qui touchaient particulièrement la faculté de médecine de l’université Laval et les hôpitaux de Québec. Tout de même, en 1921, il a favorablement accueilli l’adoption de la Loi de l’assistance publique de Québec par le gouvernement de Louis-Alexandre Taschereau*. Peu après la publication, le 15 mai 1931, de l’encyclique Quadragesimo anno du pape Pie XI sur la restauration de l’ordre social, dans le contexte de la grande dépression, il a publié une lettre remarquée contre les dérives du capitalisme. Trois ans plus tard, à l’annonce de sa mort rapide des suites d’une pneumonie, les témoignages de sympathie affluent de partout et ses obsèques attirent tout ce que la ville de Québec compte de personnalités dans le monde politique, clérical et professionnel. En 1984, une rue située à proximité de l’hôpital Laval (qui deviendra l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec en 2008) sera nommée en son honneur.
Arthur Rousseau a rédigé quelques brochures, dont : la Tuberculose dans la province de Québec : étiologie – prophylaxie : rapport fait au congrès des Trois-Rivières, le 26 juin 1906 ([Québec ?], 1906). Il est également l’auteur de quelques articles, parmi lesquels, dans la Rev. médicale (Québec), « Virulence et Immunité », 1 (1897–1898) : 185–186, 193–194. Dans l’Union médicale du Canada (Montréal), il a notamment signé : « les Progrès de la médecine moderne », 33 (1904) : 409–411 ; « la Médecine et la Race », 37 (1908) : 497–503 ; et « la Lutte contre la tuberculose est aussi pour l’homme une sauvegarde contre la dégénérescence », 39 (1910) : 382–392.
Arch. de l’Instit. Pasteur (Paris), Cours de microbie technique, MP 29048 (liste des personnes ayant suivi les cours, 1889–1970).— BAnQ-Q, CE 301-S38, 21 août 1871 ; CE 301-S97, 17 juill. 1867 ; CN 301-S410, 8 janv. 1899.— FD, Saint-Cœur-de-Marie (Québec), 16 janv. 1934.— Univ. Laval, Div. des arch., U506 (Bureau du secrétaire général), 24/4 (reg. des règlements et des nominations du conseil universitaire) ; 36/4 (anciens élèves).— L’Action catholique (Québec), 15–16 janv. 1934.— Le Devoir, 15, 17, 22 janv. 1934.— La Presse, 15–16 janv. 1934.— Le Soleil, 15–16, 20, 22 janv. 1934.— « Banquet offert au Dr. Rousseau », le Bull. médical de Québec, 28 (1927) : 83–87.— C.-M. Boissonnault, Histoire de la faculté de médecine de Laval (Québec, 1953).— Canadian who’s who, 1936–1937.— Collège des médecins et chirurgiens de la prov. de Québec, Reg. médical (Montréal), 1897 ; 1911.— Louise Côté, En garde ! : les représentations de la tuberculose au Québec dans la première moitié du xxe siècle (Sainte-Foy [Québec], 2000).— Marc Desmeules et Louis Larochelle, « la Faculté de médecine de l’université Laval et la Médecine à Québec : quelques notes historiques », M/S : médecine sciences (Paris), 19 (2003) : 1025–1029.— Joseph Gauvreau, Sur la tombe d’un grand médecin, le docteur Arthur Rousseau (1871–1934) (Montréal, [1934 ?]).— Denis Goulet et Othmar Keel, « les Hommes-Relais de la bactériologie en territoire québécois et l’Introduction de nouvelles pratiques diagnostiques et thérapeutiques (1890–1920) », RHAF, 46 (1992–1993) : 417–442.— Denis Goulet et André Paradis, Trois siècles d’histoire médicale au Québec : chronologie des institutions et des pratiques (1639–1939) (Montréal, 1992).— Jean Hamelin, Histoire de l’université Laval : les péripéties d’une idée (Sainte-Foy, 1995).— J. B. L., « M. le docteur Arthur Rousseau », le Bull. médical de Québec, 28 (1927) : 65–66.— Laval, « Chronique de l’université », le Canada français (Québec), 2e sér., 14 (1926–1927) : 281–291.— Albert Le Sage, « In memoriam : le professeur Arthur Rousseau (1871–1934) », l’Union médicale du Canada, 63 (1934) : 115–126.— O.-D. Messier, « Arthur Rousseau : le bâtisseur », Cap-aux-Diamants (Québec), 1989, numéro spécial intitulé l’Hôtel-Dieu de Québec : 39–40.— François Rousseau, la Croix et le Scalpel : histoire des Augustines de l’Hôtel-Dieu de Québec (1639–1989) (2 vol., Sillery [Québec], 1989–1994), 2.— Émile Sergent, « Ma troisième mission d’enseignement clinique au Canada français », Bull. de l’Académie de médecine (Paris), 3e sér., 106 (1931) : 639–647 ; « Notice nécrologique sur M. Arthur Rousseau (de Québec), correspondant étranger (1871–1934) », Bull. de l’Académie de médecine, 3e sér., 111 (1934) : 119–123.— Univ. Laval, Annuaire, 1886–1934.
Denis Goulet et Jérôme Boivin, « ROUSSEAU, ARTHUR (baptisé Jean-Marie-Arthur) », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 nov. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/rousseau_arthur_16F.html.
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Auteur de l'article: | Denis Goulet et Jérôme Boivin |
Titre de l'article: | ROUSSEAU, ARTHUR (baptisé Jean-Marie-Arthur) |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2019 |
Année de la révision: | 2019 |
Date de consultation: | 28 novembre 2024 |