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HAMEL, EUGÈNE (baptisé Joseph-Eugène-Arthur), peintre, dessinateur, professeur et fonctionnaire, né le 10 octobre 1845 à Québec, fils d’Abraham Hamel et de Marie-Cécile Roy ; le 4 juin 1872, il épousa à Québec Marie-Julie-Octavie Côté (décédée le 21 décembre 1876), et ils eurent trois enfants décédés en bas âge, puis le 16 février 1882, à Rome, Ernesta de Cadilhac (décédée le 3 mai 1914), et de ce mariage naquirent trois fils et une fille ; décédé le 20 juillet 1932 à Québec.
Issu d’un milieu privilégié, Eugène Hamel est le fils d’un négociant prospère de Québec, chef d’une société spécialisée dans l’importation et le commerce de marchandises en gros. Il fait des études classiques au petit séminaire de Québec (1860), au collège de Lévis (1860–1862) et au collège Sainte-Marie, à Montréal, où il remporte les premiers prix de dessin. Entre mai 1863 et mai 1867, il entreprend son apprentissage en peinture auprès du plus fameux portraitiste du Canada, son oncle Théophile*. Dès septembre 1863, le jeune artiste présente à l’Exposition agricole et industrielle de Montréal des dessins au crayon qui sont jugés remarquables. L’apprenti est sans doute étroitement associé à certains ouvrages signés par son oncle. À l’été de 1867, Eugène décide d’aller se perfectionner en Europe.
En 1867–1868, Hamel étudie à l’Académie royale des beaux-arts d’Anvers, en Belgique. Il apprend différentes facettes de son art (notamment l’anatomie, la perspective, le dessin, la peinture et la composition) sous la tutelle de Nicaise de Keyser, directeur de l’établissement, de Joseph Van Lerius et de D. Bouffault (ou Buffault). En 1868, il étudie également à Bruxelles auprès de Jan Frans Portaels. En novembre, trois journaux québécois, dont le Journal de Québec du 27, mentionnent : « Tout chez cet excellent jeune homme nous promet un artiste véritablement chrétien et du talent le plus distingué. » Hamel part alors étudier à l’académie de Saint-Luc, à Rome. Dans cette ville, il se lie d’amitié avec des membres de la famille de Cadilhac. Il se rend ensuite à Florence, où il se perfectionne avec Giulio Cantalamessa ou avec Gabriele Castagnola. Là, il peint notamment une Assomption de la Vierge (qui se retrouvera chez les franciscains de Québec). De retour à Rome, il ouvre un atelier et exécute un Saint Édouard le confesseur, composition originale destinée à l’église de la paroisse Saint-Édouard (à Bécancour). Au moment où Hamel fait un voyage à Venise, le Journal de Québec du 12 avril 1870 publie un article dithyrambique afin d’annoncer le retour prochain du peintre au pays et de susciter par là la commande de tableaux religieux. Auréolé du prestige de ses études européennes et héritier spirituel de son oncle, le peintre amorce dans sa ville natale une carrière artistique qui sera d’abord marquée par une suite de réussites, de récompenses et de décorations, mais qui sera ultérieurement assombrie par une série de déceptions et d’échecs.
À la fin de l’été de 1870, Hamel est installé rue Saint-Jean, à Québec, dans l’ancien atelier de son oncle (qui mourra en décembre). Il prend ainsi la relève de ce dernier dans le domaine du portrait et du tableau religieux. En effet, il jouit pratiquement déjà d’un statut de peintre officiel au sein de l’élite sociopolitique, du clergé et de la bourgeoisie, non seulement de la capitale et de sa grande région, mais aussi de Montréal et de la province. En septembre, il reçoit une commande pour les portraits des présidents de l’Assemblée législative et du Conseil législatif de la province de Québec. Un mois plus tard, tandis qu’il termine le portrait de Charles Boucher* de Boucherville, alors président du Conseil législatif, Hamel invite la population, par les journaux, à venir le rencontrer dans son studio. Les épouses du gouverneur général, sir John Young*, et du lieutenant-gouverneur, sir Narcisse-Fortunat Belleau*, lui rendent visite et admirent les travaux qu’il a réalisés en Europe. Parallèlement, des quotidiens de Québec et de Montréal publient des comptes rendus qui vantent entre autres le Saint Édouard le confesseur et la Paysanne romaine (tableau exécuté à Rome en 1869). Durant les années 1870, les chroniqueurs souligneront les talents de copiste qu’il révèle dans ses toiles religieuses de grandes dimensions, ainsi que les qualités de ses portraits de membres de professions libérales, de marchands, de banquiers, d’ecclésiastiques, de fonctionnaires et d’hommes politiques.
En septembre 1871, Hamel présente une douzaine d’ouvrages à l’Exposition provinciale de Québec et obtient trois prix et un diplôme, notamment pour la Paysanne romaine, tableau considéré comme le meilleur de la manifestation. En février 1872, il est admis à l’Institut canadien de Québec, dont il dessinera d’ailleurs le sceau. En juin, il épouse Marie-Julie-Octavie Côté, fille d’Augustin Côté*, imprimeur et propriétaire du Journal de Québec, alliance qui explique la publicité assidue dont il bénéficiera dans ce quotidien durant des années. Le 20 août suivant, l’Événement décrit élogieusement quelques-uns de ses récents travaux : le portrait de Mgr Elzéar-Alexandre Taschereau*, archevêque de Québec, la Visitation, exécuté d’après Giovanni Maria Morandi pour l’église de Sainte-Foy (à Québec), Sacré-Cœur de Jésus, destiné à celle de Saint-Roch, à Québec, et Saint Césaire, tableau original pour l’église de Saint-Jean-Baptiste-de-Rouville. « Un grand nombre de compositions », note le journaliste, « décèlent beaucoup de hardiesse, d’élévation, d’originalité de conception, de délicatesse et [de] goût dans l’exécution. » De la fin de l’année 1872 à avril 1873, période pendant laquelle il restaure des toiles à la chapelle du séminaire de Québec, l’artiste copie les portraits des 15 premiers évêques de Québec, d’après ceux de l’archevêché, pour les sulpiciens de Montréal.
En mai 1874, Hamel déménage son atelier au 71, rue Saint-Jean. En août, il présente à Québec, dans la salle du Conseil législatif, son portrait de l’ex-président du Sénat, Pierre-Joseph-Olivier Chauveau*, ensuite transporté au Parlement à Ottawa. De 1874 à 1880, il donne des cours de dessin d’ornementation à l’École des arts et métiers de Québec, dont il sera secrétaire de 1875 à 1879, puis directeur en 1880. En mai 1875, il expose quelques portraits dans la nouvelle galerie de peintures de l’université Laval. À compter d’avril 1876, l’artiste, désormais installé au 363, rue Saint-Jean, offre ses services dans trois quotidiens québécois (l’Événement, le Journal de Québec et le Courrier du Canada) pour exécuter des tableaux d’église, originaux et copies, des portraits en couleurs à l’huile, d’après nature, et des portraits au crayon, d’après photographie. À la fin de l’année, sa vie est assombrie par de dures épreuves : sa mère, son épouse et un fils meurent peu avant Noël. En avril 1877, le peintre établit son studio au 12, rue Sainte-Anne, dans l’édifice du Journal de Québec. En septembre, il présente à l’Exposition provinciale de Québec des portraits du président du Conseil législatif, John Jones Ross*, et du recteur de l’université Laval, Thomas-Étienne Hamel, pour lesquels il remporte le premier prix. En août 1879, il est élu membre de l’Ontario Society of Artists à Toronto.
Au début de 1880, Hamel envoie cinq œuvres (toutes réalisées en Europe, sauf une) à l’exposition inaugurale de l’Académie canadienne des arts (qui deviendra bientôt l’Académie royale des arts du Canada), à Ottawa, dont il est membre fondateur. Son Portrait d’un militaire belge, peint en 1868, lui tient finalement lieu de morceau de réception à la nouvelle académie. Peu après, en vue de la Convention nationale des Canadiens français qui a lieu à Québec en juin, il écrit un « rapport au sujet des beaux-arts au Canada ». Publié le 20 juillet dans le Journal de Québec, le document propose des moyens concrets pour favoriser le développement des arts au pays.
Au printemps de 1881, Hamel séjourne quelques semaines à Montréal, où la Minerve louange les sept portraits des présidents de l’Assemblée législative et du Conseil législatif qu’il a réalisés jusque-là (ils seront tous détruits dans l’incendie de l’édifice du Parlement de Québec en 1883) et annonce son départ prochain pour l’Italie. Ce voyage de perfectionnement coïncide, non par hasard, avec la construction du nouvel Hôtel du Parlement, source potentielle de contrats de peinture décorative qu’il rêve d’obtenir, tout comme ses confrères d’ailleurs. Le 22 juin, le Journal de Québec publie une lettre d’Hamel. Il y parle de son installation à Rome et de son passage à Anvers, et expose sa vision pour le moins conservatrice de l’art nouveau pratiqué en Belgique et de l’enseignement offert à l’académie : « La grande peinture y a perdu beaucoup ; aujourd’hui, l’on ne s’occupe guère de l’histoire, et encore moins de l’histoire religieuse, les tableaux de genre ou de scènes d’ateliers ayant le premier pas. » À Rome, où il réside rue Margutta, dans le quartier artistique de la place d’Espagne, il se perfectionne en peinture décorative avec Cesare Mariani, peintre du roi d’Italie. Dans une annonce qu’il fait publier à Québec durant trois ans, l’artiste invite ces « messieurs du clergé de son pays » à lui commander des « tableaux d’église ou [des] copies […] des grands maîtres », et ce, « à aussi bon marché » qu’à un peintre italien. Il tient un registre des commandes obtenues, qui pour une peinture religieuse, qui pour un portrait. Ainsi en est-il, en avril 1882, du Martyre de saint Janvier acheté par Mgr Ignace Bourget*, ancien évêque de Montréal. Le 29 août, à l’occasion de la bénédiction du Départ pour la croisade à Terrebonne, la Minerve rapporte que « M. Hamel a senti quelque chose de l’influence du génie italien ». Le 16 février 1882, Eugène a épousé Ernesta de Cadilhac, fille du chevalier Giovanni de Cadilhac. Le mariage, célébré à Rome en présence de quelques parents par Mgr Louis-François Laflèche*, évêque de Trois-Rivières, est suivi d’un banquet princier. Selon l’engagement qu’il a signé à Rome trois jours plus tôt, son père lui accorde, « pour l’aider à soutenir les dépenses de ce nouvel état, […] la somme annuelle de quatre cents piastres ». À cette époque, l’artiste peint un autoportrait, ainsi que plusieurs beaux portraits de son épouse et de membres de sa belle-famille. Il rentre à Québec au printemps de 1885, après avoir parfaitement intégré dans sa peinture le style de l’école romaine, si prisé par une certaine élite ultramontaine.
À l’été de 1885, l’« élève de M. Mariani », installé au 23, rue Saint-Jean, fait paraître une offre de services similaire à celle de 1876. En 1885–1886, Hamel donne à nouveau des cours à l’École des arts et métiers de Québec (dessin de figures). Élu membre du conseil de l’Académie royale des arts du Canada en 1885, il démissionne à la fin de l’année. Le 16 juillet 1885, le Journal de Québec souligne qu’en plus des toiles livrées dans la région de Montréal, l’artiste a peint à cette date dix grands tableaux religieux pour l’église de Sainte-Foy (détruits dans un incendie en 1977). En outre, le journaliste remarque « une esquisse historique d’un grand intérêt, c’est la réception de Jacques Cartier [Jacques Cartier*] à Montréal [...] Le sujet est tiré de Garneau [François-Xavier Garneau*]. C’est saisissant de vérité. » En réalité, le peintre souhaite alors obtenir le contrat de la décoration des salles du Palais législatif de Québec. Entre 1885 et 1889, entre autres au moyen de la correspondance et des journaux locaux, il multipliera les démarches auprès des autorités gouvernementales et proposera différents projets décoratifs pour l’édifice. En septembre 1887, à l’Exposition provinciale de Québec, Hamel se voit décerner deux premiers prix (pour des dessins originaux et un portrait), ainsi qu’un diplôme pour une composition historique. En mai 1888, au moment où il termine le portrait du premier ministre de la province, Honoré Mercier*, l’artiste, en guise de proposition, expose finalement deux petites esquisses à l’Hôtel du Parlement : l’une pour l’Arrivée de Jacques Cartier à Hochelaga, l’autre pour la Réception de Christophe Colomb à la cour d’Espagne. La proposition fait l’objet d’un débat à l’Assemblée législative le 5 juin suivant. Mais, à sa grande déception, tous ses tableaux et dessins réalisés en vue de diverses compositions historiques demeureront à l’état d’ébauche. Les changements fréquents de gouvernement, les dépassements de coûts de la construction de l’édifice, de même que le programme historique et iconographique proposé par Hamel, semblent expliquer le report du projet. Parallèlement, le peintre a repris, en 1885, sa production de tableaux des présidents de l’Assemblée législative et du Conseil législatif. Finalement, à la fin de 1888, l’artiste signe un contrat officiel avec le gouvernement pour la réalisation, à raison de 200 $ chacun, des portraits de tous les présidents depuis 1867, y compris des sept tableaux détruits en 1883. La commande, dont Louis Fréchette* vantera les mérites dans le Canada artistique, s’échelonnera sur plusieurs années pour totaliser une quinzaine d’ouvrages. À la même époque, il siège aussi au comité spécial d’examen et de supervision des statues que le sculpteur Louis-Philippe Hébert* exécute pour la façade.
En 1889, Hamel achète une propriété au 59, chemin Sainte-Foy, où il vivra jusqu’à son décès. À cette époque, il enseigne son art aux Religieuses de Jésus-Marie à Sillery (Québec), aux Sœurs de la charité et à celles du Bon-Pasteur de Québec. De plus, en 1891–1892, il reprend ses cours de dessin à l’École des arts et métiers de Québec et supervise le montage d’une exposition d’art à l’université Laval. En 1892, père de quatre jeunes enfants, Hamel semble gagner difficilement sa vie. À l’âge de 47 ans, il commence à travailler comme dessinateur surnuméraire au département des Terres de la couronne. Quatre ans plus tard, il obtient le poste de surintendant adjoint pour la division de la chasse et de la pêche au même département, pour 1 000 $ par an. Sa production d’artiste professionnel souffre évidemment de cette réorientation de carrière. Cependant, même si son studio ne figure plus dans les annuaires de la ville, Hamel continue d’être actif dans bien des domaines artistiques. En fait, tous ses temps libres sont alors consacrés aux beaux-arts. Une bonne part de sa production datera des années subséquentes, notamment certaines œuvres bien connues : un portrait du maire de Québec, Simon-Napoléon Parent* (1897), Akonessen, dite la Perdrix (1906), des gouaches représentant le Transport du courrier entre Québec et Lévis avant 1860 (1910), et quatre autoportraits destinés à ses enfants (1926). En 1894–1895, à Lévis, il participe à une exposition de l’École des arts et métiers de Québec, où il enseigne encore le dessin. En outre, en 1897, l’artiste est de nouveau à l’Exposition provinciale de Québec. En 1911–1912, il termine sa série de portraits de membres du Parlement, soit Cyrille-Fraser Delâge, sir Lomer Gouin* et Louis-Alexandre Taschereau*. De 1921 à 1925, il signe, d’après photo, ses derniers tableaux à titre de peintre professionnel. En 1926, ultime reconnaissance, le gouvernement provincial acquiert de l’artiste lui-même six de ses œuvres pour le futur Musée de la province à Québec. En 1932, Hamel, atteint d’une maladie incurable, meurt chez lui.
Eugène Hamel compte parmi les peintres de Québec qui ont le plus attiré l’attention des journaux de la ville dans le dernier tiers du xixe siècle. Selon les commentaires des chroniqueurs, si l’œuvre du peintre répond au goût conservateur de son milieu, il s’oppose aux courants novateurs de son temps. Conforme aux attentes de l’époque, il peut être qualifié d’académique, à la jonction de l’imagerie saint-sulpicienne et de l’école romaine, courants esthétiques alors populaires au Québec. Dans les toiles religieuses de l’artiste, l’édification prime les préoccupations décoratives. Hamel laisse une production de portraits diversifiée, aussi bien dans l’approche des modèles que dans la facture des œuvres. Certains sont d’allure plus traditionnelle, alors que d’autres sont étonnamment modernes. Tous s’accordent à dire qu’Hamel fut un portraitiste de talent et un dessinateur fort habile. Sa carrière et son œuvre constituent un moment important dans l’évolution de la peinture au Québec. S’étalant sur plus d’un demi-siècle, sa production se retrouve partout dans la province, ainsi que dans les Maritimes et l’Ouest, et même en Italie.
Le peintre Eugène Hamel compte parmi les artistes les plus représentés dans la collection du Musée national des beaux-arts du Québec (Québec), qui, au Canada, possède le plus grand nombre de ses œuvres (45 peintures, et 133 dessins et aquarelles). On en retrouve également à l’Hôtel du Parlement de Québec, dans les collections du Musée de la civilisation à Québec, au Musée des beaux-arts du Canada (Ottawa), au Musée d’art de Joliette, Québec, à la Vancouver Art Gallery, ainsi que dans de multiples collections privées, églises et communautés religieuses au Québec.
En 1999, Pierre Hamel, petit-fils et filleul du peintre, a fait don au Musée national des beaux-arts du Québec du fonds Eugène-Hamel (P012), principalement constitué par le notaire Oscar Hamel, fils de l’artiste et père du donateur. Nicole Allard, sous notre supervision, en a fait l’inventaire : Inventaire détaillé du fonds Eugène-Hamel ca 1850–1994, P012 ([Québec], 1999). Le fonds a aussi fait l’objet d’articles fouillés : J. R. Porter, « la Carrière et l’œuvre du peintre Eugène Hamel (1845–1932) à la lumière d’un fonds documentaire inédit », dans Questions d’art québécois, sous la dir. de J. R. Porter (Québec, 1987), 131–188 ; Mario Béland, « le Fonds Eugène-Hamel », Cap-aux-Diamants (Québec), no 66 (été 2001) : 66. Depuis lors, il a été enrichi d’œuvres données par des descendants du peintre.
Nous invitons les lecteurs qui voudraient en savoir davantage à consulter notre monographie, Eugène Hamel (1845–1932) : peintre et dessinateur de Québec (Québec, 2007) ; nos trois articles dans Cap-aux-Diamants : « Une beauté romaine », no 101 (printemps 2010) : 50–51 ; « l’Influence d’un maître », no 113 (printemps 2013) : 60–61 ; « Eugène Hamel à Villers-la-Ville », no 127 (automne 2016) : 49 ; ainsi que la bibliographie détaillée que nous avons déposée dans le dossier de l’artiste conservé à la bibliothèque du Musée national des beaux-arts du Québec.
BAnQ-Q, CE301-S1, 10 oct. 1845, 4 juin 1872 ; CE301-S97, 23 déc. 1876.— Le Devoir, 22 juill. 1932.— Le Journal de Québec, 23 juin 1881.— La Minerve (Montréal), 27 févr. 1882.— Le Soleil, 4 mai 1914.— Louis Fréchette, « À propos de peinture », le Canada artistique (Montréal), 1, no 11 (novembre 1890) : 180–181.
Mario Béland, « HAMEL, EUGÈNE (baptisé Joseph-Eugène-Arthur) », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 1 déc. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/hamel_eugene_16F.html.
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Auteur de l'article: | Mario Béland |
Titre de l'article: | HAMEL, EUGÈNE (baptisé Joseph-Eugène-Arthur) |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2017 |
Année de la révision: | 2017 |
Date de consultation: | 1 décembre 2024 |