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TAYLOR, sir ANDREW THOMAS, architecte, conférencier universitaire, homme politique et administrateur scolaire, né le 13 octobre 1850 à Édimbourg, fils de James Taylor, imprimeur et éditeur, et d’Agnes Drummond ; le 5 décembre 1891, il épousa à Lambeth (Londres) Mary Elliott (décédée en 1925), et ils n’eurent pas d’enfants ; décédé le 5 décembre 1937 à Hampstead (Londres).
Andrew Thomas Taylor fut peut-être inspiré à devenir architecte par son grand-père maternel, George Drummond, bâtisseur et entrepreneur à Édimbourg. Suivant la voie habituelle pour accéder à cette profession, il entreprit, en 1864, un apprentissage de cinq ans chez Pilkington and Bell, entreprise d’Édimbourg connue pour son travail néogothique d’avant-garde. En 1869, il s’installa à Kelso, où il travailla pendant 18 mois pour l’architecte du duc de Roxburghe. Il fut ensuite engagé par William Smith, architecte municipal d’Aberdeen, ce qui lui permit d’acquérir de l’expérience en milieu urbain. En 1872, il entra au bureau londonien de Joseph Clarke, figure en vue du courant néogothique, spécialisé dans la conception et la restauration d’églises, et dans la conception d’écoles. Dans ses temps libres, il suivit des cours aux Royal Academy Schools et à l’Architectural Association, et ajouta à ces études des voyages en Grande-Bretagne et sur le continent afin de réaliser des croquis. Admis en qualité d’associé au Royal Institute of British Architects en 1878, il remporterait, avant la fin de 1881, trois des médailles octroyées par cette institution. Le dernier de ces prix lui fut décerné pour un essai intitulé The towers and steeples designed by Sir Christopher Wren […], publié à Londres en 1881.
Taylor ouvrit son propre cabinet d’architecture à Londres en 1879. Ses premières commandes notables – un bâtiment se composant d’une chapelle et d’une école pour une congrégation baptiste de Douvres, en 1880–1881, et une rangée d’hospices à Chislehurst (Londres), en 1881 – reflètent l’influence médiévale souple caractéristique du courant néogothique de la fin de l’époque victorienne et, dans le cas des hospices, un nouveau style, nommé Old English, popularisé par l’architecte londonien Richard Norman Shaw. En 1882, il termina deuxième avec Henry Hall à l’important concours pour les Glasgow Municipal Buildings. Cette même année, il prit un associé, George William Hamilton-Gordon. Puisqu’il avait désormais un partenaire pour s’occuper du bureau de Londres, Taylor ouvrit en 1883 une succursale de son entreprise à Montréal, où il avait de proches parents, connue sous le nom de Taylor and Gordon. Au cours de l’année précédente, il s’était rendu aux États-Unis dans le but de se familiariser avec des travaux récemment réalisés dans des villes comme Boston et New York. Ce voyage lui permit d’acquérir une compréhension exceptionnelle de la technologie et des styles américains en vogue, qu’il saurait utiliser à bon escient au Canada.
La carrière de Taylor au Canada, de 1883 à 1904, serait aidée tant par la croissance du pays que par ses relations familiales. Sa tante maternelle, Jane Drummond, était la veuve de John Redpath*, fondateur de la première raffinerie de sucre de la province du Canada. Son oncle maternel, George Alexander Drummond*, également marié à une Redpath, était l’un des plus grands industriels et financiers du pays. Les liens de Taylor avec des membres éminents de la communauté anglophone de Montréal lui procureraient une source inestimable de clientèle.
Parmi les premières commandes de Taylor, la plus facilement reconnaissable fut la rénovation et la décoration (1884–1886) de l’imposant siège social de la Banque de Montréal, rue Saint-Jacques, conçu par John Wells en 1845. L’oncle de Taylor, Drummond, l’un des directeurs de l’établissement, supervisa le projet, qui comprenait l’agrandissement de l’espace bancaire à près de deux fois sa taille initiale sans apporter de modifications majeures à la façade historique de l’édifice, ainsi que de considérables travaux de décoration intérieure. L’ornementation, décrite par la Gazette de Montréal comme étant « d’un style plutôt nouveau dans cette partie du monde », fut réalisée par l’entreprise Herter Brothers, fondée par deux frères décorateurs et ébénistes, dont le travail avait impressionné Taylor à New York. Le décor sobre de la banque fut remplacé par des couleurs riches et chaudes, et par des matériaux qui reflétaient dans toute sa splendeur le mouvement Aesthetic, alors à la mode. Les rénovations étaient avant-gardistes sur un autre plan : avant même l’électrification des rues de la ville en 1889, la banque produisait sa propre électricité, à partir de dynamos et de moteurs installés au sous-sol. Afin de s’acquitter de cette tâche complexe, Taylor prit un nouvel associé, Robert William Bousfield, qui collaborerait avec son entreprise jusqu’en 1888.
Les travaux d’agrandissement réalisés par Taylor devaient répondre aux besoins du siège social pour de nombreuses années. Or, dès 1900, il fallut davantage d’espace. La plus importante commande passée à l’époque par une banque canadienne, un autre projet d’agrandissement et de décoration (1901–1905), fut confiée aux célèbres architectes new-yorkais de la firme McKim, Mead, and White, que Taylor admirait. Il travailla avec eux en tant qu’architecte associé et partagea leurs honoraires. Une fois encore, la firme Herter Brothers réalisa une partie de la décoration intérieure.
Dans l’intervalle entre ces deux projets d’envergure, Taylor avait dressé les plans de nombreuses succursales pour la Banque de Montréal et d’autres banques canadiennes dans tout le pays. Ses premiers édifices rompaient résolument avec les modes classiques conventionnelles au profit des styles néo-Queen Anne et néoroman, plus pittoresques, et dont la couleur, la hauteur et les lignes vives des toitures ressortaient dans le paysage d’une ville. À mesure que les tendances changèrent, en particulier dans la foulée de l’Exposition universelle de Chicago, en 1893, à laquelle il se rendit, Taylor conçut une série de structures classiques et, enfin, le Merchants’ Bank Building à Winnipeg, en 1900–1902. Ce fut le premier immeuble de bureaux de la ville, doté de sept étages et de deux ascenseurs électriques.
Les idées de Taylor en matière de construction résidentielle étaient aussi à la page. Ses premières maisons à Montréal avaient été bâties en brique rouge et comprenaient des éléments de menuiserie extérieure en bois, de la tuile et du plâtre. De tradition anglaise adaptée aux conditions canadiennes, elles alliaient des éléments des styles Queen Anne et Old English, mais étaient simplifiées et équipées de systèmes de chauffage modernes. Sa maison la plus imposante, un hôtel particulier pour Drummond à Montréal (1888–1889), était une structure solide de style roman richardsonien, avec des touches de style « manoir écossais », exprimant les racines écossaises de son oncle et la grande admiration que Taylor vouait au célèbre architecte américain Henry Hobson Richardson.
Pour ses maisons de campagne, Taylor s’inspira du style qui serait connu sous le nom de Shingle (bardeaux), qui s’était développé aux États-Unis pendant les années 1870 et 1880 et qui fut associé dans sa première phase, pittoresque, à Richardson, puis dans sa seconde phase, plus formelle, à la firme McKim, Mead, and White. Deux maisons que Taylor avait dessinées dans les années 1880 dans la communauté estivale de Petit-Métis (Métis-sur-mer) illustrent la phase initiale de ce style. Au tournant du siècle, Taylor opta cependant pour un design néocolonial en vogue pour la propriété grandiose du banquier Hugh Montagu Allan*, non loin de là, à Cacouna, et pour celle de Drummond, près de Montréal, dans un lieu qui deviendrait Beaconsfield. Taylor s’essaya également à un type d’habitation plus récent, l’immeuble d’appartements, d’abord avec le chic édifice Marlborough, rue Milton, puis avec un immeuble destiné à des artisans dans un quartier ouvrier.
Taylor était réceptif à de nouveaux courants, ce qui n’est sans doute nulle part plus évident que sur le campus de la McGill University, où il conçut, dans les années 1890, la Redpath Library et les trois pavillons de science financés par William Christopher Macdonald*. Ces réalisations, en plus des projets d’agrandissement du vieux pavillon de médecine, firent de lui le plus important architecte à avoir travaillé pour la McGill University au xixe siècle. Ces quatre bâtiments différaient les uns des autres, mais, pour des raisons d’uniformité, la pierre grise fut utilisée pour chacun. Les pavillons Macdonald de génie et de chimie furent construits dans le style Renaissance ; pour celui de physique, Taylor opta plutôt pour le style roman, avec ses formes robustes et ses arcs offrant la stabilité nécessaire aux expériences délicates. Équipé de façon ultramoderne, ce nouveau pavillon et ses installations impressionnèrent beaucoup Ernest Rutherford, alors à la University of Cambridge, de sorte qu’en 1898, il accepta l’invitation de la McGill University et devint le troisième professeur Macdonald de physique.
La Redpath Library (1892–1893), également construite dans le style roman, fut la deuxième bibliothèque universitaire au Canada à occuper tout un bâtiment ; seule celle de la University of Toronto, ouverte en 1892, l’avait précédée. Toutes vocations confondues, les bibliothèques qui occupaient un édifice complet étaient en effet rares au pays. Les belles bibliothèques romanes de Richardson influencèrent certainement beaucoup Taylor, mais la bibliothèque de la McGill University avait davantage de points communs avec la célèbre église Trinity à Boston, aussi conçue par Richardson, et rendait compte de l’expérience antérieure de Taylor dans le domaine de l’architecture médiévale, adaptée avec beaucoup de souplesse. Au sein de l’édifice Redpath cohabitaient harmonieusement une vaste salle de lecture en forme de nef, dotée d’un beau plafond de style gothique et de grandes fenêtres en arc roman, et une aile moderne réservée aux rayonnages, conçue pour un éventuel agrandissement, la deuxième du genre au Canada.
Le Montreal Diocesan Theological College (1895–1896) témoigne clairement des racines néogothiques de Taylor. Comme il y fallait un dortoir, des salles de classe, une bibliothèque et une chapelle, Taylor se tourna vers l’une des œuvres les plus novatrices du siècle : l’église dessinée par William Butterfield, All Saints Margaret Street, à Londres, paradigme d’un ensemble religieux moderne et urbain adapté aux contraintes spatiales. Comme Butterfield, Taylor disposa autour d’une petite cour des bâtiments indépendants mais reliés entre eux ; un muret surmonté d’une arcade gothique et pourvu d’une porte d’entrée en ogive isolait l’ensemble de ses alentours animés. Les matériaux utilisés – de la brique rouge comprimée de Laprairie (La Prairie), au Québec, bordée de grès d’Ohio de couleur chamois sur une base de calcaire gris – rappelaient de façon subtile les couleurs de construction préférées de Butterfield et d’autres architectes du milieu de l’époque victorienne.
Un deuxième établissement anglican, le Bishop’s College, à Lennoxville (Sherbrooke), au Québec, bénéficia également de l’expertise de Taylor dans les années 1890. En 1891, un incendie ravagea l’édifice principal ainsi que la majeure partie de la chapelle. Un bâtiment scolaire à usages multiples, en forme de L, fut achevé en premier ; de style gothique simple, en brique, il s’agençait avec ce qui restait de la structure originale. La restauration de la chapelle s’échelonna quant à elle sur une bonne partie de la décennie. En 1897, une nouvelle maison de directeur d’école et un gymnase furent construits d’après les plans de Taylor.
Au fil des années, Taylor reçut diverses commandes d’organismes à vocation médicale ou caritative. Il apporta, entre autres, des modifications au Montreal General Hospital, qui comptait John Redpath et son fils Peter parmi ses bienfaiteurs ; il transforma également la maison historique Notman, conçue à l’origine par John Wells en 1845, et qui deviendrait, en 1894, à la suite de ces travaux de rénovation financés par Drummond, le St Margaret’s Home for Incurables. Parmi les autres projets de Taylor figurent une nouvelle aile pour l’Hôpital protestant des aliénés, à Verdun (Montréal) (1896), la Jubilee Nurses’ Home (1897), belle construction de type villa, destinée à héberger le personnel infirmier du Montreal General Hospital, et le Ross Memorial Hospital (1901–1902) à Lindsay, en Ontario, don de l’entrepreneur de chemins de fer montréalais James Ross*. L’accueillant extérieur néogéorgien de brique rouge dissimulait une charpente d’acier moderne fabriquée à Pittsburgh, en Pennsylvanie, et des planchers de béton.
L’une des commandes les plus inédites que réalisa Taylor fut le premier crématorium au Canada (1901–1902). Situé au cimetière Mont-Royal, à Outremont (Montréal), ce projet extrêmement controversé, qui entrait en conflit avec la croyance chrétienne en la résurrection du corps, fut défendu par sir William Christopher Macdonald, farouche partisan de l’incinération. Le vestibule au plafond de verre, qui pouvait être rempli de fleurs, était particulièrement apprécié pendant les longs hivers.
En 1892, Taylor s’était vu confier la tâche d’agrandir une partie de la galerie de l’Association des arts de Montréal, au square Phillips de la métropole. Grâce à ces importants ajouts, la galerie disposa d’un espace suffisant pour accueillir non seulement les expositions de l’association, mais aussi celles de l’Académie royale des arts du Canada, dont Taylor était devenu membre associé en 1885 et académicien en 1890 ; il présenta ses propres dessins et aquarelles dans diverses expositions et incita ses collègues canadiens à en faire autant.
En dépit de ses vastes projets et de son emploi du temps chargé, Taylor consacra d’innombrables heures à l’amélioration du statut d’architecte au Canada. L’un des fondateurs et premiers présidents de l’Association des architectes de la province de Québec, juridiquement constituée en 1890, il avait compris que les changements majeurs survenus dans les types de bâtiments, les matériaux et la technologie exigeaient que des dispositions soient prises pour assurer la formation des architectes et une meilleure réglementation de la profession. Ce fut en grande partie grâce à lui que Macdonald accepta, en 1896, de fonder une chaire d’architecture à la McGill University, laquelle préluda à la création du premier département d’architecture universitaire au Canada. Au fil des ans, quelques-uns des plus grands architectes du pays y seraient formés ; certains, comme Arthur Charles Erickson et Moshe Safdie, jouiraient même d’une renommée internationale. Taylor enseigna lui-même l’architecture durant ses années passées à Montréal : il fut instructeur de dessin à main levée et de dessin d’après modèle à la faculté des sciences appliquées de la McGill University, et chargé de cours en architecture ecclésiastique au collège presbytérien de Montréal.
En 1904, Taylor prit sa retraite et retourna vivre en Angleterre, où il commença une seconde carrière dans le service public. Son entreprise montréalaise, dirigée par deux employés plus jeunes que lui, poursuivit ses activités sous le nom de Taylor, Hogle, and Davis ; Hamilton-Gordon, l’ancien associé de Taylor, s’était pour sa part établi à son compte en Angleterre depuis un certain temps. En 1908, Taylor s’installa à Hampstead et fut élu au London County Council, l’organe dirigeant de la métropole. Il en serait membre jusqu’en 1926 ; il siégerait à un certain nombre de comités et prendrait part aux conseils de beaucoup d’autres organismes en tant que représentant du London County Council. Il fut maire de Hampstead en 1922. Parmi les nombreux établissements auxquels il s’associa, le University College se distingue : fondé en 1826, il fut le premier établissement d’enseignement supérieur en Angleterre à offrir un programme moderne, et ce, sans restrictions religieuses. Nommé par le London County Council au comité du collège en 1910, il travailla de concert avec diverses unités au fil des ans et fut le délégué du collège au conseil de la University of London de 1918 à 1935. Deux de ses legs, le Sir Andrew Taylor Prize in Architecture et le Sir Andrew Taylor Prize in Fine Art, qui seraient toujours attribués au début du xxie siècle, montrent l’intérêt particulier qu’il portait à la Bartlett School of Architecture et à la Slade School of Fine Art.
Taylor fut amplement récompensé pour ses années de service public. En 1919, il reçut la Médaille de la ville de Paris ; en 1926, il fut fait chevalier ; en 1928, il devint membre honoraire du University College et, en 1936, il obtint le Honorary Freedom of the City of London, la plus haute distinction décernée par la ville. Son œuvre accomplie au Canada fut également reconnue, en 1931, lorsqu’il devint membre honoraire de l’Institut royal d’architecture du Canada ; seul le gouverneur général lord Willingdon [Freeman-Thomas*] avait eu cet honneur avant lui.
À la mort de Taylor, un de ses collègues de longue date au London County Council écrivit qu’« il paraissait très austère, mais [avait] un cœur tendre facilement touché par la détresse d’autrui […] Son plus grand bonheur était son travail. Ascétique et consciencieux à l’excès, strict en matière de discipline, il ne se ménageait jamais. »
Sir Andrew Thomas Taylor compta parmi un certain nombre d’architectes formés en Angleterre qui profitèrent des perspectives d’avenir que leur offrait le Canada au xixe siècle et dans la première partie du xxe siècle. Même s’il bénéficia de ses liens avec certaines des familles les plus influentes du pays, au bout du compte, il dut son succès à sa formation approfondie, à l’ouverture qu’il manifesta vis-à-vis des nouveaux courants, ainsi qu’aux efforts qu’il déploya pour améliorer le statut de la profession d’architecte.
GRO, Reg. of marriages, Lambeth (Londres), 5 déc. 1891.— Univ. College London Arch. (Londres), Council records, college committee minutes ; Managing committee records, managing sub-committee minutes.— Victoria and Albert Museum, Royal Instit. of British Architects Library (Londres), Drawings and Arch. Coll., RIBA nomination papers, vol. 6 : 11 ; vol. 9 : 127.— Gazette (Montréal), 29 avril 1884, 24 juill. 1886, 26 août 1897, 7 mars 1898.— Montreal Daily Star, 18 avril 1891, 25 mars 1893, 3 nov. 1894, 4 juill. 1896, 14 mai 1931.— Times (Londres), 3 déc. 1937.— Canadian Architect and Builder (Toronto), 3 (1890) : 116 ; 6 (1893) : 104–105 ; 8 (1895) : 96–97, planches 1, 3, 4 (entre pp.98 et 99) ; 11 (1898) : 27, planches 2a, 2b (entre pp.210 et 211) ; 13 (1900) : 4, planche 6 (entre pp.8 et 9) ; 15 (1902) : 64 (voir aussi l’illustration correspondante dans l’édition destinée aux architectes), 146, 175, planche 1 (entre pp.176 et 177).— Canadian Contract Record (Toronto), 3 (1892–1893), no 5 : 2 ; 4 (1893–1894), no 27 : 2 ; 7 (1896–1897), no 5 : 2 ; 8 (1897–1898), no 8 : 2.— R. G. Hill, « Biographical dictionary of architects in Canada, 1800–1950 » : www.dictionaryofarchitectsincanada.org (consulté le 29 oct. 2013).— Oswald Howard, The Montreal Diocesan Theological College : a history from 1873 to 1963 (Montréal, 1963).— K. S. Howe et al., Herter Brothers : furniture and interiors for a gilded age (New York, 1994).— P. F. McNally, « Dignified and picturesque : Redpath Library in 1893 », Fontanus (Montréal), 6 (1993) : 69–84.— R. M. Pepall, Construction d’un musée beaux-arts : Montréal, 1912, François Ullmann, trad. (catalogue d’exposition, Musée des beaux-arts de Montréal, 1986).— Royal Instit. of British Architects, Trans. (Londres) (1882–1883).— F. Tillemont-Thomason, « The physics building at McGill University », Canadian Magazine, 7 (mai–octobre 1896) : 425–434.— S. [W.] Wagg, The architecture of Andrew Thomas Taylor : Montreal’s Square Mile and beyond (Montréal, 2013) ; « Bank of Montreal addition », dans Money matters : a critical look at bank architecture (New York et Montréal, 1990), 69–71.
Susan Wagg, « TAYLOR, sir ANDREW THOMAS », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 1 déc. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/taylor_andrew_thomas_16F.html.
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Auteur de l'article: | Susan Wagg |
Titre de l'article: | TAYLOR, sir ANDREW THOMAS |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2014 |
Année de la révision: | 2018 |
Date de consultation: | 1 décembre 2024 |