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SMITH, ROBERT HOME, avocat, homme d’affaires et fonctionnaire, né le 12 juillet 1877 à Stratford, Ontario, fils aîné de Robert Smith, avocat, et de Robina Lizars ; décédé célibataire le 4 février 1935 dans le canton d’Etobicoke (Toronto).
Le père de Robert Home Smith, qui s’était installé au Manitoba pour y occuper un poste de juge, mourut en 1885 ; par la suite, le jeune Robert Home fut élevé à Stratford par sa mère et sa tante Kathleen MacFarlane Lizars. Ensemble, les deux sœurs écrivirent plusieurs essais et ouvrages de fiction populaires. Smith fit ses études à l’école de droit Osgoode Hall, à Toronto, et, après avoir effectué son apprentissage à Stratford, fut admis au barreau en 1899. Il commença à travailler pour le cabinet d’avocats de James Joseph Foy, député de Toronto, mais sa carrière changea rapidement de direction, entre autres à cause d’une maladie, peut-être la méningite, qui le rendit partiellement sourd. En 1902, William Thomas White*, condisciple de l’Osgoode Hall devenu directeur de la National Trust Company Limited, l’engagea comme secrétaire, puis le nomma à la tête du service des successions de la société, où Smith se plongea dans le traitement des actifs, des mises sous séquestre et du droit applicable. Il développa un autre champ d’action par une participation personnelle au marché naissant des valeurs mobilières. Comme l’indiquent les actions qu’il détenait dans l’Atlas Loan Company de St Thomas, qui fit faillite en 1903 à la suite de l’effondrement de la maison de courtage d’Alfred Ernest Ames, il acquérait des intérêts dans des entreprises qu’il liquidait ou réorganisait par la suite. Lorsque la York County Loan and Savings Company fit défaut de paiement deux ans plus tard, sa vente lucrative des biens lui attira des éloges, lui ouvrit la voie à de nouveaux engagements financiers et juridiques, et confirma ses aptitudes d’entrepreneur.
Entre 1908 et 1911, grâce à la National Trust Company Limited et à la réutilisation des actifs de la York County Loan and Savings Company, Smith, seul et avec l’aide des financiers James Hamet Dunn* et William Maxwell Aitken*, réunit un bloc de terres de 3 100 acres à aménager à l’ouest de Toronto. En 1912, on avait déjà projeté de créer, dans le secteur appelé Humber Valley Surveys, des lotissements inspirés du mouvement international des banlieues-jardins. Cette entreprise serait décrite comme « l’un des plus ambitieux projets de construction résidentielle de luxe jamais conçus en Amérique du Nord ». Encouragé par la croissance de Toronto, dont celle des Lawrence Park Estates, qui faisaient l’objet de promotion auprès des riches, ainsi que par des débats sur la planification urbaine, Smith quitta la National Trust Company Limited en 1912 pour gérer le projet des Humber Valley Surveys, après avoir créé des sociétés foncières et, en 1910, une division de marketing et design, la Home Smith and Company. Pour attirer l’attention sur ce projet immobilier, la société ouvrit en 1914 l’Old Mill Tea Garden, de style anglais, près des ruines du moulin de William Gamble*, et prévoyait la mise en place d’un chemin de fer électrique utilisant en partie les lignes urbaines de Toronto.
Même si la construction d’habitations ne démarrerait pas avant la fin des années 1920, ce projet cimenta la réputation de Smith. Ce dernier travailla habilement auprès des associations de contribuables, trouva des fonds, mit à profit son statut de membre de divers clubs, et manœuvra parmi les procédures municipales avec habileté et détermination. Il fit d’ailleurs pression sur la ville, qui se montrait réticente, pour qu’elle annexe une partie des Humber Valley Surveys. La relation sans compromis qu’il entretenait avec la ville serait mise en évidence par les honoraires exorbitants qu’il réclama un jour pour des travaux liés à une expropriation. Publiquement, il se faisait le défenseur de Toronto. Il était membre de la Civic Guild of Toronto, qui préconisait l’embellissement général des infrastructures de la ville. Dans un discours prononcé en 1912 devant le Canadian Club de Toronto, dont il avait assuré la présidence en 1908–1909, il argumenta non seulement en faveur des « banlieues éloignées », mais aussi pour mettre en place des services municipaux plus solides, créer une commission des services publics et porter une plus grande attention à la planification. À une échelle plus vaste, il fut président des Associated Boards of Trade of Ontario en 1915–1916.
La réputation de Smith était fondée sur sa « manipulation de l’immobilier », ainsi que sur sa compétence en gestion et structure financière. La maîtrise du risque l’intéressait particulièrement. Engagé dans une myriade d’entreprises après avoir quitté la National Trust Company Limited, il fut parmi les premiers investisseurs et cadres dans des sociétés minières et métallurgiques du nord de l’Ontario. Dans un secteur connexe, il devint président, en 1916, de l’Algoma Central and Hudson Bay Railway Company [V. Francis Hector Clergue] qui, avec ses terminus et ses lignes de vapeurs, venait tout juste d’être libérée de sa mise sous séquestre. À ce poste, il serait aux prises, jusqu’en 1934, avec la restructuration, des investisseurs exigeants, et les vicissitudes de la production d’acier et de papier effectuée par des entreprises liées à l’Algoma Central and Hudson Bay Railway Company. Tous ces éléments se trouvaient sous l’autorité de la Lake Superior Corporation, au sein de laquelle Smith occupait les fonctions d’administrateur. En 1918, il fut nommé président de la société de chemin de fer électrique Buffalo, Lockport, and Rochester Railway, alors en difficulté, qu’il réorganisa en réduisant radicalement ses dettes obligataires et frais d’exploitation.
Beaucoup plus au sud, Smith représenta des intérêts canadiens dans la liquidation d’une entreprise de caoutchouc en faillite au Brésil. En 1914, agissant au nom de la National Trust Company Limited et représenté par le cabinet d’avocats de premier plan Blake, Lash, Anglin, and Cassels de Toronto, il s’était associé au promoteur de services publics Frederick Stark Pearson* à titre de syndic pour la Mexico North Western Railway Company, ravagée par la révolution et constituée juridiquement au Canada. En tant que président, de 1916 à 1929, Smith travailla intensément avec le personnel local pour garder à flot cette société ainsi que ses filiales forestières et ferroviaires dans un contexte de déprédations et de turbulence internationale, notamment une incursion controversée des États-Unis au Mexique en 1916. Ses voyages occasionnels dans la région frontalière du Texas donnèrent lieu à des histoires hautes en couleur au sujet de ses démêlés avec des revoltosos, même si lui-même rendait rarement publiques ses préoccupations et tactiques commerciales, d’autant plus que le Canada était engagé dans la guerre en Europe.
Smith n’était pas homme à briguer une fonction publique et préférait le rôle d’instigateur dans les affaires municipales, quoique jamais celui de réformateur. Il occupa de nombreux postes, dont plusieurs reflétaient ses intérêts et associations d’affaires à Toronto. De 1911 à 1923, il siégea à la Toronto Harbour Commissioners, dont les aménagements novateurs de parcs et de routes le long de la rive ouest du lac concordaient avec son projet des Humber Valley Surveys. Peu de gens pouvaient égaler son énergie dans la vente d’obligations de la commission sur le marché new-yorkais et, en septembre 1921, il succéda à Lionel Herbert Clarke* à la présidence de l’organisme. Deux ans auparavant, pour stimuler la croissance de la ville, il avait fait valoir le projet irréaliste de construction d’un important boulevard périphérique à Toronto. En 1922, il fut élu président du Toronto Publicity Bureau, nouvellement créé.
Organisateur et intermédiaire conservateur fédéral et provincial au moins depuis 1911, Smith fut nommé par le gouvernement du premier ministre Robert Laird Borden à plusieurs conseils d’arbitrage de conflits de travail et siégea, de 1913 à 1915, à la commission de planification fédérale pour Ottawa et Hull. En 1913, le premier ministre de l’Ontario, sir James Pliny Whitney*, le nomma au conseil d’administration de la University of Toronto. Pendant et après la Première Guerre mondiale, il aida sir Joseph Wesley Flavelle, président de la Commission impériale des munitions, dans la négociation des contrats et les liquidations, et, en 1918–1919, il fut administrateur en matière d’économie de carburant pour l’Ontario. Ses affiliations politiques furent aussi à l’origine de sa nomination au conseil fédéral des grandes routes en 1919 et, à l’échelle provinciale, au poste de président de la Queen Victoria Niagara Falls Park Commission dix ans plus tard.
Dans les négociations commerciales et municipales, le style accommodant de Smith constituait un net avantage ; toutefois, ce style pouvait masquer la promotion forcée de ses propres intérêts et sa propension à émettre des commentaires « francs et directs ». Il exerçait des pressions soutenues pour le projet des Humber Valley Surveys, concluait sans détour des transactions immobilières et représentait avec sang-froid des clients devant le conseil municipal dans des dossiers de location à bail. Dans le dur milieu de l’exploitation aurifère du Nord, un collaborateur anonyme du Toronto Daily Star décrivit Smith, en 1924, comme le chef d’une faction « déterminée à écraser » le président de la Dome Mines Limited, Jules Semon Bache. Trois ans auparavant, il avait facilité l’acquisition, par la Commission d’énergie hydroélectrique de l’Ontario, des intérêts de sir William Mackenzie* dans les secteurs de l’électricité et des chemins de fer. Or, en 1922, quand le président de la commission, sir Adam Beck*, tenta d’obtenir l’accès d’un chemin de fer électrique aux berges ouest de Toronto pour l’intégrer à un vaste réseau de voies interurbaines, l’opposition tenace de Smith mena, à la suite d’un référendum tenu dans l’ensemble de la ville, à l’échec du projet. Cette campagne se caractérisa par des dénigrements dans les deux camps et fut même le théâtre d’enquêtes privées. La conduite de Smith serait attaquée violemment par le journaliste William Rothwell Plewman ; la presse perçut des pressions vengeresses derrière sa démission de la Toronto Harbour Commissioners, en 1923. Sa victoire sur Beck coïncida néanmoins avec le fait qu’il réussit, l’année suivante, à réunir le chemin de fer canadien du Pacifique et le Canadian National Railway pour s’attaquer au problème complexe d’un viaduc au centre-ville. « Il préférait la réalité du pouvoir à la démonstration solennelle de l’autorité », indiquerait le Globe. Smith bénéficia de l’aide de ses amis ; en partie grâce au traitement respectueux de l’avocat-conseil sir William Thomas White, il fut innocenté, en 1926, après une enquête sur sa vente d’obligations de la Toronto Harbour Commissioners.
Jamais la vision monumentale, quoique intéressée, de Smith pour Toronto ne fut davantage mise en évidence que dans la campagne relative à la construction d’un majestueux boulevard destiné à résoudre des problèmes de circulation et à commémorer la guerre ; ce plan prévoyait le prolongement de l’avenue University au sud de la rue Queen, dernier des grands projets de la municipalité selon le mouvement City Beautiful. Il s’agissait de l’élément central du rapport de 1929 préparé par la commission consultative sur l’aménagement urbain, à laquelle Smith siégeait. La transformation spectaculaire proposée dans ce rapport faisait miroiter des promesses qui ne seraient jamais remplies. « Toronto est une ville d’importance », soutenaient les commissaires. Leur imagerie pourrait avoir été inspirée par un prospectus de Smith : « Toronto est l’héritier de ce grand empire du Nord dont on commence seulement à comprendre la valeur des minéraux et autres richesses. » À la même époque, Smith dirigeait l’Amulet Realty Company Limited, consortium qu’il avait créé en 1926 avec Flavelle et trois autres personnes pour acheter et vendre les propriétés qui empêchaient la réalisation du projet. Encore écorché par les « insultes » parues pendant de nombreuses années dans la presse, Smith, qui se montrait capricieux, résista à l’acquisition des propriétés par la ville. La vente dut être conclue par arbitrage, ce qui suscita d’autres critiques et plongea Flavelle dans l’embarras. L’Amulet Realty Company Limited fut liquidée en 1932.
Il est difficile d’établir un lien entre les intérêts apparemment disparates de Smith, mais son acuité juridique et ses compétences en matière d’évaluation et de planification d’entreprises (en particulier en cas de difficultés) représentent des éléments communs. En 1922, il avait constitué en société la Home Smith Limited, entreprise de gestion financière et commerciale à vocation générale. Trois ans plus tard, de nouveau en consortium, il construisit le Northern Ontario Building de la rue Bay ; parmi les locataires de cet immeuble se trouvait le groupe Algoma, qui y avait installé ses bureaux de Toronto. Certaines des autres activités de Smith menées à cet endroit seraient transférées dans le bâtiment administratif ajouté, en 1928, à l’Old Mill, qui était devenu le centre d’une vie sociale dynamique. En 1933, pendant la grande dépression, Smith fut nommé président de l’Anglo-Huronian Limited, qui réunissait les activités et actifs de trois sociétés minières du Nord.
Homme de grande taille, Smith était, selon l’un de ses contemporains, un « véritable Adonis » ; délicieusement amusant et charismatique, il se montrait également, quel qu’ait été son handicap auditif, extrêmement sociable. Il était un conférencier « prisé » dans les banquets d’ingénieurs. Anglophile enthousiaste et grand admirateur de Dickens, il exposait fièrement sa collection d’œuvres d’art et d’antiquités britanniques à l’Old Mill et dans ses maisons de Toronto et, à partir de 1929, d’Etobicoke. En 1926, il avait acheté une ferme au nord-ouest de la ville, dans le canton de Caledon, où il importait et élevait des moutons et des bovins highlands. Il était aussi propriétaire d’une briqueterie au même endroit. Il demeura proche de sa tante, qui lui léguerait d’ailleurs ses biens, et partageait avec elle le même intérêt pour l’histoire de la vallée de la rivière Humber. Son penchant pour l’alcool et son style de vie fastueux étaient bien connus, mais au début des années 1930, il joua un rôle de premier plan au sein de la Moderation League of Ontario, qui voulait voir apporter des changements aux lois provinciales restrictives sur l’alcool [V. Mitchell Frederick Hepburn*]. Smith aimait également le plein air : il pratiquait la chasse et la pêche dans le Nord, prenait part à des régates sur la rivière Humber et jouait au golf, souvent au Royal York Golf Club, qu’il avait aidé à établir avec la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique, en 1928, sur des terres d’Etobicoke qu’il avait données. Ce parcours ouvrit deux ans plus tard, au mois de mai ; le champion de golf George Seymour Lyon y frappa la première balle et Smith fut l’hôte de la réception. Malgré son caractère extraverti, Smith pouvait se montrer extrêmement réservé, tout en laissant derrière lui beaucoup d’anecdotes qui donnaient envie d’en savoir davantage. Il effectuait avec discrétion ses voyages de loisirs et d’affaires en Grande-Bretagne, au Mexique, à Washington, à New York, dans les Caraïbes, et dans des centres de villégiature au Tennessee et dans les Carolines. Les amitiés qu’il entretenait, surtout parmi les gens du domaine de la construction et du génie, n’étaient jamais ostentatoires. Il expliquait invariablement son célibat avec une bonne humeur condescendante.
Préoccupé par sa santé, Robert Home Smith avait connu des périodes de maladie depuis au moins 1918. Le « tsar souriant de la Humber » mourut dans sa maison, en février 1935, d’une cirrhose et d’une affection rénale ; on annonça publiquement que sa mort avait été causée par une maladie cardiaque. Ses cendres furent enterrées auprès de sa mère et de sa tante au cimetière Park Lawn, à Etobicoke. Même si les arrangements furent pris en charge par son frère, Bruce Longworth Smith, cadre dans une société de fiducie, il laissa tous ses biens à un associé, Godfrey Stanley Pettit, célibataire endurci. De nombreuses entreprises de Smith souffrirent durant la dépression. Les notices nécrologiques louangèrent son génie en matière de finance et sa vision de la vie publique, mais passèrent sous silence ses intérêts à titre de promoteur. Selon les conclusions de son biographe, grâce à ses lotissements et à ses immeubles, cet avocat devenu entrepreneur « a laissé une marque durable sur le paysage de Toronto ». Dans le domaine des affaires, son empreinte fut tout aussi considérable.
Nous remercions Keith B. Spark de Mississauga, Ontario, pour avoir si généreusement partagé avec nous sa bibliothèque, ses albums et ses connaissances sur Robert Home Smith.
Le discours que Smith a prononcé au Canadian Club de Toronto le 27 nov. 1912, intitulé « Our present duty towards Toronto’s future », figure dans la publication de l’organisme : Addresses, 1912–1913 : 81–88. Smith a aussi écrit Moderation League of Ontario ([Toronto, 1932]).
AO, RG 22-305, no 76668 ; RG 80-8-0-1625, no 38590.— QUA, Joseph Flavelle fonds, corr. ser., box 82, file 5 (Amulet Realty Company Limited).— Sault Ste Marie Public Library Arch. (Ontario), 1999.8.1.— Stratford-Perth Arch. (Stratford, Ontario), Lizars family file, clippings (4Y2.3), 23–24.— TRL, Special Coll., S 212 (Home Smith and Company papers).— Univ. of Texas at Austin Library, Benson Latin American Coll., Mexico Northwestern Railway Company, Records of the Ferrocarril Noroeste de México, 1910–1919.— Univ. of Texas at El Paso Library, C. L. Sonnichsen Special Coll. Dept., ms 167 (John Hamilton McNeely papers), Corr. concerning the Mexico Northwestern Railroad.— Globe, 5–6 févr. 1935.— Toronto Daily Star, 1903–1936.— Annuaire, Toronto, 1900–1935.— Christopher Armstrong et H. V. Nelles, Southern exposure : Canadian promoters in Latin America and the Caribbean, 1896–1930 (Toronto, 1988).— E. B. Barber et R. A. Pook, « The Algoma Central and Hudson Bay Railway Company » (texte dactylographié, s.d. ; exemplaire aux Sault Ste Marie Public Library Arch. (1999.8.1, box 6, file 14).— Dale Brawn, The Court of Queen’s Bench of Manitoba, 1870–1950 : a biographical history (Toronto, 2006).— Canadian annual rev., 1906–1931.— B. H. Crawford, The Kingsway (Toronto, 2005).— L. A. Glassford, Reaction and reform : the politics of the Conservative Party under R. B. Bennett, 1927–1938 (Toronto, 1992).— J. H. Gunn, « The lawyer as entrepreneur : Robert Home Smith in early-twentieth-century Toronto », dans Essays in the history of Canadian law, D. H. Flaherty et al., édit. (10 vol. parus, [Toronto], 1981– ), 4 (Beyond the law : lawyers and business in Canada, 1830 to 1930, Carol Wilton, édit, 1990), 235–262.— J. F. Hulse, Railroads & revolutions : the story of Roy Hoard (El Paso, 1986).— Elizabeth Ingolfsrud et Alec Keefer, Kingsway Park, triumph in design : an architectural study of a planned community, Etobicoke, 1924–1947 (Toronto, 1994).— Peter Oliver, G. Howard Ferguson : Ontario Tory (Toronto et Buffalo, N.Y., 1977).— Ontario, Legislature, Sessional papers, 1917–1936 (rapports annuels du ministère des Mines, 1917–1935).— W. R. Plewman, Adam Beck and the Ontario Hydro (Toronto, 1947).— Richard Rohmer, E. P. Taylor : the biography of Edward Plunkett Taylor (Toronto, 1978).— Paul Rutherford, « Tomorrow’s metropolis : the urban reform movement in Canada, 1880–1920 », dans The Canadian city : essays in urban history, G. A. Stelter et A. F. J. Artibise, édit. (Toronto, 1977), 368–392.— Standard dict. of Canadian biog. (Roberts et Tunnell), vol. 2.— Swansea Hist. Soc., Humber Valley surveys (booklet no 8, Toronto, 1999).— Toronto, Advisory City Planning Commission, Report […] (Toronto, 1929).— Toronto City Council, Minutes of proc. (Toronto), 1914–1931 (exemplaires aux City of Toronto Arch., Research Hall library).— Mark Wasserman, Persistent oligarchs : elites and politics in Chihuahua, Mexico, 1910–1940 (Durham, N.C., 1993).
David Roberts et Josiah C. Roberts, « SMITH, ROBERT HOME », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 1 déc. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/smith_robert_home_16F.html.
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Auteur de l'article: | David Roberts et Josiah C. Roberts |
Titre de l'article: | SMITH, ROBERT HOME |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2017 |
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Date de consultation: | 1 décembre 2024 |