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MACLEOD, JAMES FARQUHARSON (désigné aussi peut-être sous les prénoms de James Alexander Farquharson), officier de milice, avocat, fonctionnaire, magistrat stipendiaire, juge et homme politique, né vers 1836 à Drynoch, île de Skye, Écosse, fils de Martin Donald Macleod et de Jane Fry ; le 28 juillet 1876, il épousa Mary Isabella Drever, et ils eurent quatre filles et un fils ; décédé le 5 septembre 1894 à Calgary.
James Farquharson Macleod quitta l’Écosse avec sa famille à l’été de 1845. Son père acheta une ferme à Richmond Hill, au nord de Toronto, près des terres de John Beverley Robinson* et de feu William Warren Baldwin*. La même année, il envoya James Farquharson, qui jusque-là avait étudié à la maison, à l’Upper Canada College. Des difficultés financières obligèrent le jeune homme à quitter cet établissement en 1848, mais il y retourna trois ans plus tard et réussit avec distinction les examens finals ainsi que l’examen d’entrée du Queen’s College, à Kingston. Durant ces années, la vie à la ferme exerça sur lui une influence au moins aussi puissante que ses études. Ses excursions de chasse avec son père et ses frères lui donnèrent le goût du grand air, et l’amitié des Macleod pour une famille d’Indiens sauteux des environs lui instilla pour toujours de l’admiration et du respect pour les peuples autochtones du Canada.
Le père de Macleod, dont sept des frères étaient morts de maladies tropicales en servant dans les armées britannique et indienne, et qui avait lui-même été gravement malade pendant son service militaire à Demerara (Guyana), avait quitté l’Écosse pour épargner un sort semblable à ses fils. Dans le grand projet qu’il caressait pour sa famille, Martin Donald Macleod entrevoyait une carrière d’avocat pour son fils James, et c’est pourquoi il l’envoya faire une licence ès arts au Queen’s College en 1851. Au bout d’un an, le jeune Macleod lui annonça qu’il avait plutôt l’intention de devenir ingénieur civil. Seul le plaidoyer passionné de son père le fit rester en arts, domaine qui l’ennuyait, et en 1854 il obtint un diplôme spécialisé en humanités et en philosophie. Qu’il ait échoué deux fois cette année-là à l’examen d’entrée d’Osgoode Hall, l’école de droit, et ne l’ait réussi qu’en novembre 1856, montre que la profession d’avocat ne l’attirait guère. Il entra ensuite comme stagiaire au cabinet d’Alexander Campbell à Kingston, mais déjà il avait trouvé une activité qui l’intéressait bien plus que le droit. Au cours de l’été de 1856, il s’était enrôlé dans la Volunteer Militia Field Battery of Kingston à titre de lieutenant, et son enthousiasme était tel que son beau-frère William Augustus Baldwin (l’un des fils de William Warren) convainquit le gouverneur général, sir Edmund Walker Head*, de lui offrir une commission dans l’armée britannique. Naturellement, son père, horrifié, insista pour qu’il décline cette offre.
James réussit les examens du barreau à Osgoode Hall en 1860. Pendant la décennie suivante, il pratiqua le droit à Bowmanville tout en continuant de s’intéresser à la milice. Muté en 1862 à la Bowmanville Volunteer Militia Rifle Company (qui devint une partie du 45th (West Durham) Battalion of Infantry quatre ans plus tard), il fut promu capitaine en 1863 et major en 1866. En service actif pendant l’affaire du Trent en 1861 [V. sir Charles Hastings Doyle*] et les raids féniens de 1866 [V. Alfred Booker*], il n’eut alors plus aucun doute sur son attirance pour la vie militaire. Par l’entremise de son ancien employeur Campbell et de John Alexander Macdonald, respectivement ministre et premier ministre dans le gouvernement du dominion, Macleod obtint en 1870 une commission de major de brigade au sein de l’expédition qui, sous le commandement du colonel Garnet Joseph Wolseley*, allait réprimer le soulèvement dans la colonie de la Rivière-Rouge (Manitoba) [V. Louis Riel*]. Le difficile voyage vers l’Ouest, dans une nature sauvage, était taillé sur mesure pour lui ; le leadership qu’il manifesta durant l’expédition lui valut les éloges de son commandant ainsi que le degré de compagnon dans l’ordre de Saint-Michel et Saint-Georges. Jusqu’au printemps de 1871, il demeura avec la force de milice canadienne à Lower Fort Garry, où il fit la connaissance de Mary Isabella Drever, fille d’un trafiquant de l’endroit. Ils durent renoncer à leur projet de mariage quand Macleod, faute d’avoir été nommé commandant de la garnison, repartit pour l’Ontario.
Macleod fut promu lieutenant-colonel du 45th Battalion of Infantry en décembre 1871, mais la pratique du droit et la vie militaire à temps partiel ne l’intéressaient plus guère. À la fin de 1872, il s’embarqua pour l’Angleterre et l’Écosse, où il avait l’intention de s’installer s’il trouvait un emploi convenable. Au printemps de 1873, le premier ministre Macdonald lui offrit une commission de surintendant et inspecteur dans la Police à cheval du Nord-Ouest nouvellement formée [V. Patrick Robertson-Ross*]. Macleod accepta et rentra sans tarder au Canada. En octobre, il quitta Collingwood, en Ontario, et partit pour Upper Fort Garry (Winnipeg) en compagnie de plusieurs autres officiers et de 150 hommes.
Durant l’hiver de 1873–1874, Macleod et ses collègues officiers entreprirent l’entraînement et l’organisation de la Police à cheval du Nord-Ouest au fort Stone, à Lower Fort Garry, sous le commandement du commissaire George Arthur French*. En décembre, Macleod dirigea la première patrouille de la police, qui fit enquête à la suite d’une plainte selon laquelle des bûcherons du lac Winnipeg faisaient la traite de l’alcool avec les Indiens. Le 1er juin 1874, il devint le premier commissaire adjoint de la Police à cheval.
Au printemps de 1874, la police reçut l’ordre de se rendre plus à l’ouest, près du confluent des rivières Bow et Belly (rivière Saskatchewan-du-Sud, Alberta), car il y avait là des trafiquants américains de whisky. Le 8 juillet, sous le commandement de French, Macleod partit de Dufferin, au Manitoba, avec une troupe de 318 hommes. Le voyage se révéla beaucoup plus long et pénible que prévu. À la fin du mois, on dut renvoyer une partie de la troupe au fort Edmonton (Edmonton) avec les chevaux les plus faibles. Les autres continuèrent d’avancer et arrivèrent finalement à destination le 11 septembre, en haillons et affamés. Macleod, à la tête de la moitié des hommes qui restaient, reçut l’ordre d’établir un poste près de la frontière afin de bloquer le trafic de whisky. French, de son côté, retourna au Manitoba. Dès la fin d’octobre, le fort Macleod (Alberta) s’élevait sur un emplacement choisi par l’éclaireur sang-mêlé Jerry Potts, sur la rivière Oldman, et Macleod s’employait à anéantir le trafic de whisky et à nouer des relations avec les diverses tribus d’Indiens pieds-noirs de la région. Le 1er décembre, il tint la première d’une série de rencontres avec les chefs autochtones. Le grand chef pied-noir, Pied de Corbeau [Isapo-muxika*], et le grand chef des Gens-du-Sang, Red Crow [Mékaisto], lui firent confiance dès le début et acceptèrent de collaborer à l’élimination du trafic. Macleod fut pour beaucoup dans la création du climat de patience, de raison et de diplomatie qui caractérisa les rapports de la Police à cheval du Nord-Ouest et de la population autochtone jusque dans les années 1890.
Pendant l’hiver de 1874–1875, les pires problèmes auxquels Macleod eut à faire face découlaient de l’isolement et de l’ennui. La pénurie de chevaux limitait les activités, les hommes n’avaient pas reçu de solde depuis leur départ du Manitoba et leurs uniformes étaient en loques. Il y eut des murmures de mutinerie et 18 hommes désertèrent. En mars, avec un petit groupe, Macleod affronta un blizzard tardif pour aller chercher la solde de ses hommes à Helena (Montana) et prendre les premières instructions venues d’Ottawa depuis le départ de French. Pendant qu’il était à Helena, il entama la procédure d’extradition contre plusieurs des Américains accusés d’avoir participé en 1873 au massacre d’une bande d’Indiens assiniboines dans les monts Cypress, près du ruisseau Battle (Saskatchewan) [V. Hunkajuka*].
En mai 1875, Macleod confia à l’inspecteur James Morrow Walsh* la mission d’aller, avec une troupe, établir un poste dans les monts Cypress, le fort Walsh (Saskatchewan). Cet été-là, l’inspecteur Éphrem-A. Brisebois* se rendit à la rivière Bow, pour construire un deuxième avant-poste important. Il s’agissait du fort Brisebois, que Macleod rebaptisa par la suite fort Calgary (Calgary) en l’honneur d’un des lieux qu’il préférait dans l’île de Mull en Écosse. Cet été-là, Macleod s’occupa surtout de l’extradition des accusés du massacre des monts Cypress. Avec l’inspecteur Acheson Gosford Irvine, il se rendit au fort Benton (Montana) en juin et veilla à l’arrestation de sept hommes soupçonnés d’avoir participé à la tuerie. Les efforts que déploya la Police à cheval du Nord-Ouest pour traduire ces hommes en justice soulevèrent une grande hostilité dans la population, et l’issue de l’audience d’extradition tenue à Helena en juillet était sans doute prévisible. On libéra les prisonniers à la fin du mois et, sous une accusation d’arrestation illégale, on incarcéra Macleod pour quelques jours.
La bonne entente avait d’abord régné entre Macleod et le commissaire French mais, à la fin de 1875, leurs relations s’étaient aigries. French était resté confiné à la caserne de la rivière Swan (Livingstone, Saskatchewan), quartier général de la Police à cheval du Nord-Ouest, à des centaines de milles du théâtre de la plupart des opérations, tandis que Macleod, à la tête de la plus grande partie de la troupe pendant plus d’un an, traitait directement avec Ottawa de toutes les questions importantes. Comme French devenait de plus en plus critique à son endroit, Macleod fut fort heureux d’être nommé, le 1er janvier 1876, au poste de magistrat stipendiaire des Territoires du Nord-Ouest, et il quitta la police. Outre l’intérêt qu’elle présentait sur le plan professionnel, cette nomination permit son retour à Winnipeg et la réalisation de son projet de mariage, sans cesse reporté, avec Mary Isabella Drever.
Cependant, Macleod ne quitta pas la police pour longtemps. French, en désaccord avec le gouvernement libéral d’Alexander Mackenzie sur la politique de cet organisme, démissionna en juin 1876. On offrit la succession à Macleod, qui l’accepta sans hésiter et assuma les fonctions de commissaire le 22 juillet 1876. En une époque de favoritisme sans contrainte, il était remarquable qu’un gouvernement libéral nomme quelqu’un dont les attaches conservatrices étaient bien connues.
Dès qu’il fut commissaire, Macleod se lança dans un épuisant tourbillon d’activités. Après son mariage, célébré à Winnipeg le 28 juillet, il se rendit au fort Carlton (Saskatchewan) pour la signature du traité n° 6 avec les Cris des plaines [V. Pītikwahanapiwīyin*]. Il alla ensuite à la caserne de la rivière Swan pour superviser le transfert du quartier général de la police au fort Macleod. On renforça les forts Macleod et Walsh en prévision des désordres qui risquaient de venir du sud de la frontière. Le 25 juin, l’armée des États-Unis avait subi une cuisante défaite face au chef sioux Sitting Bull [Ta-tanka I-yotank*]. Macleod savait fort bien que les Américains poursuivraient sans relâche le vainqueur et que les Indiens chercheraient probablement refuge au Canada. En décembre, ils commencèrent d’arriver dans la région des monts Cypress.
Macleod était toujours magistrat stipendiaire et, en vertu de l’Acte des Territoires du Nord-Ouest, adopté en 1875, il siégeait au Conseil des Territoires du Nord-Ouest avec les deux autres magistrats, Hugh Richardson* et Matthew Ryan. Au début de 1877, il assista pour la première fois à une assemblée du conseil, à la caserne de la rivière Swan. Il se rendit ensuite à Ottawa à des fins de consultation sur le problème des Sioux, puis retourna au fort Macleod.
En septembre 1877, quelque 5 000 Pieds-Noirs, Gens-du-Sang, Peigans, Sarcis et Stonies se réunirent à Blackfoot Crossing (Alberta) pour signer le traité n° 7. Pied de Corbeau, Red Crow et plusieurs autres chefs firent bien valoir que si leur peuple acceptait de signer ce traité c’était surtout à cause de Macleod et de la Police à cheval du Nord-Ouest. Macleod se rendit ensuite au fort Walsh pour les rencontres entre les autorités américaines et Sitting Bull, dont le but était de convaincre les Sioux de revenir aux États-Unis. Il persuada le chef sioux de participer aux négociations, mais elles n’aboutirent pas. Il exposa alors la position du gouvernement canadien à Sitting Bull : les Sioux pourraient demeurer en territoire canadien tant qu’ils respecteraient la loi, mais il n’y aurait ni traités, ni réserves, ni rations gouvernementales pour eux.
Dès 1878, Macleod s’inquiétait sérieusement de la disparition rapide du bison dans les Prairies. La présence des Sioux intensifiait la concurrence pour une source de nourriture qui se faisait de plus en plus rare et menaçait de déclencher une guerre entre les tribus des Prairies. Lorsque le Conseil des Territoires du Nord-Ouest tint son assemblée de 1878, Macleod présenta un projet de loi sur la chasse qui visait à ralentir le massacre du bison. Malgré son but honorable, cette loi eut peu d’effet : dès la fin de l’année, le bison était dangereusement rare. Inquiet des répercussions que la disette pourrait avoir sur les Indiens du Canada, et pressé par Ottawa de résoudre le problème, Macleod voyait avec mécontentement les efforts apparemment dilatoires que déployait l’inspecteur Walsh pour convaincre les Sioux de quitter les Territoires du Nord-Ouest.
La crise que Macleod craignait survint au début de 1879 : toutes les tribus des Prairies étaient au bord de la famine. Au printemps, il fit une longue visite à Ottawa pour discuter de la situation avec le gouvernement Macdonald, récemment réélu. En juillet, il retourna dans l’Ouest avec 80 nouvelles recrues et des vivres pour les Indiens. Edgar Dewdney*, nouveau commissaire aux Affaires indiennes, accompagnait le détachement. Avec Macleod, il passa une grande partie de la dernière moitié de 1879 à visiter les bureaux des Affaires indiennes dans l’ensemble des Territoires du Nord-Ouest.
Au printemps de 1880, la Police à cheval fut accusée de négligence administrative au Parlement. Ces accusations n’étaient pas tout à fait dénuées de fondement : Macleod détestait la comptabilité et n’avait aucun talent pour la gestion financière. On peut d’ailleurs se demander si quelqu’un d’autre, aussi doué fût-il, aurait pu s’en tirer beaucoup mieux dans le contexte. Outre son voyage à Ottawa, Macleod, dont la santé commençait à décliner sous l’effet de la tension, parcourut plus de 2 300 milles à cheval en 1879 pour faire son travail de policier et s’acquitter de ses responsabilités judiciaires. De plus, le fossé s’élargissait entre la manière dont il concevait les obligations que l’État avait contractées envers les autochtones dans les traités et la façon de voir du gouvernement Macdonald. Dans ses lettres à sa femme, il exprimait son insatisfaction devant les maigres efforts déployés par le gouvernement pour fournir des vivres aux Indiens démunis. « Ils [le gouvernement] semblent encore croire, disait-il, que ces pauvres créatures peuvent assurer leur subsistance en chassant, comme si tout le monde ne savait pas qu’il n’y a plus rien à chasser. » La rupture semblait quasi inévitable.
À la fin de septembre 1880, Macleod démissionna de son poste de commissaire de la Police à cheval du Nord-Ouest pour consacrer tout son temps à ses fonctions judiciaires. Installé avec sa famille dans un petit ranch au ruisseau Pincher (Alberta), il tenta, sans grand succès, d’élever des chevaux pour les vendre à la police. Deux autres (puis plus tard trois autres) magistrats stipendiaires œuvraient avec lui dans les Territoires du Nord-Ouest, et Macleod avait surtout la charge du district judiciaire de la rivière Bow. La tenue d’audiences semestrielles dans les grandes localités obligeait les magistrats à voyager constamment.
Aucun procès célèbre ne marqua la carrière judiciaire de Macleod. Cependant, sans être un brillant avocat, il s’acquittait apparemment de ses fonctions avec compétence et honnêteté. Ses jugements n’étaient pas révoqués en appel plus souvent que ceux de ses collègues, et il ne commit pas les irrégularités de conduite et les abus d’autorité qui menèrent ses contemporains Matthew Ryan et Jeremiah Travis* à la destitution, respectivement en 1881 et en 1884. En septembre 1885, on envoya Macleod en Colombie-Britannique pour arbitrer un conflit entre les deux paliers de gouvernement : tous deux prétendaient avoir le droit de faire régner l’ordre dans les campements de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique. Grâce à ses immenses talents de diplomate, il convainquit les magistrats fédéraux et provinciaux d’unir leurs efforts pour faire respecter la loi.
Le 18 février 1887, Macleod entra à la première Cour suprême des Territoires du Nord-Ouest en tant que juge puîné du district judiciaire du Sud de l’Alberta. Il siégea au Conseil des Territoires du Nord-Ouest jusqu’en 1888, année où une Assemblée législative fut constituée. Il devint alors l’un des trois conseillers juridiques qui appartenaient à cette Assemblée sans y avoir le droit de vote. Dans les années 1890, comme Calgary prenait de l’expansion, les citoyens firent pression pour que le siège judiciaire de Macleod ne soit plus le fort qui portait son nom, mais bien leur ville. En mai 1894, on le nomma juge des districts judiciaires du Nord et du Sud, avec résidence à Calgary où il s’installa avec sa famille. Déjà gravement atteint du mal de Bright, il n’exerça ces fonctions que peu de temps ; il mourut le 5 septembre à la suite d’une rapide détérioration de son état.
James Farquharson Macleod exerça une influence déterminante sur la mise en valeur initiale de l’Ouest canadien. Plus que quiconque, il donna le ton aux relations que la Police à cheval des Territoires du Nord-Ouest noua avec les Indiens de cette région et à la politique que le gouvernement fédéral adopta envers eux. Il considérait la région comme un lieu où nouveaux arrivants et autochtones pouvaient cohabiter en paix et résoudre leurs différends par la discussion.
AN, RG 18, A1, 4, no 150 ; 9, no 30 ; 10, no 118 ; B3, Macleod à Carswell Co., 5 août 1878 ; G, 3436, nos 0–4.— MTRL, M. D. Macleod letter-books.— S. B. Steele, Forty years in Canada : reminiscences of the great North-West [...], M. G. Niblett, édit. (Toronto et Londres, 1918 ; réimpr., 1972).— Roll of U.C. College (A. H. Young).— H. A. Dempsey, Crowfoot, chief of the Blackfeet (Edmonton, 1972).— Sherrill [Maxwell] MacLaren, Braehead : three founding families in nineteenth century Canada (Toronto, 1986).— Patricia Roy, « Law and order in British Columbia in the 1880s : images and realities » (communication faite devant la Western Canadian Studies Conference, 1985).— L. H. Thomas, The struggle for responsible government in the North-West Territories, 1870–97 (Toronto, 1956).— C. F. Turner, Across the medicine line (Toronto, 1973).— Turner, NWMP.— W. P. Ward, « The administration of justice in the North-West Territories, 1870–1887 » (thèse de
Roderick Charles Macleod, « MACLEOD, JAMES FARQUHARSON (James Alexander Farquharson) », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 12, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 1 déc. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/macleod_james_farquharson_12F.html.
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Auteur de l'article: | Roderick Charles Macleod |
Titre de l'article: | MACLEOD, JAMES FARQUHARSON (James Alexander Farquharson) |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 12 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1990 |
Année de la révision: | 1990 |
Date de consultation: | 1 décembre 2024 |