HOFFMANN, MATTHIAS FRANCIS, médecin, chirurgien, officier de marine et de milice, et fonctionnaire, né vers 1780 ; décédé le 3 avril 1851 à Halifax.
On ne sait rien des antécédents de Matthias Francis Hoffmann, sinon qu’il était probablement né à Trieste (Italie) et qu’il était apparenté à la noblesse locale. Vers 1797, il s’engagea dans la marine royale et, en 1804, il fut affecté comme médecin auxiliaire à un camp de prisonniers. de guerre en Jamaïque. Après avoir servi sur plusieurs navires, il fut nommé médecin à bord de la frégate Endymion, stationnée en Méditerranée jusqu’à son désarmement en février 1809. Quelques mois plus tard, Hoffmann s’embarqua comme chirurgien sur l’Inflexible, navire armé de 64 canons, juste avant qu’il n’appareille pour Halifax. Une fois à destination, il fut muté à bord du sloop Driver, navire convoyeur et patrouilleur côtier qui fut désarmé en Angleterre en 1811.
La nomination de Hoffmann sur ce sloop, qui suivit de très près plusieurs promotions, annonça la fin de sa carrière maritime. Hoffmann décida après 1811 de ne plus servir en mer. À sa propre demande, il fut nommé chirurgien au dépôt de prisonniers de guerre de l’île Melville, près de Halifax. S’il voulait revenir à Halifax, c’était, en partie du moins, parce qu’il s’était fiancé à Charlotte Mansfield, fille d’un loyaliste de la ville. Ils se marièrent le 21 septembre 1811 devant Robert Stanser* et eurent par la suite six filles et deux fils. La fermeture du dépôt de l’île Melville en 1815 mit fin à la carrière de Hoffmann dans la marine. Plus tard, il allait être chirurgien de la 2e compagnie de la Halifax Volunteer Artillery et, en 1843, il allait être nommé chirurgien général de la milice de la Nouvelle-Écosse, titre honorifique qu’il conserverait jusqu’à sa mort.
Après avoir quitté la marine, Hoffmann ouvrit un cabinet privé à Halifax. En juillet 1816, il avait assez bien réussi pour pouvoir s’installer dans de plus grands locaux, rue Granville, près de l’église presbytérienne St Matthew. En 1831, il acquit de la notoriété en dirigeant un lazaret dans l’île Melville avec les docteurs Samuel Head* et John Stirling. Cet établissement, destiné à contrer une épidémie de petite vérole à Halifax, avait été ouvert par les magistrats locaux qui, pour la première fois, se reconnaissaient une responsabilité directe dans la prestation des services médicaux et voulaient éviter la répétition d’une épidémie semblable à celle de 1827, qui avait affecté l’économie de Halifax et causé environ 800 morts. Mais les pauvres ne partagèrent pas leur enthousiasme pour l’hôpital temporaire : les 3 médecins ne traitèrent que 16 patients et, faute d’avoir attiré un plus grand nombre de malades de la ville, ils reçurent de l’Assemblée à peine le tiers des honoraires qu’ils avaient demandés. Comme Hoffmann n’avait pas les moyens de se passer de rémunération, il hésita à offrir ses services quand, en 1832, on envisagea de nouveau d’ouvrir des hôpitaux temporaires pour prévenir une épidémie de choléra.
Au même moment, l’Assemblée vota deux lois sévères sur la quarantaine et l’hygiène publique. On établit à Halifax un bureau central de santé qui devait coordonner les mesures sanitaires de toute la province ; il servit aussi de bureau local de santé à Halifax jusqu’à ce que le nouveau conseil municipal assume cette responsabilité, en 1841. Hoffmann fut nommé inspecteur de santé dans l’une des dix nouvelles divisions de la ville, le district St Paul. Les inspecteurs de santé avaient des fonctions très étendues : ils devaient par exemple superviser le nettoyage des terrains privés et s’occuper de transférer les malades dans les hôpitaux pour cholériques. L’enthousiasme avec lequel le bureau organisa sa stratégie et le fait qu’il envisagea d’ouvrir des hôpitaux temporaires, notamment à la résidence du gouverneur et au Dalhousie College, suscitèrent une hostilité considérable. En fait, ces mesures préventives, heureusement inutiles en 1832, étaient largement dues à l’initiative du lieutenant-gouverneur ; sir Peregrine Maitland, qui passait ainsi outre à l’opposition traditionnellement manifestée par l’Assemblée envers toute action concertée contre les menaces à la santé publique. Une fois la peur de l’épidémie disparue, la réaction se fit sentir au sein de la population. Maitland quitta la Nouvelle-Écosse en octobre 1832 et, quand une épidémie de choléra se déclara effectivement, en août 1834, la ville n’y était pas préparée. Hoffmann et d’autres médecins de Halifax durent y faire face avec le peu de moyens dont ils disposaient. Malgré le décès de quelque 400 personnes, bien des gens continuèrent de s’opposer à toute modification radicale des mesures touchant les maladies infectieuses.
II fallut l’arrivée de navires porteurs de typhus, en 1839, pour que l’Assemblée comprenne qu’elle devait prévoir quelque chose pour les immigrants atteints de maladies contagieuses. Le gouvernement réorganisa donc le bureau central de santé en y nommant plusieurs médecins, dont Hoffmann. Le 6 août 1840, celui-ci remplaça William Bruce Almon*, mort du typhus, comme officier de santé.
À ce titre, Hoffmann devait appliquer les règlements sur la quarantaine chaque fois que le lieutenant-gouverneur les proclamait, afin d’empêcher que les maladies contagieuses apportées par les navires dans le port ne se répandent dans la ville de Halifax. Toutefois, par crainte de nuire au commerce de la colonie, le gouvernement hésitait à mettre en quarantaine d’autres navires que ceux qui arrivaient de Grande-Bretagne avec des immigrants à leur bord. La seule fois où les règlements avaient été appliqués systématiquement, en 1832, les marchands s’étaient plaints avec véhémence des retards d’expédition et des dépenses que cela leur causait. Aucun gouvernement ne répéterait l’expérience de bon gré. En outre, plusieurs médecins, dont certains du bureau central de santé, croyaient aux théories contemporaines sur les miasmes et concluaient à l’inefficacité de la quarantaine. Hoffmann, partisan de la théorie de la contagion, plus ancienne, acceptait la nécessité de cette précaution. Dans ses fonctions officielles et dans ses convictions professionnelles, il fut en butte à l’opposition de ses collègues, ce qui fut une source constante de frustrations durant son mandat d’officier de santé. En fait, c’était probablement parce que le gouvernement jugeait ce poste peu important qu’il y avait nommé Hoffmann, alors âgé de 60 ans. Geste de favoritisme, sa nomination avait été un moyen de reconnaître sa longue carrière dans la marine royale et à Halifax et de lui verser une modeste compensation financière. Même si Hoffmann gagna rarement plus de £50 par an comme officier de santé, il avait probablement besoin de cet argent, car sa famille était nombreuse et sa clientèle, réduite. En outre, contrairement aux deux autres candidats écartés, identifiés comme des réformistes, Hoffmann ne participait pas à la vie politique et considérait les débats publics comme inconvenants. Il était donc peu probable qu’il soulève une controverse politique, à moins d’être provoqué de front.
Juste au moment où Hoffmann entra au bureau central de santé, l’Edward, venu de Cork (république d’Irlande), arriva à Halifax avec des passagers atteints de fièvre. Non seulement les lois existantes prévoyaient-elles une mise en quarantaine, mais elles obligeaient les commissaires des pauvres à offrir à tous les immigrants malades de l’assistance médicale et du soutien à l’asile des pauvres. Pourtant, à l’arrivée de l’Edward, les commissaires de l’asile décidèrent de n’accepter aucun immigrant. Sur ce, le bureau central de santé fit valoir la nécessité de garantir un abri à ceux qui étaient atteints de maladies contagieuses. À la suite de négociations avec le gouvernement, un établissement temporaire fut ouvert à Waterloo Farm, près de l’intersection des rues Robie et South. Connu sous le nom de Waterloo Hospital, cet établissement, séparé de l’asile, était administré par les commissaires des pauvres et demeura ouvert pendant deux mois, jusqu’à ce que le risque immédiat de contagion soit écarté.
À l’automne de 1840, Hoffmann contribua à convaincre le gouvernement de la nécessité d’ouvrir un établissement permanent pour les immigrants et les marins atteints de maladies contagieuses. Autrement, souligna-t-il, il ne pourrait pas empêcher ces gens de contaminer les autres locataires des pensions surpeuplées de la ville. Les commissaires, qui dirigeaient l’asile et devaient assurer la subsistance des pauvres, ne voulaient absolument pas se charger de ces malades. Toutefois, en janvier 1841, à cause de l’arrivée récente d’un grand nombre d’immigrants, ils acceptèrent de rouvrir le Waterloo Hospital et de permettre au docteur Hoffmann d’y soigner les malades. Aux termes d ;, l’entente, l’hôpital demeurait sous la direction des commissaires, et les malades étaient classés légalement parmi les indigents, mais ils pourraient bénéficier des traitements dé Hoffmann, qui recevrait £2 par jour pour ses services. Jaloux de leur autorité sur l’asile, les commissaires mirent fin à leur entente avec Hoffmann en septembre 1842 et déclarèrent que seuls les médecins officiellement attachés à l’asile des pauvres pourraient prodiguer des soins dans leurs établissements. Ils continuèrent d’admettre des immigrants à Waterloo Farm, mais, quand survint à Halifax une grave épidémie de maladies contagieuses, en 1846, ils revinrent à leur position antérieure en prétendant qu’il ne leur appartenait pas de soigner les immigrants. Il ne restait donc aucun établissement pour ceux-ci et le gouvernement refusa d’agir, convaincu que la présence d’un bon hôpital ne ferait qu’attirer plus de navires d’immigrants en détresse.
Le gouvernement dut cependant faire quelque, chose quand, en mai 1847, Hoffmann se trouva soudainement aux prises avec les 279 passagers du trois-mâts barque Mountaineer, parti de Cork pour aller à New York, et dont beaucoup étaient atteints du typhus. Autorisé à ouvrir un lazaret à Richmond (Halifax) dans une petite maison, Hoffmann quitta bientôt cet endroit malpropre et humide pour s’installer à l’île Melville, lieu de l’ancienne base navale, mais ces deux installations de fortune étant tout à fait inadéquates, il ne réussit pas à faire face à l’urgence.. Le lieutenant-gouverneur, sir John Harvey, convaincu lui aussi qu’un bon hôpital ne ferait qu’attirer plus de navires d’immigrants, maintint son refus de prendre des dispositions pour le traitement aux passagers et ordonna que l’on se défasse de tout l’équipement médical acheté pour le lazaret en 1847. Néanmoins, il demeurait obligatoire de donner un minimum de soins aux immigrants. Quand les survivants d’un naufrage, en grande partie atteints du typhus, furent amenés au port de Halifax en mars 1848, on s’attendit à ce que Hoffmann les prenne en charge. Incapable de trouver à brève échéance un établissement à Halifax, le conseil municipal, remplissant son rôle de bureau de santé, ouvrit un lazaret à Dartmouth. Cela souleva une tempête de protestations parmi les habitants, qui craignaient, avec raison, que le typhus ne se répande dans leur ville.
Même si certains critiquèrent vivement Hoffmann sur la qualité des soins qu’il prodigua aux immigrants en 1848, il faut reconnaître qu’il manquait d’équipement, de personnel et de place. Dès 1832, quelques médecins avaient proposé la fondation d’un hôpital général, distinct de l’asile des pauvres, qui servirait aussi de maison d’enseignement. Cependant, en 1839, on commença de réclamer un hôpital permanent pour les pauvres plutôt que pour les immigrants miséreux et malades. Hoffmann, peu après sa nomination comme officier de santé en 1840, appuya la création d’un hôpital pour les maladies infectieuses. Ce projet d’hôpital était donc une question complexe, puisqu’il touchait à des sujets aussi controversés que l’aide aux pauvres et mettait en évidence les divergences de vues des autorités publiques et des médecins à propos des soins médicaux. Quand le conseil municipal et la chambre d’Assemblée acceptèrent finalement de construire un hôpital, en 1848, il était prévu d’y accueillir seulement les immigrants et les marins, et non les résidents de la province. Toutefois, la campagne menée dans les années 1840 en faveur d’un hôpital, ralentie en partie à cause de la suspicion constante à l’égard de la profession médicale, avait fait comprendre aux médecins que, pour accroître leur influence et améliorer leur statut, ils devraient collaborer davantage entre eux. En octobre 1844, ils fondèrent donc la Medical Society of Halifax dont Hoffmann fut vice-président jusqu’à sa mort, en 1851.
La difficulté d’appliquer les règlements touchant la quarantaine continua de préoccuper Hoffmann. Il subissait des pressions particulièrement fortes quand des navires voguant vers d’autres ports s’arrêtaient à Halifax avec des cas de maladies graves. La loi de 1839 sur la quarantaine l’autorisait à inspecter seulement les navires qui transportaient au moins dix passagers de troisième classe venant d’Europe. Il avait fait remarquer, à plusieurs reprises, que les navires côtiers, et surtout ceux de Terre-Neuve, amenaient aussi des maladies dans la ville, et il avait insisté pour inspecter certains navires qui ne relevaient pas de sa compétence. Son attitude avait suscité des protestations de la part des propriétaires de navires, qui se plaignaient des retards et des dépenses supplémentaires que cela leur causait, et les règlements de 1847 sur la quarantaine, proclamés par Harvey, ne tenaient aucun compte des arguments de Hoffmann.
L’impuissance politique de Hoffmann fut particulièrement manifeste quand il tenta d’examiner les passagers de première classe voyageant à bord des bateaux à vapeur de la Cunard Line. Hoffmann eut beau signaler que les classes respectables pouvaient être infectées par les classes inférieures, Samuel Cunard* persuada Harvey de lui ordonner de limiter ses examens aux passagers de troisième classe. Les préjugés sociaux et les pressions politiques empêchèrent donc Hoffmann d’appliquer des mesures de quarantaine un tant soit peu efficaces.
En outre, contrairement aux officiers de santé des autres colonies, Hoffmann n’avait ni salaire régulier, ni bureau, ni bateau. Son mécontentement parvint à son comble quand, en novembre 1847, le petit bateau qu’il louait chavira dans le port et qu’il faillit se noyer. Indigné, il déclara au maire : « je ne me rends jamais à côté d’un navire de guerre, d’un vaisseau étranger ou d’un de nos navires marchands sans sentir que notre drapeau et l’autorité de notre province sont ternis par le fait que je me présente dans un bateau de pêche ou dans un bateau plat, sans parler du danger qui pèse sur ma vie ». Il fit aussi valoir qu’il devrait recevoir un salaire au lieu de vivre des honoraires versés par les bateaux inspectés, car cette méthode ne lui rapportait que £40 ou £50 par an et poussait les capitaines à éviter les inspections. Mais l’Assemblée refusa de lui accorder un bureau, un bateau et un salaire. En fait, le gouvernement réformiste de James Boyle Uniacke, qui prit le pouvoir en février 1848, remit sérieusement en question l’utilité de tout règlement sur la quarantaine.
En tant qu’officier de santé, Matthias Francis Hoffmann ne fut guère en mesure d’améliorer l’application de ces règlements, les soins donnés aux immigrants malades ou sa propre position. Il méritait un meilleur traitement de l’Assemblée et du gouvernement de la colonie, d’autant plus qu’en 1848 les critiques se mirent à condamner plus sévèrement le bureau central de santé pour ne pas avoir protégé la ville contre les maladies contagieuses. Malgré son âge, ses frustrations et les blessures infligées à sa vanité, Hoffmann demeura à son poste, probablement parce qu’il avait besoin d’argent pour faire vivre sa famille. Sa succession allait comporter seulement £675 en espèces et £1 625 en immeubles. Les risques de son travail apparurent dans toute leur évidence en mars 1851, lorsque le navire d’immigrants Infanta, parti de Liverpool à destination de New York, s’arrêta à un quai de Halifax avec des cas de typhus à bord. Circonspect dans l’exercice de ses pouvoirs d’officier de santé, Hoffmann refusa de mettre le navire en quarantaine, ce qui rendit le maire Andrew MacKinlay** furieux. Mais avant que ce dernier n’ait pu sévir contre lui, Hoffmann contracta le typhus en soignant les passagers. Il mourut le 3 avril à l’âge de 71 ans.
Halifax County Court of Probate (Halifax), Estate papers, no 391.— PANS, RG 1, 214 1/4 C–G ; RG 25, sect. 3, 1–2, 5 ; RG 34-312, P.— PRO, ADM 1/1732–1733 ; 24/65 ; 36/1094 ; 36/15879 ; 36/16939 ; 37/11 ; 37/781 ; 37/1093 ; 37/2392 ; 51/1563 ; 51/1804 ; 51/1975 ; 51/2276 ; 99/77.— N.-É., Acts, 1832, spécialement chap. 14 ; 1839 ; 1848 ; House of Assembly, Journal and proc., 1804–1851, spécialement 1832.— Acadian Recorder, 29 mai, 4 juin 1831.— Novascotian, 1824–1851.— Nova-Scotia Royal Gazette, 1812.— Geoffrey Bilson, A darkened house : cholera in nineteenth-century Canada (Toronto, 1980).— S. L. Morse, « Immigration to Nova Scotia, 1839–1851 » (thèse de m.a., Dalhousie Univ., Halifax, 1946).— C. E. Saunders, « Social conditions and legislation in Nova Scotia (1815–1851) » (thèse de m.a., Dalhousie Univ., 1949).— D. A. Sutherland, « Gentlemen vs. shopkeepers : urban reform in early 19th century Halifax » (communication faite devant la SHC, Montréal, 1972).— D. A. Campbell, « Pioneers of medicine in Nova Scotia », Maritime Medical News (Halifax), 16 (1904) : 195–210, 243–255, 519–527 ; 17 (1905) : 8–17.— M. H. L. Grant, « Historical background of the Nova Scotia Hospital, Dartmouth, and the Victoria General Hospital, Halifax », Nova Scotia Medical Bull. (Halifax), 16 (1937) : 250–258 ; « Historical sketches of hospitals and alms houses in Halifax, Nova Scotia, 1749–1859 », 17 (1938) : 229–238, 294–304, 491–512.— M. H. L. et H. G. Grant, « An epidemic of cholera in Halifax, Nova Scotia, 1834 », Nova Scotia Medical Bull., 14 (1935) : 587–596.— W. F. Hattie, « The first minute book », Nova Scotia Medical Bull., 8 (1929) : 155–163.— A. E. Marble, « A history of medicine in Nova Scotia, 1784–1854 », N.S. Hist. Soc., Coll., 41 (1982) : 73–101.— « The Medical Society of Nova Scotia : synopsis of steps leading to its organization », Nova Scotia Medical Bull., 6 (1927), no 3 : 21–22.
Kenneth George Pryke, « HOFFMANN, MATTHIAS FRANCIS », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 8, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 1 déc. 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/hoffmann_matthias_francis_8F.html.
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Auteur de l'article: | Kenneth George Pryke |
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Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 8 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 1985 |
Année de la révision: | 1985 |
Date de consultation: | 1 décembre 2024 |